Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) dont la quatrième partie fixe les principes et les modalités de l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) au Marché commun.
Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) dont la quatrième partie fixe les principes et les modalités de l'association au Marché commun des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) qui entretiennent des relations particulières avec la Belgique, avec la France, avec l'Italie et avec les Pays-Bas.
Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) dont une convention d'application règle, pour une durée de cinq ans, le fonctionnement du Fonds de développement pour les pays et territoires d'outre-mer (FEDOM) associés au Marché commun européen.
Le 23 juillet 1961, le quotidien français Le Monde analyse les enjeux de l'association des pays d'Afrique à la Communauté économique européenne (CEE) compte tenu de l'accession par de plus en plus d'États africains à l'indépendance politique et de l'expiration en 1962 du régime d'association prévu par le traité de Rome.
Carte publiée par le service de presse et d'information des Communautés européennes figurant les six pays membres de la Communauté économique européenne (CEE) et les pays et territoires d'outre-mer (PTOM) associés en date du 1er juillet 1961.
L'indépendance des pays et territoires d'outre-mer
Le 1er juin 1960, le quotidien français Le Monde décrit la manière dont, profitant de la visite au Kremlin du leader malien Modibo Keita, Nikita S. Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste soviétique, fustige la politique de coopération entre les Six et le continent africain.
Le 2 juin 1960, le quotidien allemand Die Welt s'interroge sur la manière d'adapter la coopération entre la Communauté économique européenne (CEE) et les pays d'Afrique suite à l'accession d'un nombre croissant d'entre eux à l'indépendance.
En juillet 1960, le mensuel Communauté européenne envisage les liens possibles de la Communauté économique européenne (CEE) avec les pays d'outre-mer associés et sur le point d'accéder à l'indépendance.
"Liberté au Congo". Le 16 juillet 1960, le caricaturiste allemand Herbert Kolfhaus ironise sur les conséquences directes de l'indépendance du Congo belge en date du 30 juin 1960.
Le 8 septembre 1960, Robert Lemaignen, membre français de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) de 1958 à 1961, définit le sens de la coopération entre la Communauté et les pays d'Afrique.
"Siège". En 1962, le périodique soviétique Krokodil dénonce la mainmise coloniale de l'Europe sur le continent africain et soutient les pays d'Afrique dans leur lutte pour l'indépendance.
Le 20 juillet 1963, la Communauté économique européenne et les dix-huit États africains et malgache associés (EAMA) signent à Yaoundé (Cameroun) la première convention qui, valable pour cinq ans, confirme l'association Europe-Afrique sur la base d'une liberté des échanges commerciaux et d'une aide financière des Six.
Le 20 juillet 1963, Walter Hallstein, président de la Commission européenne, salue la signature à Yaoundé (Cameroun) de la première convention d'association entre la Communauté, ses six États membres et dix-huit États dits États africains et malgache associés (EAMA).
Le 20 juillet 1963, Walter Hallstein, président de la Commission européenne, signe à Yaoundé (Cameroun) la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États africains et malgache associés (EAMA).
Le 20 juillet 1963, les Six et les dix-huit États africains et malgache associés (EAMA) signent à Yaoundé (Cameroun), une convention qui, valable pour cinq ans, confirme l'association Europe-Afrique sur la base d'une liberté des échanges commerciaux et d'une aide financière des Six.
Le 20 juillet 1963, Jean-Marie Koné, ministre d'État chargé du plan de la République du Mali (à g.), et Mohammed Sidi, ministre des Affaires étrangères de la République islamique de Mauritanie (à dr.), signent à Yaoundé (Cameroun) la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États africains et malgache associés (EAMA).
Le 21 juillet 1963, au lendemain de la signature à Yaoundé (Cameroun) de la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États dits États africains et malgache associés (EAMA), le quotidien français Le Monde décrit les principales dispositions de l'accord.
En avril 1969, Mario Pedini, sous-secrétaire italien aux Affaires étrangères, dresse un bilan des conventions de Yaoundé, détaillant l'emploi des subventions communautaires pour la période 1966-1968 et s'interroge sur les enjeux entourant la nouvelle convention à venir.
Créé par le traité de Rome du 25 mars 1957, le Fonds européen de développement (FED) permet le financement d'infrastructures économiques et sociales. Sur la photo, l'exemple de la maternité de Ngozi au Burundi.