Le 24 février 1965, le quotidien français Le Figaro représente le général de Gaulle en posture de chef de l'Europe qui ne montre guère d'enthousiasme face à la délégation britannique venue négocier les conditions d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 6 mai 1966, lors du dixième congrès de l'Internationale socialiste à Stockholm, George Brown, ministre britannique des Affaires économiques, prononce un discours indiquant les conditions à remplir pour que le Royaume-Uni puisse adhérer à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 15 octobre 1966, Edward Heath, leader du parti conservateur britannique, prononce devant les membres de son parti réunis à Blackpool un discours soulignant l'importance pour le Royaume-Uni d'adhérer à la Communauté économique européenne (CEE).
En 1967, dans le cadre de la deuxième demande d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE), le président français Charles de Gaulle constitue, malgré l’aide des autres pays européens, l'obstacle principal que doit surmonter Harold Wilson, Premier ministre britannique.
Le 23 janvier 1967, Harold Wilson, Premier ministre britannique, défend la demande d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE) à la tribune de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe.
Le 23 janvier 1967, à l'occasion d'une visite à l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, le premier ministre britannique, Harold Wilson, répond aux questions qui lui sont adressées concernant l'intégration du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 25 janvier 1967, commentant la rencontre de la veille à Paris entre le Premier ministre anglais Harold Wilson et le président français Charles de Gaulle, Maurice Couve de Murville, ministre français des Affaires étrangères, livre ses impressions sur l'échange de vues franco-britannique au sujet de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Après la rencontre du 25 janvier 1967 à Paris, entre le Premier ministre anglais Harold Wilson et le président français Charles de Gaulle, Maurice Couve de Murville, ministre français des Affaires étrangères, détaille dans un télégramme adressé à la Représentation permanente française à Bruxelles, la teneur des entretiens entre les deux gouvernements quant à la question de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 25 janvier 1967, Albert Borschette, représentant permanent auprès des Communautés européennes, adresse une lettre à Pierre Grégoire, ministre des Affaires étrangères à Luxembourg, dans laquelle il analyse les déclarations du gouvernement britannique au sujet d'une adhésion éventuelle du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
„Auf dem Wege zur EWG“ stellt der französische Staatspräsident Charles de Gaulle das höchste und schwierigste Hindernis für den britischen Premierminister Harold Wilson dar.
Le 26 janvier 1967, le caricaturiste du quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung dénonce les conditions d'adhésion imposées par le général de Gaulle aux Britanniques pour participer au Marché commun européen.
"...la prestigieuse nature...Cap Gris-Nez" Le 28 janvier 1967, pour le caricaturiste néerlandais Opland, les tentatives du Premier ministre britannique Harold Wilson de voir le Royaume-Uni adhérer au Marché commun se heurtent à la "falaise De Gaulle".
Le 30 janvier 1967, Paul Struye, membre du Sénat de Belgique, analyse dans les colonnes du quotidien bruxellois La Libre Belgique la portée du discours d'Harold Wilson, Premier ministre britannique, devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe et pointe les obstacles à surmonter pour que le Royaume-Uni puisse adhérer aux Communautés européennes.
Le 30 mars 1967, le ministère belge des Affaires étrangères rédige un rapport sur les déplacements du Premier ministre anglais Harold Wilson et de son ministre des Affaires étrangères George Brown dans les capitales européennes pour y défendre l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne.
Le 3 mai 1967, le quotidien belge Le Soir décrit les raisons qui militent en faveur de l'adhésion, malgré le respect de certaines conditions, du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 5 mai 1967, commentant le déroulement des négociations d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun, le quotidien milanais Corriere della Sera analyse les difficultés liées à l'adaptation de l'agriculture britannique aux contraintes de la politique agricole commune (PAC).
Le 16 mai 1967, Paul Struye, membre du Sénat de Belgique, décrit dans les colonnes du quotidien bruxellois La Libre Belgique l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes comme une option désirable, malgré les difficultés, à condition d'une réelle volonté politique de chacun des partenaires.
Le 19 mai 1967, balayant les arguments développés trois jours plus tôt à Paris par le général de Gaulle, président de la République française, dans sa conférence de presse, Le monde du travail, publié par la Fédération provinciale liégeoise du parti socialiste belge (PSB), plaide pour une adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 30 mai 1967, commentant l'éventuelle adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, Marcel Grégoire, ancien ministre belge de la Justice, insiste dans les colonnes du quotidien bruxellois La Libre Belgique sur la nécessité pour les Six de définir ensemble les objectifs de l'intégration économique et politique de l'Europe.
Le 29 juin 1967, le quotidien bruxellois La Libre Belgique exprime ses doutes quant à la possibilité d'une adhésion prochaine, sur des bases équitables, du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 30 septembre 1967, suite à la deuxième demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, le Comité de rédaction de la revue du Mouvement européen néerlandais Nieuw Europa lance un appel au gouvernement français pour faciliter l'ouverture et la conclusion des négociations d'adhésion.
Le 9 octobre 1967, s'exprimant à Bruxelles devant l'Association des journalistes européens, Lord Chalfont, ministre d'État britannique aux Affaires étrangères, défend la demande d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 25 octobre 1967, les Six entament à Luxembourg de nouvelles négociations au sujet de la seconde demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes. Joseph Luns, ministre néerlandais des Affaires étrangères, suit attentivement les réactions de la presse britannique.
„Tröstung - Kiesinger: „Halt aus, Wilson, ich spiel dir derweil was vor …‘“ Am 28. Oktober 1967 veranschaulicht der deutsche Karikaturist Ernst Maria Lang die Schwierigkeiten des britischen Premierministers Harold Wilson, den zweiten Antrag des Vereinigten Königreichs auf Beitritt zu den Europäischen Gemeinschaften zu einem erfolgreichen Abschluss zu bringen. Trotz der Unterstützung seitens des deutschen Bundeskanzlers Kurt Georg Kiesinger zeigt sich der Präsident der Französischen Republik, Charles de Gaulle, gegenüber Harold Wilson weiterhin unnachgiebig.
Am 27. November 1967 gibt der französische Staatspräsident General de Gaulle eine Pressekonferenz im Elysée-Palast, auf der er seinen Widerstand gegen den Beitritt des Vereinigten Königreichs zu den Europäischen Gemeinschaften wiederholt und erläutert.
Le 27 novembre 1967, le général de Gaulle tient à l'Élysée une conférence de presse au cours de laquelle il renouvelle et explique son opposition à l'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen.
Le 29 novembre 1967, commentant le véto à l'adhésion britannique réitéré deux jours auparavant par le général de Gaulle lors d'une conférence de presse à Paris, Harold Wilson, Premier ministre du Royaume-Uni, dénonce point par point les arguments avancés par les détracteurs de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
En 1968, le caricaturiste Fritz Behrendt décrit le "cauchemar du Premier ministre Wilson" qui, à l'instar de son homologue Harold Macmillan en 1963, se heurte au veto du général De Gaulle qui refuse l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
"Bon! Reprenons la boussole". Le 27 novembre 1967, le général de Gaulle oppose son veto à la demande d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen. Pour George Brown, ministre britannique des Affaires étrangères, et pour Harold Wilson, Premier ministre britannique, le chemin qui doit mener à l'Europe unie apparaît comme une voie sans issue.
En novembre 1967, le gouvernment des Pays-Bas dénonce avec force la décision française de bloquer l'ouverture des négociations d'adhésion avec le Royaume-Uni et appelle les autres pays européens à soutenir la candidature britannique.
Le 30 novembre 1967, le quotidien français Le Monde revient sur les réactions provoquées par la conférence de presse du général de Gaulle au sein des différents groupes politiques du Parlement européen.
Le 21 décembre 1967, le quotidien milanais Corriere della Sera condamne la décision du général de Gaulle de s'opposer à l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
In diesem Interview schildert Georges Berthoin, Delegationsleiter der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS) und später der Kommission der Europäischen Gemeinschaften im Vereinigten Königreich bis 1973, den Stand der Beziehungen zwischen General de Gaulle und den führenden Politikern des Vereinigten Königreichs zum Zeitpunkt der wiederholten Weigerung Frankreichs in den Jahren 1963 und 1967, Beitrittsverhandlungen zwischen dem Vereinigten Königreich und den Europäischen Gemeinschaften aufzunehmen.
Le 8 décembre 1967, le quotidien italien Corriere della Sera détaille les propos du ministre italien des Affaires étrangères Amintore Fanfani, qui se prononce pour l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 15 décembre 1967, dans un mémorandum adressé au gouvernement luxembourgeois, le gouvernement britannique insiste sur l'importance de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 16 décembre 1967, une note interne du ministère luxembourgeois des Affaires étrangères détaille une entrevue avec le Chargé d'Affaires français sur les conséquences du refus de la France de voir le Royaume-Uni adhérer au Marché commun.
Le 16 décembre 1967, le quotidien français Le Monde expose l'attitude du gouvernement britannique face au refus de la France de voir le Royaume-Uni adhérer au Marché commun.
Le 18 décembre 1967, face au refus du gouvernement français de voir le Royaume-Uni adhérer à la Communauté économique européenne, le quotidien français Le Figaro s'interroge sur la décision du Conseil des ministres des Six, quant à la poursuite de négociations d'adhésion avec le Royaume-Uni.
Le 19 décembre 1967, à l'issue de la réunion des Six à Bruxelles, le Conseil des Communautés européennes publie un communiqué faisant état de l'échec, au sein du Conseil, de trouver un accord en vue de la poursuite des négociations d'adhésion.
Le 19 décembre 1967, l'issue de la réunion des Six à Bruxelles, Maurice Couve de Murville, ministre français des Affaires étrangères, explique les raisons de l'échec des Six pour trouver un accord qui permettrait de reprendre les négociations avec le Royaume-Uni.
Le 20 décembre 1967, au lendemain de la réunion des Six à Bruxelles, Lord George Brown, ministre britannique des Affaires étrangères, informe la Chambre des Communes de la marche à suivre par le gouvernement.
Le 20 décembre 1967, la Commission européenne appelle les Six à trouver un accord en vue de la poursuite des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la CEE suite au désaccord qui s'est produit la veille au Conseil.
Le 25 décembre 1967, l'hebdomadaire français L'Express dresse un tableau des réactions face à l'opposition de la France, réitérée à l'occasion de la réunion du Conseil du 19 décembre, à l'entrée du Royaume-Uni à la CEE.
„Das EWG-Nadelöhr.“ Im Jahre 1968 illustriert der österreichische Karikaturist Ironimus die Bemühungen des bundesdeutschen Außenministers Willy Brandt, dem Beitrittsgesuch des Vereinigten Königreichs zu den Europäischen Gemeinschaften trotz des Widerstandes durch General de Gaulle stattzugeben.
En juin 1968, suite au second veto, le 27 novembre 1967, du président français Charles de Gaulle à l'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen, le mensuel du Mouvement européen néerlandais Nieuw Europa publie une série de positions sur la position à adopter par le gouvernement néerlandais.
Le 17 janvier 1968, Pierre Harmel, ministre belge des Affaires étrangères, décrit devant le Sénat de Belgique l'importance du processus d'élargissement de la Communauté européenne et expose l'attitude de son gouvernement suite au veto français du 19 décembre 1967.
Le 16 février 1968, les gouvernements de la France et de la République fédérale d'Allemagne (RFA) adoptent une déclaration commune dans laquelle ils proposent la conclusion d'arrangements économiques entre la Communauté économique européenne et les pays candidats à l'adhésion en attendant que l'élargissement devienne possible.
Le 16 février 1968, à l'issue des entretiens franco-allemands, Maurice Couve de Murville, ministre français des Affaires étrangères, commente les décisions adoptées par les deux gouvernements en ce qui concerne le problème de la candidature britannique à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 29 février 1968, à l'issue d'une réunion du Conseil des Communautés européennes tenue sous sa présidence, le ministre français des Affaires étrangères Maurice Couve de Murville, répond aux questions des journalistes relatives aux propositions faites par les États membres en vue de reprendre les négociations d'adhésion avec le Royaume-Uni.
Le 3 mai 1968, Sir Geoffrey De Freitas, député anglais et président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, brandit le drapeau européen devant le Parlement de Westminster pour manifester son attachement à la cause européenne malgré le second veto, le 27 novembre 1967, du général de Gaulle à la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.