Le 29 mai 1957, les gouvernements allemand, belge, français, italien, luxembourgeois et néerlandais adressent un mémorandum au GATT, qui définit les missions et les prérogatives de la future Communauté économique européenne (CEE).
Am 30. September 1957 erörtert die Generaldirektion für Wirtschaft und Finanzen des französischen Außenministeriums die Vereinbarkeit der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) mit den Regeln des Allgemeinen Zoll- und Handelsabkommens (GATT).
Am 1. Dezember 1963 berichtet die französische Tageszeitung Le Monde über die komplexen Zollverhandlungen, die am 4. Mai 1964 zwischen der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft und den Vereinigten Staaten im Rahmen der Konferenz der „Kennedy-Runde“ am Sitz des GATT in Genf beginnen sollen.
Am 17. November 1964 beschreibt die französische Tageszeitung Le Monde die schwierigen Verhandlungen zwischen den sechs Mitgliedstaaten der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft und ihren internationalen Partnern im Rahmen der „Kennedy-Runde“, in der es um ein erneutes Absenken der internationalen Zolltarife geht.
Le 2 janvier 1965, commentant le déroulement au GATT des négociations tarifaires entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États-Unis, le quotidien italien Corriere della Sera détaille les effets des premières dispositions du "Kennedy Round" sur le secteur sidérurgique européen.
Le 7 mars 1967, lors d'un exposé tenu à la Banque de Rome, Mario Pedini, député italien, insiste sur l'importance des négociations du Kennedy Round pour la politique commerciale de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 16 mai 1967, Eric Wyndham White, directeur général du GATT, détaille le résultat de l'Accord commercial de Genève prévoyant une réduction des tarifs douaniers entre cinquante pays parmi lesquels figurent les États-Unis et les Six.
Pour la première fois en 1967, les Six parlent d'une seule voix lors de négociations tarifaires dans le cadre du GATT (Kennedy Round). Jean Rey, membre de la Commission européenne chargé des relations extérieures, joua un rôle de premier plan dans les négociations du «Kennedy Round».
Le 9 avril 1968, le ministère français des Finances commente la décision, prise dans le cadre du "Kennedy Round", d'abaisser les tarifs douaniers au sein des échanges internationaux.