Le 2 mai 1967, Harold Wilson, Premier ministre britannique, prononce devant la Chambre des Communes un discours dans lequel il défend la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 2 mai 1967, le caricaturiste Papas illustre les vifs débats au sein de la classe politique britannique quant à la question de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communauté européennes.
Le 3 mai 1967, le quotidien anglais The Guardian commente la décision de Harold Wilson, Premier ministre britannique, de réitérer la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes et pose la question de l'attitude du président français De Gaulle face cette nouvelle démarche.
Le 3 mai 1967, le quotidien anglais The Guardian titre en Une sur la volonté du gouvernement d'Harold Wilson de réitérer la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes (CE).
Le 5 mai 1967, le caricaturiste Papas illustre l'opposition du président français Charles de Gaulle à l'égard de toute demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 5 mai 1967, le quotidien gantois La Flandre libérale commente la décision prise par Harold Wilson, Premier ministre britannique, de demander aux Six l'ouverture de nouvelles négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 10 mai 1967, Harold Wilson, Premier ministre britannique, envoie au président du Conseil des ministres d'Euratom, la demande d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 16 mai 1967, lors d'une conférence de presse à l'Élysée, le Président français Charles de Gaulle prend à nouveau position contre l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.