Am Anfang der 70er Jahren, während in Brüssel die Beitrittsverhandlungen des Vereinigten Königreichs in die Europäischen Gemeinschaften stattfinden, äußeren britische Demonstranten ihre Opposition zum gemeinsamen Markt und fordern die Abhaltung einer Volksabstimmung.
En 1971, le caricaturiste Geisen illustre la difficile position d'Edward Heath, Premier ministre britannique, qui se montre partisan de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes tandis qu'il est freiné par les conditions posées par la Chambre des Communes et par l'opposition aux aguets d'Harold Wilson, président du Parti travailliste.
Le 17 février 1971, le quotidien belge Le Soir publie une interview de Maurice Schumann, ministre français des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil des ministres des Affaires étrangères de la Communauté économique européenne, dans laquelle il analyse l'adhésion de quatre nouveaux États membres, dont le Royaume-Uni, et souligne ses effets sur le projet d'union monétaire.
En juin 1971, Alec Douglas-Home, ministre britannique des Affaires étrangères, prononce à la Chambre des Communes un discours dans lequel il explique l'importance d'une adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Avant le vote de la Chambre des Communes, le 28 octobre 1971, sur le principe de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, des manifestants défilent dans les rues de Londres en faveur de la participation britannique au Marché commun.
Am 12. Juli 1971 untersucht das deutsche Nachrichtenmagazin Der Spiegel den Werbefeldzug des britischen Premierministers Edward Heath, der die Briten vom Beitritt zum Gemeinsamen Markt überzeugen soll.
Le 28 octobre 1971, après de longs débats, la Chambre des Communes approuve, par un vote immédiatement qualifié d'historique, l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Dans ses Mémoires, Edward Heath, ancien Premier ministre britannique, se souvient du vote favorable de la Chambre des Communes qui, le 17 février 1972, se prononce par 309 voix contre 301 pour l'adoption de la demande d'adhésion de la Grande-Bretagne à la CEE.
In einer am 28. Oktober 1971 gehaltenen Rede zeigt sich Walter Scheel, Bundesminister des Auswärtigen, zufrieden über die positive Abstimmung des britischen Unterhauses über den Beitritt Englands zur Europäischen Gemeinschaft.
Am 28. Oktober 1971 stimmt das britische Unterhaus für den Beitritt des Vereinigten Königreichs zur Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG). Einige Stunden vor der Abstimmung zeigt diese RTL-Reportage noch, dass der Ausgang nicht sicher ist.
Le 4 octobre 1971, Albert Coppé, membre de la Commission des Communautés européennes en charge des Affaires sociales, reçoit des membres nord-irlandais de la délégation britannique pour les négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 29 octobre 1971, Georges Berthoin, chef de la délégation des Communautés européennes au Royaume-Uni, envoie un télex aux membres de la Commission européenne confirmant le vote favorable du Parlement britannique sur l'adhésion du pays à la CEE.
Le 29 octobre 1971, dans une interview radiophonique accordée à France-Inter, Maurice Schumann, ministre français des Affaires étrangères, se réjouit du vote positif de la Chambre des Communes en ce qui concerne l'adhésion britannique à la Communauté économique européenne (CEE).
Publiée dans le quotidien français Le Figaro, cette caricature de Faizant dépeint les efforts consentis par les six pays fondateurs de la Communauté économique européenne (CEE) pour faciliter l'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun.
«Il était temps…» Le 28 octobre 1971, la Chambre des Communes, par un vote qualifié d'historique, approuve l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes et ouvre ainsi une nouvelle ère de la coopération entre des nations européennes jadis ennemies.
Le 29 octobre 1971, le quotidien italien Corriere della Sera se félicite de la décision de la Chambre des Communes d'approuver le principe de l'adhésion de la Grande-Bretagne aux Communautés européennes.
Dans son éditorial du 29 octobre 1971, le quotidien français Le Figaro commente l'approbation, par le Parlement britannique, du principe de l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
"Manoeuvre d'amarrage réussie". Le Royaume-Uni semble enfin rompre avec sa politique d'isolationnisme et avec sa tradition d'insularité pour se rattacher à l'Europe unie.
Edward Heath, représentant du Royaume-Uni aux négociations pour l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, signe, le 22 janvier 1972 à Bruxelles, le traité d'adhésion en qualité de Premier ministre.
En février 1972, Sir Robin Turton, membre conservateur du Parlement anglais, explique pourquoi il s'est opposé à l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 28 mars 1972, l'Anglais Tony Benn, député travailliste, adresse à Sicco Mansholt, président de la Commission européenne, une lettre dans laquelle il expose les raisons de l'opposition du Labour à l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 12 avril 1972, Sicco Mansholt, président de la Commission européenne, adresse au député travailliste Tony Benn une lettre dans laquelle il dénonce l'attitude anti-européenne du Labour britannique.
En décembre 1972, l'institut de sondage anglais Gallup publie un sondage sur l'évolution de la perception qu'ont les Britanniques du Marché commun européen entre 1957 et 1972.
Le 21 janvier 1972, à la veille de la signature du traité d'adhésion du Royaume Uni, de l'Irlande, du Danemark et de la Norvège aux Communautés européennes, Franco Maria Malfatti, président de la Commission, exprime sa satisfaction à la presse.
Am 21. Januar 1972 verleiht der Kommissionspräsident der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft Franco Maria Malfatti seiner Befriedigung über die Unterzeichnung des Beitrittsvertrags durch Dänemark, das Vereinigte Königreich, Irland und Norwegen Ausdruck, die am nächsten Tag stattfinden soll.
Traité relatif à l'adhésion à la Communauté économique européenne (CEE) et à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) du Royaume de Danemark, de l'Irlande, du Royaume de Norvège et du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord.
Am 22. Januar 1972 hält der Präsident der Europäischen Kommission Franco Maria Malfatti anlässlich der feierlichen Unterzeichnung der Beitrittsverträge Dänemarks, Irlands, Norwegens und des Vereinigten Königreiches zu den Europäischen Gemeinschaften im Palais d'Egmont in Brüssel eine Rede, in der er den Beitritt dieser vier Länder zu den Gemeinschaften begrüßt.
Anlässlich der feierlichen Unterzeichnung der Beitrittsverträge vier neuer Mitgliedstaaten (Dänemark, Irland, Norwegen und Vereinigtes Königreich) zu den Europäischen Gemeinschaften am 22. Januar 1972 in Brüssel hält Gaston Thorn, amtierender Vorsitzender des Rates der Europäischen Gemeinschaften, eine Rede, in der er die Bedeutung des europäischen Integrationsprozesses unterstreicht.
Unterzeichnung der Beitrittsverträge Dänemarks, Irlands, des Vereinigten Königreichs und Norwegens: Rede von Gaston Eyskens (Brüssel, 22. Januar 1972)s (Bruxelles, 22 janvier 1972)
Am 22. Januar 1972 unterzeichnet der britische Premierminister Edward Heath in Brüssel den Beitrittsvertrag des Vereinigten Königreichs zu den Europäischen Gemeinschaften; die Unterzeichnung verzögert sich um eine Stunde, da eine Gegnerin des Beitritts den Premierminister bei seiner Ankunft im Palais d’Egmont mit Tinte bespritzt hatte.
Am 22. Januar 1972 unterzeichnet der britische Premierminister Edward Heath im Palais d’Egmont in Brüssel den Beitrittsvertrag des Vereinigten Königreichs zu den Europäischen Gemeinschaften. Die Zeremonie verzögert sich jedoch um eine Stunde, da eine britische Gegnerin des Beitritts den britischen Premierminister mit Tinte bespritzt hatte.
Am 22. Januar 1972 hält der Premierminister Belgiens Gaston Eyskens anlässlich der feierlichen Unterzeichnung der Beitrittsverträge Dänemarks, Irlands, Norwegens und des Vereinigten Königreiches zu den Europäischen Gemeinschaften im Palais d'Egmont in Brüssel eine Rede, in der er den Beitritt dieser vier Länder zu den Gemeinschaften begrüßt.
Le 22 janvier 1972, à l’occasion de la signature du traité d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, Edward Heath, Premier ministre britannique est victime de son engagement européen: une jeune manifestante lui jette de l'encre au visage.
Le 22 janvier 1972, la délégation britannique signe à Bruxelles le traité d'adhésion aux Communautés européennes. De gauche à droite: Sir Alec Douglas-Home, ministre des Affaires étrangères, Edward Heath, Premier ministre, et Geoffrey Rippon, chancelier du Duché de Lancaster et chargé des négociations d'adhésion.
Le 22 janvier 1972, Walter Hallstein, Joseph Bech, Paul-Henri Spaak, Jean Monnet, Jean-Charles Snoy et d'Oppuers et Jean Duvieusart, notamment, assistent à la cérémonie de signature du traité d'adhésion du Danemark, de l'Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 22 janvier 1972, Franco Maria Malfatti, président de la Commission européenne, congratule Edward Heath, Premier ministre britannique, qui vient de signer le traité d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Anlässlich der Unterzeichnung des Beitrittsvertrags des Vereinigten Königreichs zu den Europäischen Gemeinschaften am 22. Januar 1972 in Brüssel verleiht Jean Monnet, Präsident des Aktionskomitee für die Vereinigten Staaten von Europa, seiner Freude über die Erweiterung der Gemeinschaften Ausdruck, für die er sich beständig eingesetzt hat, und beschreibt die Chancen und Herausforderungen für das erweiterte Europa.
Am 22. Januar 1972 unterzeichnen die Vertreter Dänemarks, Irlands, Norwegens und des Vereinigten Königreichs nach neunzehn Monaten zäher diplomatischer Verhandlungen im Palais d'Egmont in Brüssel die Verträge über den Beitritt zu den Europäischen Gemeinschaften.
Le 1er janvier 1973, au premier coup de minuit, des ressortissants britanniques réunis dans un pub anglais du quartier européen de Bruxelles fêtent l'entrée du Royaume-Uni dans la Communauté économique européenne (CEE).
Le 1er janvier 1973, Sir Ewen Fergusson, représentant permanent du Royaume-Uni près les Communautés européennes, remet sa lettre de créance à André Dubois, directeur général des relations extérieures et du développement au Secrétariat général du Conseil des Communautés européennes.
Le 1er janvier 1973, le Royaume-Uni devient membre des Communautés européennes. Deux jours plus tard, Georges Pompidou, président de la République française, adresse un message de bienvenue aux lecteurs du Times.
Le 6 janvier 1973, alors que le Royaume-Uni est membre des Communautés européennes depuis moins d'une semaine, des opposants au Marché commun se massent devant l'Opéra de Londres - où se déroule au même moment un gala officiel pour marquer l'avènement de l'Europe des Neuf - pour condamner cette décision et fustiger le Premier ministre Edward Heath qu'ils accusent d'avoir trahi le pays.
Le 15 janvier 1973, John Davies, chancelier du Duché de Lancaster, et Sir Alec Douglas-Home, ministre britannique des Affaires étrangères, représentent le Royaume-Uni au premier Conseil des ministres des Neuf à Bruxelles.
En 1973, l'association Aims of Industry, qui regroupe les dirigeants des principales entreprises britanniques, se félicite de l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE) et détaille les avantages de l'intégration européenne pour l'industrie et pour l'économie nationales.
In einem Artikel vom 22. Januar 1972 kommentiert die französische Tageszeitung Le Monde die offizielle Unterzeichnung der Beitrittsurkunden der vier Kandidaten (Dänemark, Irland, Norwegen und Vereinigtes Königreich) zu den Europäischen Gemeinschaften und legt die Herausforderungen für ein neues Europa mit zehn Mitglieder dar.
Le 24 janvier 1972, commentant la signature des nouveaux traités d'adhésion, le quotidien belge La Libre Belgique se penche sur la politique européenne du Royaume-Uni.
Le 24 janvier 1972, le quotidien français Le Figaro commente l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes et s'interroge sur le caractère historique de l'évènement.
Dans son édition d'avril 1972, la revue fédéraliste L'Europe en formation publie le point de vue de Richard Mayne, directeur du Federal Trust for Education and Research de Londres sur l'évolution de l'opinion britannique vis à vis de l'adhésion du pays aux Communautés européennes.
En avril 1972, trois mois après la signature du traité d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, Roberto Gaja, secrétaire général au ministère italien des Affaires étrangères, analyse sous le pseudonyme de Roberto Guidi les conséquences du premier élargissement, notamment sur la politique étrangère de l'Italie.
Le 2 janvier 1973, le quotidien italien Corriere della Sera commente l'adhésion britannique aux Communautés européennes et analyse la politique extérieure de la Grande-Bretagne.
En juillet 1973, Stuart Holland, ancien collaborateur pour les questions économiques et politiques de Harold Wilson, Premier ministre travailliste, décrit dans le mensuel français Le Monde diplomatique la politique européenne du parti travailliste britannique.
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, qui fut entre 1973 et 1976 directeur général des relations extérieures à la Commission européenne, décrit l'impact de l'arrivée des fonctionnaires des nouveaux États membres, et notamment des Britanniques, sur le travail et sur l'ambiance générale à la Commission.