Am 26. Februar 2001 findet die feierliche Unterzeichnung des Vertrags von Nizza statt. Der französische Staatspräsident Jacques Chirac, der französische Premierminister Lionel Jospin, der schwedische Premierminister und amtierende Ratspräsident der Europäischen Union Göran Persson, die Präsidentin des Europäischen Parlaments Nicole Fontaine und der Präsident der Europäischen Kommission Romano Prodi ergreifen nacheinander das Wort, um die Unterzeichnung des Vertrages zu begrüßen und an die zukünftigen Herausforderungen für die Europäische Union zu erinnern.
Le 26 février 2001, Jacques Chirac, président de la République française, se félicite de la signature du traité de Nice et rappelle les enjeux futurs de l'Union européenne.
Le 26 février 2001, à l'occasion de la signature du traité de Nice, Göran Persson, Premier ministre suédois, souligne l'importance du traité pour préparer l'élargissement de l'Union européenne vers l'Est et pour mieux lutter contre le chômage.
Am 27. Februar 2001, nach der Unterzeichnung des Vertrag von Nizza kommentiert die britische Tageszeitung The Guardian die Diskussionen um die europäische Verteidigungspolitik.
Le 9 mai 2001, dans un communiqué à la presse, les Verts français (Parti écologiste) appellent les députés et sénateurs français à ne pas ratifier le traité de Nice.
Le 5 juin 2001, lors de la présentation à l'Assemblée nationale française du projet de loi pour la ratification du traité de Nice, Hubert Védrine, ministre français des Affaires étrangères, détaille les points forts du nouveau traité européen.
Le 5 juin 2001, le quotidien français Le Figaro détaille les diverses positions des députés de l'Assemblée nationale face aux enjeux de la ratification du traité de Nice.
Le 7 juin 2001, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, dépose son bulletin dans l'urne en vue du référendum organisé en Irlande pour la ratification du traité de Nice.
Le 9 juin 2001, le quotidien madrilène El País revient sur les conséquences de la victoire du « non » lors du référendum irlandais relatif à la ratification du traité de Nice. Le choix des Irlandais pose la question de l’avenir du traité.
Le 11 juin 2001, Michel Barnier, commissaire européen chargé de la politique régionale et de la réforme des institutions, accorde au quotidien français Le Figaro, un entretien dans lequel il commente le refus des Irlandais de ratifier le traité de Nice.
Le 12 juin 2001, commentant le référendum organisé le 7 juin en Irlande pour la ratification du traité de Nice, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, déplore le résultat négatif du vote malgré ses appels à voter "oui" au traité.
Le 16 juin 2001, suite au refus des Irlandais de ratifier le traité de Nice, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes, met les Quinze en garde contre la poursuite de leur politique communautaire.
En juillet 2001, suite au refus, le 7 juin, des Irlandais de ratifier le traité de Nice, Rocco Antonio Cangelosi, directeur général pour l'intégration européenne au ministère italien des Affaires étrangères, se penche dans la revue Affari esteri sur le vote des Irlandais et arrive notamment à la conclusion que le fossé entre les institutions de l'Union européenne et les citoyens européens est de plus en plus important.
Le 19 juillet 2002, Dick Roche, ministre irlandais chargé des Affaires européennes, souligne l'importance pour les Irlandais du traité de Nice et de l'Union européenne et met en garde ses concitoyens contre les erreurs de la Grande-Bretagne en matière de politique européenne.
Le 2 septembre 2002, en vue du second référendum irlandais sur le traité de Nice, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, lance la campagne d'information du gouvernement de Dublin sur le traité de Nice et les déclarations de Séville.
Le 20 octobre 2002, au lendemain du second référendum irlandais sur le traité de Nice, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais, se félicite du résultat positif du vote.
Le 20 octobre 2002, au lendemain du second référendum en Irlande sur le traité de Nice, des partisans pro-européens irlandais célèbrent le résultat positif du vote.
Le 21 octobre 2002, au lendemain du second référendum irlandais sur le traité de Nice, le quotidien français Le Figaro décrit les réactions que suscite le résultat positif.
Le 21 octobre 2002, à l’issue du second référendum irlandais sur le traité de Nice, le quotidien madrilène El País estime que le fait d'appeler à des référendums successifs alors que le premier n’a pas atteint les résultats escomptés, n’est pas un signal positif pour la démocratie et ne donne pas une bonne image de la politique européenne.
En été 2001, suite à la signature le 26 février du traité de Nice, Alain Lamassoure, député européen et ancien ministre français délégué aux Affaires européennes, fait le point dans la revue Commentaire sur l'état de l'Union européenne et montre en quoi le traité marque un recul dans l'évolution des institutions des Quinze.
Le 27 mars 2001, le Comité d'action pour l'Union européenne adopte à Bruxelles un mémorandum sur l'état de l'Union européenne suite aux décisions prises au Conseil européen de Nice des 7 au 9 décembre 2000 et à la signature du traité de Nice le 26 février 2001.
En automne 2001, Jean-Louis Bourlanges, membre du Parlement européen, critique vivement dans la revue Commentaire le traité de Nice et analyse notamment les déséquilibres qu'il crée entre les partenaires européens de même que ses effets négatifs sur le fonctionnement des institutions de l'Union européenne.