Note confidentielle, en date du 3 septembre 1953, du Ministère belge des Affaires étrangères qui retrace l'évolution de la politique internationale de l'URSS depuis la mort de Staline.
Am 7. März 1953 berichtet die französische Tageszeitung Le Monde über den Tod Joseph Stalins und fragt nach dem Einfluss des Stalinismus auf die Sowjetunion.
Le 10 décembre 1953, le président américain Dwight D. Eisenhower expose dans son journal tous les motifs qui l'ont amené à prononcer deux jours auparavant à la tribune des Nations unies un discours sur l'utilisation pacifique de l'énergie atomique.
"Sécurité européenne à la Molotov" titre cette caricature autrichienne pour dénoncer la manière dont l'Union soviétique met la main sur l'Europe à coup de faucille.
Le 27 mai 1955, Maurice Couve de Murville, ambassadeur de France à Washington, fait part à Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, des réactions américaines face aux changements intervenus dans la politique étrangère soviétique.
Le 14 juin 1955, Jean Chauvel, ambassadeur de France à Londres, livre à Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, son opinion sur les causes de l'évolution de la politique soviétique et de l'abandon de l'immobilisme stalinien.
En septembre 1955, Konrad Adenauer, chancelier fédéral allemand, se rend en visite officielle à Moscou. Les discussions avec Nicolas Boulganine, représentant soviétique (devant à g.) et Nikita S. Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste soviétique (devant à dr.) conduisent à l'établissement de relations diplomatiques entre l'Union soviétique et la République fédérale d'Allemagne.
Le 18 février 1956, à l'occasion de la présentation par Nikita Khrouchtchev du rapport sur les crimes de Staline lors du XXe congrès du Parti communiste d'Union soviétique à Moscou, le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera s'interroge sur la réelle volonté de déstalinisation du nouveau leader soviétique.
Le 18 juillet 1955, à l'occasion de l'ouverture à Genève de la conférence des chefs de gouvernement de la France, des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Union soviétique, le président américain Dwight D. Eisenhower prononce un discours dans lequel il souligne l'importance d'un rapprochement entre l'Est et l'Ouest.
Le 18 juillet 1955, lors de la conférence à Genève des délégués des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France et de l'URSS, le Premier ministre britannique Anthony Eden soumet des propositions quant à la question de la réunification de l'Allemagne.
Du 18 au 23 juillet 1955, lors de la conférence qui réunit à Genève les délégués des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France et de l'URSS, les représentants soviétiques proposent l'adoption d'un traité sur le rapprochement Est-Ouest pour maintenir la paix sur le continent européen.
Le 23 juillet 1955, le représentant soviétique Nikolaï Boulganine prononce le discours de clôture de la conférence de Genève et se félicite de l'esprit de coopération qui a régné entre les délégations soviétiques et occidentales.
Am 23. Juli 1955, anlässlich des Abschlusses der Viermächtekonferenz in Genf, analysiert die deutsche Tageszeitung Die Welt den neuen Ost-West-Dialog und berichtet über den Verlauf der Gespräche.
"Il y a des problèmes qui ont du mal à rentrer dans un frigo." Au lendemain de la Conférence de Genève, le caricaturiste Behrendt, illustre les efforts des chefs de gouvernements des quatre grandes puissances (États-Unis, Royaume-Uni, France et URSS) à solutionner la question de l'Allemagne.
Le 25 juillet 1955, deux jours après la fin de la conférence de Genève, le président Dwight D. Eisenhower s'adresse au peuple américain et dresse un premier bilan du dialogue Est-Ouest.
Le 25 juillet 1955, François Seydoux, haut-commissaire de la France en Autriche, informe Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, de la satisfaction du gouvernement autrichien suite à l'issue favorable de la Conférence diplomatique de Genève sur les relations Est-Ouest.
Am 25. Juli 1955 kommentiert die französische Tageszeitung Le Figaro die Konferenz in Genf vom 18. bis 21. Juli 1955 und analysiert die Zeichen der Entspannung, die auf Seiten der Vereinigten Staaten und der Sowjetunion zu bemerken sind.
Le 28 juillet 1955, Maurice Couve de Murville, ambassadeur de France à Washington, informe Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, de la réserve des dirigeants américains au sujet de l'attitude soviétique et des résultats de la Conférence de Genève sur les relations Est-Ouest.
Le 28 octobre 1955, le quotidien italien Corriere della Sera s'interroge sur la réalité de la nouvelle orientation politique des dirigeants de Moscou telle qu'apparue en juillet 1955 au cours de la conférence qui a réuni à Genève les représentants des États-Unis et de l'URSS.
Le 4 août 1955, Jean Le Roy, chargé d'affaires de France à Moscou, informe Antoine Pinay, ministre français des Affaires étrangères, de l'optimisme avec lequel le président soviétique Nicolas Boulganine a rendu compte au Soviet suprême des résultats de la Conférence de Genève.
"....Alerte de bombardement aérien". Le 20 septembre 1955, le périodique satirique soviétique Krokodil dénonce le sabotage des tenants de la Guerre froide contre "l'Esprit de Genève" et le nouveau climat de dialogue symbolisé par la conférence de Genève qui, du 18 au 21 juillet 1955, a réuni les quatre Grands (États-Unis, Royaume-Uni, France et URSS).
"L'esprit, qui est en train de rendre l'âme" Pour le caricaturiste Fritz Behrendt, « l'esprit de dialogue » qui règne entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique, est bien mal en point quatre mois après la Conférence de Genève en juillet 1955.
Dans ses Mémoires, Nikita Khrouchtchev, ancien Premier secrétaire du Parti communiste d'URSS, commente le sommet de Genève de juillet 1955 qui marque le début du dialogue Est-Ouest.
In einer Rede vom 12. Juli 1957 stellt der NATO-Generalsekretär Paul-Henri Spaak vor Persönlichkeiten des öffentlichen Lebens im Théâtre de Luxembourg die Atlantische Allianz als eine Folge der sowjetischen Außenpolitik seit dem Ende des Zweiten Weltkrieges dar.
Le 26 octobre 1955, à l'occasion de la réunion à Genève des quatre ministres des Affaires étrangères américain, soviétique, britannique et français, le quotidien néerlandais Het Parool analyse l'état des relations entre l'Union soviétique et les États-Unis.
Am 16. November 1955 hinterfragt die deutsche Wochenzeitung Der Spiegel, ob die Richtung, in die sich die Verhandlungen über die deutsche Vereinigung zwischen den Westmächten und der Sowjetunion bewegen, im Interesse des deutschen Volkes sind.
"Travaux routiers". Le 20 août 1955, le périodique soviétique Krokodil illustre l'avancée du rouleau compresseur de la coopération internationale en faveur de la coexistence pacifique et écrasant sur son passage les symboles de la Guerre froide.
Le 14 février 1956, lors du 20ème congrès du PCUS (Parti communiste de l'Union soviétique), Nikita Khrouchtchev, Premier secrétaire du Parti communiste soviétique, prononce à Moscou un discours dans lequel il dresse un bilan des purges ordonnées par Staline et dénonce sa politique générale.
Le 15 septembre 1959, Nikita Khrouchtchev, Premier secrétaire du Parti communiste soviétique, répond au discours de bienvenue prononcé en son honneur par le président américain Dwight D. Eisenhower (premier à partir de la droite) à l'occasion de sa visite de trois jours aux États-Unis.
Le 15 septembre 1959, lors de la visite aux États-Unis de Nikita Khrouchtchev, Premier secrétaire du Parti communiste soviétique, le sénateur américain John F. Kennedy prononce un discours dans lequel il rappelle l'importance d'une normalisation des relations entre les États-Unis et l'Union soviétique.
En octobre 1959, Nikita S. Khrouchtchev, Premier secrétaire du Parti communiste soviétique, publie dans la revue américaine de géopolitique Foreign Affairs un article retentissant sur l'état des relations Est-Ouest.
Le 31 octobre 1959, Nikita Khrouchtchev, premier secrétaire du Parti communiste de l'Union soviétique, expose devant le Soviet Suprême les principes de la coexistence pacifique.
Im Januar 1960 veröffentlicht der amerikanische Diplomat, George F. Kennan, als Reaktion auf einen im September 1959 erschienen Artikel von Nikita Chruschtschow, in der amerikanischen Zeitschrift für Geopolitik Foreign Affairs einen Artikel, in dem er die Politik der Sowjetunion heftig kritisiert und ihren führenden Politikern mangelnde Aufrichtigkeit vorwirft.
In einem Kommentar zum Tode von Nikita Chruschtschow drei Tage zuvor verfolgt die französische Tageszeitung Le Monde am 14. September 1971 den Werdegang des sowjetischen Politikers.