Le 25 mars 1957, les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, de l'Italie, du Luxembourg et des Pays-Bas signent à Rome le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) dont la quatrième partie fixe les principes et les modalités de l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) au Marché commun.
Le 23 juillet 1961, le quotidien français Le Monde analyse les enjeux de l'association des pays d'Afrique à la Communauté économique européenne (CEE) compte tenu de l'accession par de plus en plus d'États africains à l'indépendance politique et de l'expiration en 1962 du régime d'association prévu par le traité de Rome.
Carte publiée par le service de presse et d'information des Communautés européennes figurant les six pays membres de la Communauté économique européenne (CEE) et les pays et territoires d'outre-mer (PTOM) associés en date du 1er juillet 1961.
Unabhängigkeit der überseeischen Länder und Gebiete
Am 1. Juni 1960 beschreibt die französische Tageszeitung Le Monde, wie Nikita Chruschtschow, Erster Sekretär der Kommunistischen Partei der Sowjetunion, den Besuch des malischen Regierungschefs Modibo Keita zum Anlass nimmt, um die Politik der Zusammenarbeit zwischen der europäischen Sechsergemeinschaft und dem afrikanischen Kontinent anzugreifen.
Im Juli 1960 untersucht die Monatszeitschrift Communauté européenne die möglichen Verbindungen zwischen der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) und den assoziierten Überseeländern, die an der Schwelle zur Unabhängigkeit stehen.
"Liberté au Congo". Le 16 juillet 1960, le caricaturiste allemand Herbert Kolfhaus ironise sur les conséquences directes de l'indépendance du Congo belge en date du 30 juin 1960.
"Siège". En 1962, le périodique soviétique Krokodil dénonce la mainmise coloniale de l'Europe sur le continent africain et soutient les pays d'Afrique dans leur lutte pour l'indépendance.
Le 20 juillet 1963, la Communauté économique européenne et les dix-huit États africains et malgache associés (EAMA) signent à Yaoundé (Cameroun) la première convention qui, valable pour cinq ans, confirme l'association Europe-Afrique sur la base d'une liberté des échanges commerciaux et d'une aide financière des Six.
Le 20 juillet 1963, Walter Hallstein, président de la Commission européenne, salue la signature à Yaoundé (Cameroun) de la première convention d'association entre la Communauté, ses six États membres et dix-huit États dits États africains et malgache associés (EAMA).
Am 20. Juli 1963 unterzeichnet der Präsident der Europäischen Kommission, Walter Hallstein, in Jaunde (Kamerun) das erste Assoziationsabkommen zwischen der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft und achtzehn assoziierten afrikanischen Staaten und Madagaskar (AASM).
Am 20. Juli 1963 unterzeichnen die Sechs und die achtzehn assoziierten afrikanischen Staaten und Madagaskar (AASM) in Jaunde (Kamerun) ein auf fünf Jahre angelegtes Assoziationsabkommen Europa-Afrika auf Grundlage freier Handelsbeziehungen und finanzieller Hilfe der Sechs.
Le 20 juillet 1963, Jean-Marie Koné, ministre d'État chargé du plan de la République du Mali (à g.), et Mohammed Sidi, ministre des Affaires étrangères de la République islamique de Mauritanie (à dr.), signent à Yaoundé (Cameroun) la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États africains et malgache associés (EAMA).
Le 21 juillet 1963, au lendemain de la signature à Yaoundé (Cameroun) de la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États dits États africains et malgache associés (EAMA), le quotidien français Le Monde décrit les principales dispositions de l'accord.
En avril 1969, Mario Pedini, sous-secrétaire italien aux Affaires étrangères, dresse un bilan des conventions de Yaoundé, détaillant l'emploi des subventions communautaires pour la période 1966-1968 et s'interroge sur les enjeux entourant la nouvelle convention à venir.
Créé par le traité de Rome du 25 mars 1957, le Fonds européen de développement (FED) permet le financement d'infrastructures économiques et sociales. Sur la photo, l'exemple de la maternité de Ngozi au Burundi.