En novembre 1966, l'Union nationale des agriculteurs britanniques examine les avantages et les inconvénients pour le monde agricole du pays d'une adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
En janvier 1967, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse les réactions au sein du Benelux suite à l'annonce, en automne 1966, de la candidature d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 1er mai 1967, des manifestants défilent devant "Chequers", la résidence de campagne du Premier ministre britannique, pour marquer leur opposition à l'entrée du Royaume-Uni dans les Communautés européennes.
Le 3 mai 1967, le quotidien belge Le Soir se félicite de l'engagement européen du Premier ministre Harold Wilson et souligne les enjeux de la demande d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne.
Le 13 octobre 1967, Willy Brandt, ministre des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), explique à la tribune du Bundestag à Bonn pourquoi la RFA soutient l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE) et propose de jouer les médiateurs entre Londres et Paris.
Le 6 décembre 1967, le quotidien belge Le Soir écrit sur la détermination des États du Benelux d'assurer une bonne préparation du sommet des Six au sujet de l'adhésion britannique aux Communautés européennes.
"Le débarquement en 1944 n'était pas simple non plus" En 1967, malgré les réticences du président français Charles de Gaulle, le Royaume-Uni réitère sa demande d'adhésion à la Communauté économique européenne (CEE).