Réunion de travail de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) en date du 4 février 1957. Les discussions ont portés sur la situation du marché charbonnier, sur les problèmes de l'approvisionnement et la question des cartels.
En mars 1954, Paolo Emilio Taviani, ministre italien de la Défense, dresse le bilan des cinq premières années de fonctionnement de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et insiste sur les avantages économiques et sociaux qu'en retire l'Italie.
Le 13 janvier 1958, le français René Mayer passe les pouvoirs au belge Paul Finet en tant que président de la Haute Autorité de la Commmunauté européenne du charbon et de l'acier. De droite à gauche: Albert Coppé, René Mayer et Paul Finet.
Le 13 mai 1958 à Strasbourg, Paul Finet, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), dresse devant l'Assemblée parlementaire européenne (APE) un bilan de l'action menée par la Haute Autorité face aux difficultés économiques qui frappent les industries du charbon et de l'acier en Europe.
Les 15 et 16 novembre 1958, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung passe en revue les mesures envisagées par la République fédérale d'Allemagne (RFA) pour sortir les industries sidérurgiques et charbonnières du pays de la crise qui frappe l'ensemble de l'Europe.
Carte indiquant, pour l'année 1960, la localisation des principaux bassins charbonniers et sidérurgiques et des gisements pétroliers et de gaz naturel recensés dans les six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et au Royaume-Uni.
Le 9 mai 1970, évoquant le vingtième anniversaire de la Déclaration Schuman, le quotidien français Le Monde dresse un bilan contrasté de l'action de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
En août 1958, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung examine la politique énergétique de la République fédérale d'Allemagne (RFA) et montre l'impact des importations étrangères de charbon et de pétrole sur le marché national.
Le 13 septembre 1958, inaugurant à Essen une exposition sur l'industrie charbonnière allemande, Franz Blücher, ministre allemand pour la coopération économique, prononce un discours consacré aux problèmes de l'industrie charbonnière en Europe.
Le 29 septembre 1958, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung se penche sur la crise des charbonnages dans le bassin de la Ruhr et examine les mesures d'urgence envisagées par les autorités politiques du pays.
Le 30 mai 1959, le quotidien communiste italien L'Unità critique la fermeture de nombreuses mines de charbon en Belgique et les licenciements qui s'ensuivent avant de prôner une réorganisation du secteur charbonnier qui passerait par une politique de nationalisation.
Le 14 mars 1960, les ouvriers des bassins industriels belges manifestent dans les rues pour dénoncer la fermeture des charbonnages et la menace du chômage.
Le 9 mai 1960, dans le cadre des commémorations du 10e anniversaire de la Déclaration Schuman, Albert Wehrer, membre luxembourgeois de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), prononce un discours dans lequel il se penche notamment sur la crise charbonnière qui secoue l'Europe.
Le 30 novembre 1960, la Direction générale Économie-Énergie de la Commission européenne publie un rapport sur la situation du marché pétrolier mondial et européen et sur l'augmentation de l'offre en produits pétroliers.
Le 14 mars 1966, le quotidien italien Corriere della Sera se penche sur les effets de la crise qui touche le bassin minier de la Ruhr et sur les enjeux d'une reconversion des charbonnages allemands.
Le 23 juin 1966, l'hebdomadaire français L'Usine nouvelle analyse les mauvais résultats financiers et la baisse de production au sein du secteur charbonnier dans la Communauté économique européenne (CEE).
Le 3 juin 1967, le quotidien milanais Corriere della Sera se penche sur la crise des charbonnages européens et se montre pessimiste quant à une relance de l'industrie du charbon.
Le 23 octobre 1958, Paul Finet, président de la Haute Autorité de la CECA, prononce devant l'Assemblée parlementaire européenne un discours dans lequel il tente de cerner la gravité de la crise charbonnière qui frappe essentiellement la Belgique et l'Allemagne et présente les actions entreprises par la Haute Autorité pour régulariser le marché du charbon.
Le 16 décembre 1958, réagissant à la déclaration du 23 octobre 1958 de Paul Finet, président de la Haute Autorité, l'Assemblée parlementaire européenne adopte une résolution qui invite la Haute Autorité et le Conseil de ministres à rationaliser et à mieux coordonner les politiques d'importation et d'exportation des produits charbonniers européens.
Le 11 avril 1959, Jean Monnet, président du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe écrit à Cornelius Wilhelmus van Wingerden, président de la Fédération des syndicats néerlandais, pour lui faire part de ses inquiétudes face aux conséquences de la crise du charbon.
Le 18 avril 1959, la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) transmet au Conseil de ministres les détails de son programme d'action pour faire face à la crise charbonnière qui frappe les Six.
En 1959, le périodique du Mouvement européen néerlandais Nieuw Europa titre sur les effets de la crise du charbon en Belgique et évoque le plan d'action de la Haute Autorité en matière charbonnière.
Le 2 mai 1959, la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) détaillle les modalités d'exécution de son programme pour lutter contre la crise du charbon en Europe.
Le 4 mai 1959, à l'occasion du Conseil spécial de ministres des Six et des vice-présidents de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le représentant de la République fédérale d'Allemagne (RFA) soumet à ses partenaires un programme communautaire pour résoudre la crise du charbon et préconise des mesures spéciales en faveur des charbonnages belges.
Le 4 mai 1959, soucieux de surmonter les divergences manifestées par les Six, Jean-Marcel Jeanneney, président en exercice du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), formule, à titre personnel, diverses propositions pour rapprocher les points de vues sur la question du règlement de la crise du charbon en Europe.
Le 11 mai 1959, la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) transmet au Conseil de ministres un programme d'action lié aux mesures envisagées par les Six pour lutter contre la crise charbonnière en Europe.
Le 14 mai 1959, face au refus du Conseil de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) d'avaliser le programme d'action proposé par la Haute Autorité, le représentant allemand au Conseil formule diverses propositions pour venir en aide à l'économie charbonnière belge.
Le 16 mai 1959, le quotidien français Le Monde commente la décision du Conseil de ministres de la Communauté européenne du chabon et de l'acier (CECA) de refuser à la Haute Autorité le droit de prononcer l'état de "crise manifeste" dans le secteur de la production charbonnière en Europe.
Le 16 janvier 1964, à l'occasion d'une conférence de presse, Dino Del Bo, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) précise les objectifs des deux recommandations adoptées par la Haute Autorité pour protéger le marché sidérurgique communautaire.
En février 1964, Dino Del Bo, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) de 1963 à 1967, précise les objectifs des deux recommandations adoptées le 16 janvier 1964 par la Haute Autorité pour protéger le marché sidérurgique communautaire.
En novembre 1966, le mensuel Communauté européenne se penche sur les causes de la crise de la sidérurgie européenne et sur les moyens mis en oeuvre par la Haute Autorité de la CECA pour y remédier.
Le 6 mai 1958, le quotidien néerlandais Nieuwe Rotterdamse Courant fait part de l'inquiétude des milieux métallurgiques hollandais face aux contraintes économiques imposées par les traités de Rome.