Le 12 septembre 1944, les autorités des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Union soviétique signent à Londres un protocole relatif aux zones d'occupation en Allemagne et à l'administration de la région de Berlin.
Le 14 novembre 1944, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union soviétique signent à Londres un accord qui modifie le protocole du 12 septembre 1944 sur les zones d'occupation et d'administration alliées en Allemagne.
Le 14 novembre 1944, le gouvernement des États-Unis, du Royaume-Uni et de l'Union soviétique signent à Londres un accord sur l'organisation du contrôle des zones d'occupation de l'Allemagne vaincue.
Le 26 juillet 1945, le Royaume-Uni, les États-Unis, l'URSS et le gouvernement provisoire français signent à Londres un accord qui apporte une série de modifications au protocole du 12 septembre 1944 sur l'Allemagne occupée et sur l'administration de la zone de Berlin.
La Conférence de Potsdam (17 juillet au 2 août 1945)
Entrée principale du palais Cecilienhof à Potsdam qui accueille, le 17 juillet 1945, la Conférence des chefs d'État américain (H. Truman), britannique (W. Churchill puis C. Attlee) et soviétique (J. Staline) afin notamment de régler le sort de l'Allemagne vaincue.
Le 17 juillet 1945, commentant l'ouverture de la Conférence de Potsdam, le quotidien anglais de gauche The Guardian décrit la méfiance réciproque qui s'est instaurée entre les Alliés occidentaux et l'Union soviétique.
La Conférence de Potsdam s'ouvre le 17 juillet 1945. Le président américain Harry S. Truman remplace Franklin D. Roosevelt, décédé le 12 avril, tandis que Winston Churchill sera remplacé, le 28 juillet, par Clement Attlee, récent vainqueur des élections législatives britanniques.
Les leaders des trois Grands (de g. à dr. Clement Attlee, Harry S. Truman et Joseph Staline) participent à la conférence de Potsdam du 17 juillet au 2 août 1945.
Réunies à Potsdam du 17 juillet au 2 août 1945, les délégations américaine, britannique et soviétique négocient sur le sort de l'Allemagne et sur la configuration de l'Europe d'après-guerre.
Battu lors des élections législatives du 26 juillet 1945, Winston Churchill se voit remplacé à la tête du gouvernement britannique par le travailliste Clement Attlee qui poursuivra, deux jours plus tard, les discussions avec les États-Unis et l'Union soviétique à Potsdam sur le sort de l'Allemagne.
Le 2 août 1945, au lendemain de la Conférence de Potsdam, le quotidien luxembourgeois Luxemburger Wort énumère les décisions adoptées par les Alliés à l'encontre de l'Allemagne vaincue.
Le 4 août 1945, au lendemain de la Conférence de Potsdam, le quotidien néerlandais Het Parool détaille les principales mesures prises à l'encontre de l'Allemagne et décrit la mise en place d'un Conseil des ministres des Affaires étrangères.
Le 4 août 1945, le quotidien français Combat livre les impressions des milieux diplomatiques français au sujet des résultats de la Conférence de Potsdam.
Le 9 août 1945, le président américain Harry S. Truman livre, dans un discours radiodiffusé, un compte-rendu de la Conférence de Potsdam et de ses principales décisions.
Dans ses Mémoires, James F. Byrnes, ancien secrétaire d'État américain, se rappelle des difficiles négociations avec l'Union soviétique au sujet des réparations allemandes lors de la Conférence de Potsdam du 17 juillet 1945 au 2 août 1945.
Dans ses Mémoires, l'ancien président américain Harry S. Truman livre ses impressions sur la menace d'expansion soviétique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale telle qu'il l'a ressentie au lendemain de la Conférence de Potsdam.
Convoquée du 17 juillet au 2 août 1945, la conférence de Potsdam est marquée par les premières tensions entre l'URSS et les États-Unis, particulièrement lors des pourparlers concernant l'occupation de l'Allemagne vaincue.
Note anonyme du Ministère belge des Affaires étrangères qui, en 1946, examine les conséquences économiques de la Conférence alliée de Potsdam et de l'occupation militaire de l'Allemagne vaincue.
Le Conseil de Contrôle en Allemagne (Berlin, 30 août 1945)
Le 30 août 1945, le général américain Dwight D. Eisenhower, le lieutenant général britannique Brian Hubert Robertson, le général français Louis Koeltz et le maréchal soviétique Gueorgui Joukov signent à Berlin l'acte de création du Conseil de contrôle allié devant assumer l'autorité suprême pour ce qui concerne l'Allemagne vaincue.
Le 30 août 1945, le premier ordre du Conseil de contrôle allié en Allemagne interdit le port de l'uniforme militaire par le personnel démobilisé de l'ancienne armée allemande.
Le 30 août 1945, le Conseil de contrôle allié en Allemagne proclame à Berlin la loi n°1 sur l'abrogation des lois de caractère politique ou discriminatoire du régime nazi défait.
Le Conseil de Contrôle en Allemagne (Berlin, 30 août 1945)
Lors de sa conférence à Londres du 10 septembre au 2 octobre 1945, le Conseil de contrôle allié adopte une série de mesures sur le sort futur de l'Allemagne et sur les zones d'occupation qui y seront appliquées.
Le 25 juin 1948, le quotidien Luxemburger Wort analyse les enjeux de la réunion à Varsovie des ministres des Affaires étrangères de l'Union soviétique et des États de l'Europe orientale qui critiquent vivement les décisions adoptée le 1er juin 1948 à Londres par les Alliés occidentaux sur le sort de l'Allemagne vaincue.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le quotidien Luxemburger Wort met en garde ses lecteurs face aux risques d'une résurgence de l'idéologie nazie et du possible désir de puissance de l'Allemagne vaincue dans les années futures.
Le 4 janvier 1945, Winston Churchill, Premier ministre britannique, communique à son ministre des Affaires étrangères Anthony Eden une note sur l'avenir de l'Allemagne après la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Le 10 mai 1945, le gouvernement des États-Unis détaille au commandant en chef des forces d'occupation américaines en Allemagne les futures missions du gouvernement militaire en Allemagne.
Le 5 juin 1945, le général américain Dwight D. Eisenhower, le maréchal soviétique Georgi Zhukov, le maréchal britannique Bernard Law Montgomery et le général français Jean-Marie Gabriel de Lattre de Tassigny adoptent à Berlin une déclaration commune qui définit les procédures de désarmement de l'armée allemande.
Dans cette note adressée à Émile de Cartier de Marchienne, ambassadeur de Belgique à Londres, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères, définit les principes et les conditions de la participation de la Belgique à l'occupation militaire alliée de l'Allemagne.
Le 8 juin 1945, le quotidien français Le Monde explique les modalités d'occupation de l'Allemagne vaincue et définit les différentes zones d'occupation alliées.
"Chirurgie unie en Allemagne". En octobre 1945, le caricaturiste britannique David Low illustre la statut de l’Allemagne d'après-guerre et pointe les craintes de la France et de l’Union soviétique quant à une éventuelle réunification allemande.
Le 28 juillet 1946, le général de Gaulle prononce à Bar-le-Duc un discours dans lequel il s'oppose à la réunification de l'Allemagne qu'il estime dangereuse pour le maintien de la paix à long terme.
Le 6 septembre 1946, lors d'un discours prononcé à Stuttgart, James F. Byrnes, secrétaire d'État américain, évoque la question de l'avenir politique et économique de l'Allemagne.
En 1946, une pancarte portant l'inscription: "You are entering the American sector..." en langues anglaise, russe et française symbolise la division quadripartite d'un Berlin en ruine.
"Faire tomber les barrières en Allemagne." Le 1er août 1946, le caricaturiste britannique David Low illustre la volonté des États-Unis et du Royaume-Uni de fusionner leurs zones d'occupation respectives en Allemagne et évoque les protestations de Moscou à ce sujet.
"A deux cela constitue déjà un club - mais à quatre ce serait mieux". Le 2 août 1946, le quotidien allemand Die Welt illustre les protestations de Moscou face à la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne en date du 1er janvier 1947.
Le 3 décembre 1946, James F. Byrnes, secrétaire d'État américain, et Ernest Bevin, ministre britannique des Affaires étrangères, annoncent conjointement la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne pour le 1er janvier 1947.
Le 4 décembre 1946, le quotidien allemand Die Welt évoque les changements économiques futurs provoqués dans le pays par la fusion des zones d'occupation américaine et britannique en Allemagne.
"Aujourd'hui – Demain?" En 1946, le caricaturiste allemand Mirko Szewczuk s'interroge sur l'avenir politique de l'Allemagne vaincue et occupée par les armées alliées.
Le 12 mai 1947, Albert Wehrer, chef de la mission militaire luxembourgeoise auprès du Conseil de contrôle allié à Berlin, décrit à Joseph Bech, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, la situation militaire en Allemagne après la fusion des zones d'occupation américaine et britannique.
«Les quatre grandes puissances et le poisson rouge allemand». En septembre 1948, le caricaturiste allemand Roland Stigulinszky ironise sur le sort réservé à l'Allemagne vaincue par les quatre puissances d’occupation (Royaume-Uni, France, États-Unis et Union soviétique). Face au poisson rouge « allemand » dans son aquarium, le soldat britannique remarque: «That’s right, il est vraiment maigre!». Le soldat français s’écrie en se tenant le doigt: «Sacré nom d’un chien, il m’a mordu!». Le GI américain constate : «Very nice indeed! (et le pose au sec)», tandis que le soldat soviétique en souriant affirme : «Caracho, trrès boon!» et avale le poisson.
Le 3 janvier 1949, le quotidien soviétique Pravda souligne la nécessité de conclure un traité de paix avec l'Allemagne après trois ans et demi d'occupation afin de garantir la paix en Europe.
"...éclatée sous la tutelle de l'Angleterre, de la France, de la Russie et des États-Unis. Comme vous le voyez, il semble que nous n'ayons pas vraiment avancé". Pour le caricaturiste néerlandais Opland, la Guerre froide complique le règlement rapide du problème de la partition de l'Allemagne.
Dans ses Mémoires, Georges Bidault, ancien ministre français des Affaires étrangères, décrit la nature du "problème allemand" sous l'angle international à l'issue de la Seconde Guerre mondiale et fustige la perception de l'Allemagne du général de Gaulle.
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, fonctionnaire au cabinet de la Reine des Pays-Bas de 1947 à 1950 puis chef de la division « Allemagne » et directeur général des Affaires européennes au ministère néerlandais des Affaires étrangères entre 1950 et 1952, rappelle les raisons de l'intérêt que portaient les Pays-Bas aux modalités de la reconstruction de l'Allemagne après la Seconde Guerre mondiale.
La Conférence de Paris sur l'Allemagne (25 avril au 12 juillet 1946)
Le 25 avril 1946 à Paris, la délégation française à la Conférence de la paix sur l'Allemagne présente au Conseil des ministres des Affaires étrangères un mémorandum sur la séparation et sur la réorganisation du contrôle des territoires de la Rhénanie, de la Ruhr et de la Sarre.
La Conférence de Paris sur l'Allemagne (25 avril au 12 juillet 1946)
Le 10 juillet 1946, lors de la conférence de la paix qui réunit à Paris le Conseil des ministres des Affaires étrangères, le représentant français Georges Bidault expose la position de la France sur les conditions d'occupation de l'Allemagne.
Le 10 juillet 1946, lors de la réunion à Paris du Conseil des ministres des Affaires étrangères, le représentant soviétique Viatcheslav Molotov expose le point de vue de Moscou sur l'avenir politique, économique et militaire de l'Allemagne.
Les conférences du conseil des ministres des Affaires étrangères des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France et de l'Union soviétique, qui se tiennent à Paris d'avril à juillet 1946, mettent à jour la volonté de l'Union soviétique de garder les mains libres dans sa propre zone d'occupation en Allemagne.
Le 3 mai 1946, le journal allemand Süddeutsche Zeitung commente les débats relatifs au sort de l'Allemagne vaincue lors de la conférence de Paris qui réunit le Conseil des ministres des Affaires étrangères des pays alliés.
La Conférence de Paris sur les réparations (9 novembre au 21 décembre 1945)
Le 1er octobre 1945, à l'occasion de la Conférence de Paris sur les réparations, le gouvernement belge établit un rapport qui détaille les pertes et dommages subis par la Belgique par suite de l'agression allemande.
Le 9 novembre 1945 s'ouvre à Paris une conférence internationale à laquelle participent tous les États ayant été en guerre contre l'Allemagne et destinée à fixer le montant total des réparations de guerre.
Le 15 novembre 1945, à l'occasion de la Conférence de Paris sur les réparations, le délégué luxembourgeois Albert Wehrer, expose les dommages de guerre subis par le Grand-Duché lors de la Seconde Guerre mondiale.
Le 12 décembre 1945, James F. Byrnes, secrétaire d'État américain, expose les différentes mesures visant à reconstruire l'économie allemande et évoque la question des réparations de guerre.
Le 16 décembre 1945, lors de la Conférence de Paris, le délégué luxembourgeois Albert Wehrer, s'étonne de la faible part attribuée au Luxembourg dans le cadre des sommes allouées pour les réparations de guerre.
Le 21 décembre 1945, les pays participant à la Conférence de Paris sur les réparations, publient un communiqué de presse détaillant les missions de la nouvelle Agence Interalliée des Réparations.
Le 25 juillet 1945, le quotidien français Le Monde se penche sur les conséquences économiques de la défaite de l'Allemagne nazie et sur la question des réparations de guerre exigées par les Alliés.
Le 25 août 1945, de retour d'un voyage à Moscou, Edwin W. Pauley, chef de la délégation américaine de la Commission alliée pour les réparations, détaille les principales mesures relatives aux paiements des réparations de guerre par l'Allemagne.
Le 11 octobre 1947, le quotidien allemand Die Welt s'interroge sur les répercussions économiques des démontages des infrastructures industrielles allemandes exigés par les Alliés.
Le 17 octobre 1947, le quotidien hambourgeois Die Welt publie une première liste des sites industriels allemands visés par les mesures de démontage imposées par les Alliés à l'Allemagne vaincue.
Le 17 décembre 1947, commentant l'échec de la conférence des Quatre à Londres, le quotidien français Le Monde analyse les causes du désaccord qui divise les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et l'Union soviétique sur la question des réparations allemandes.
Dans cette note de réflexion, R. Stinglhamber, conseiller au cabinet du secrétaire général de l'OTAN, décrit la position adoptée par la Belgique à l'égard du démantèlement de certaines usines sidérurgiques d'Allemagne de l'Ouest.
Les 12 000 employés de l'usine allemande "Reichwerke Salzgitter-Watenstedt" manifestent contre l'ordre de démantèlement des installations industrielles qui entraînerait la mise au chômage de 6000 employés.
Le 25 août 1949, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel décrit la situation sociale critique des ouvriers de l'usine Watenstedt-Salzgitter suite à la fermeture de l'usine.
"Démontage: Ne vous inquiétez pas - il s'agit uniquement de retirer la dent dangereuse !" En 1949, le caricaturiste Mirko Szewczuk illustre les répercussions pour l'Allemagne des démontages de son infrastructure industrielle par les Alliés.
Lettre d'Ernest Bevin, ministre britannique des Affaires étrangères, à son homologue français Robert Schuman, l'enjoignant à reconsidérer la politique de démontage industriel menée par les Alliés dans l'Allemagne occupée.
Dans ses Mémoires, Harry S. Truman, ancien président des États-Unis, évoque la situation de l'Allemagne en 1945 et décrit les tensions entre les Alliés occidentaux et les Soviétiques à propos des réparations de guerre.
Le 1er novembre 1943, le président américain Franklin D. Roosevelt, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le leader soviétique Joseph Staline font une déclaration commune dans laquelle ils dénoncent les crimes de guerre perpétrés par les nazis.
A la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés mettent en place un tribunal militaire international pour intenter un procès contre les dirigeants et les organisations de l'Allemagne nazie accusés de crimes de guerre, de crimes contre la paix et de crimes contre l'humanité.
Le 18 octobre 1945, le Tribunal militaire international de Nuremberg met en accusation 24 responsables politiques, militaires et économiques allemands pour conjuration, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
Dans le discours d'ouverture qu'il prononce le 21 novembre 1945, Robert H. Jackson, procureur général américain au procès de Nuremberg, rappelle l'importance historique du procès des grands criminels de guerre nazis et détaille l'acte d'accusation.
Vue générale de la salle d'audience du procès de Nuremberg en date du 30 septembre 1946, à la veille du verdict du Tribunal militaire international. Dans le box des accusés, au premier rang figurent (de g. à dr.): Hermann Göring, Rudolf Heß, Joachim von Ribbentrop, Wilhelm Keitel, Ernst Kaltenbrunner, Alfred Rosenberg, Hans Frank, Wilhelm Frick, Julius Streicher, Walter Funk et Hjalmar Schacht. Au second rang: Erich Raeder, Baldur von Schirach, Fritz Sauckel, Alfred Jodl, Franz von Papen, Arthur Seyß-Inquart, Albert Speer, Konstantin von Neurath et Hans Fritsche.
Le 1er octobre 1946, le Tribunal militaire international réuni à Nuremberg, rend son verdict. Sur les 22 dirigeants de l'Allemagne nazie, accusés de complot, de crimes contre la paix, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, douze sont condamnés à mort, sept à des peines de prison et trois sont acquittés.
Le 1er octobre 1946, à l'issue du Procès de Nuremberg, le quotidien néerlandais De Volkskrant réfléchit sur les conséquences morales et juridiques des sentences prononcées à l'encontre des criminels de guerre nazis.
Le 2 octobre 1946, à la veille de l'énoncé du verdict de Nuremberg, le quotidien français Le Figaro décrit la dimension morale et historique du procès pour crimes de guerre, contre la paix et contre l'humanité.
Le 2 octobre 1946, le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera relate la journée du 1er octobre 1946 qui a vu la condamnation à mort de douze anciens dignitaires nazis par le tribunal international de Nuremberg.
Le 2 octobre 1945, le quotidien soviétique Pravda commente les jugements du Tribunal militaire international réuni à Nuremberg à l'encontre des criminels de guerre nazis.
Le 2 octobre 1946, le quotidien néerlandais Het Parool commente le verdict prononcé par le tribunal international de Nuremberg et dénonce l'acquittement de certains dirigeants nazis.
Le 4 octobre 1946, le quotidien allemand Die Welt insiste sur le caractère historique du verdict prononcé par le tribunal international de Nuremberg à l'encontre des principaux dirigeants nazis.
Le 4 octobre 1946, le journal allemand Süddeutsche Zeitung commente le verdict prononcé par le tribunal international de Nuremberg qui condamne à mort douze dirigeants nazis.
Le procès des principaux criminels de guerre nazis s'ouvre le 18 octobre 1945 à Berlin pour se poursuivre à Nuremberg à partir du 20 novembre. Au terme de 406 audiences, douze condamnations à mort seront prononcées.
Vingt-cinq ans après le prononcé des sentences au tribunal international de Nuremberg, le quotidien français Le Monde rappelle le déroulement du procès où furent jugés les principaux responsables du régime nazi.