Les 19 et 20 février 1957, les chefs de gouvernement accompagnés des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se mettent définitivement d'accord à Paris sur les aspects financiers du régime d'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la Communauté économique européenne (CEE). De g. à dr.: Achille Van Acker (Belgique), Konrad Adenauer (RFA), Guy Mollet (France), Antonio Segni (Italie), Willem Drees (Pays-Bas) et Joseph Bech (Luxembourg).
Les 19 et 20 février 1957, les chefs de gouvernement accompagnés des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) se mettent définitivement d'accord à Paris sur les aspects financiers du régime d'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la Communauté économique européenne (CEE).
Les 19 et 20 février 1957, les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères des six pays participant à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom se réunissent à l'hôtel Matignon à Paris. Dans cette note du 20 février 1957, la délégation italienne détaille sa proposition sur les chapitres du traité du Marché commun qui s'appliqueront aux départements français d'Algérie et d'outre-mer.
Les 19 et 20 février 1957, les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères des six pays participant à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom se réunissent à l'hôtel Matignon, à Paris, pour faire le point sur les négociations en cours à Val Duchesse et opérer les derniers arbitrages politiques en ce qui concerne le droit de propriété sur les matières fissiles spéciales de l'Euratom et les modalités de l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 19 février 1957, les chefs de gouvernement accompagnés des ministres des Affaires étrangères des six pays participant à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom se réunissent à l'hôtel Matignon, à Paris, pour faire le point sur l'état des négociations de Val Duchesse et opérer les derniers arbitrages politiques en vue de la conclusion des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 20 février 1957, alors que les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères des Six se réunissent à Paris pour faire le point sur les négociations en cours à Val Duchesse, le fédéraliste allemand Eugen Kogon, fondateur de la revue Frankfurter Hefte, critique la multiplication des initiatives européennes qui, à ses yeux, ne mèneront pas nécessairement à une politique européenne commune et indépendante.
Le 20 février 1957, un courrier confidentiel émanant du ministère des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA) informe les représentations diplomatiques de la RFA des résultats de la conférence des ministres des Affaires étrangères du 18 ainsi que de la conférence des chefs d'État ou de gouvernements des Six des 19 et 20 février à Paris.
Le 21 février 1957, le ministère allemand des Affaires étrangères rend compte de la position de la délégation allemande à la conférence à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des six pays participant à Val Duchesse à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Le 21 février 1957, au lendemain de la conférence qui a réuni à Paris les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), les services du ministère des Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA) rédigent un projet de solution à soumettre aux chefs de délégation des Six au sujet du commerce interallemand au sein de la future Communauté économique européenne (CEE).
"Coûte que coûte - la noix sera cassée !" Le 21 février 1957, réagissant à la décision des chefs de gouvernement des Six d'associer les pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la future Communauté économique européenne (CEE), le caricaturiste Conrad ironise dans le quotidien Westdeutsche Allgemeine Zeitung sur l'attitude de la France qui fait pression sur ses partenaires européens pour favoriser le commerce des produits de l'Union française et financer leur développement.
"La route de la relance européenne est ouverte". Le 22 février 1957, évoquant le succès de la conférence à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des six pays participant à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, le caricaturiste Pinatel représente dans les colonnes du quotidien français Combat Guy Mollet, président du Conseil des ministres français, indiquant à la France la voie vers l'Europe unie.
Le 6 mars 1957, Maurice Couve de Murville, ambassadeur de France à Bonn, adresse à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, un télégramme dans lequel il fait part des réactions dans certains milieux politiques allemands par rapport aux résultats de la conférence de Paris des 19 et 20 février 1957, qui a réuni les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères des six États qui participent à Bruxelles à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Le 7 février 1957, en prévision de la prochaine réunion à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des six pays participant à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, l'hebdomadaire allemand Die Zeit analyse les derniers points de désaccord en ce qui concerne la finalisation du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
Le 20 février 1957, commentant la réunion à Paris des chefs de gouvernement des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), le quotidien italien Corriere della Sera décrit l'état d'avancement et les enjeux des négociations en cours sur les futures Communauté économique européenne (CEE) et Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 21 février 1957, le quotidien belge Le Soir commente les principales décisions prises par les Six lors de la conférence de Paris, notamment en ce qui concerne l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la future Communauté économique européenne (CEE).
Le 21 février 1957, le quotidien communiste français L'Humanité condamne les résultats de la conférence à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des Six et fustige le projet d'Eurafrique.
Le 21 février 1957, le quotidien français Combat se félicite de l'accord intervenu à l'issue de la conférence des Six à Paris des 19 et 20 février et fait l'éloge du futur Marché commun.
Le 22 février 1957, le journal est-allemand Neues Deutschland commente la réunion à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des six pays qui participent à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom et lance un appel aux peuples européens pour lutter contre la réalisation de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 22 février 1957, commentant les résultats de la conférence des Six à Paris, le quotidien Luxemburger Wort décrit les enjeux économiques de l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 22 février 1957, commentant les résultats de la conférence à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des six États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) engagés dans les négociations de Val Duchesse, le quotidien économique allemand Handelsblatt pointe les avancées réalisées pour la mise en place du Marché commun.
Le 27 février 1957, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel commente les résultats de la conférence de Paris des 19 et 20 février. Il salue particulièrement l'attitude du chancelier allemand Konrad Adenauer qui s'est efforcé de placer les aspects politiques des relations franco-allemandes au-dessus des seuls intérêts économiques de la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Le 28 février 1957, Maurice Faure, secrétaire d'État aux Affaires étrangères et président de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, salue dans l'hebdomadaire parisien L'Économie les résultats engrangés à l'issue de la conférence qui, les 18 et 19 février 1957, a réuni à Matignon les Premiers ministres et les ministres des Affaires étrangères des Six.
Le 28 février 1957, commentant la réunion à Paris des chefs de gouvernement et des ministres des Affaires étrangères des six pays qui participent à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, l'hebdomadaire allemand Die Zeit considère la signature prochaine des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) comme un tournant majeur dans l'histoire de l'Europe à condition toutefois de parvenir à un nouvel ordre européen dépassant l'État-nation.
Le 2 mars 1957, le bimestriel italien Relazioni internazionali décrit la nature des décisions adoptées les 19 et 20 février à Paris par les représentants des Six, notamment en ce qui concerne l'association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la Communauté économique européenne (CEE).