Le 26 juin 1957, l'hebdomadaire londonien The New Statesman and Nation examine la nature des relations qu'entretient le Royaume-Uni avec les pays du Commonwealth et s'interroge sur leur avenir.
Le 31 juillet 1957, le quotidien allemand Deutsche Zeitung analyse les conséquences pour l'Europe en construction des relations privilégiées entre le Royaume-Uni et le Commonwealth.
Le 9 mars 1961, le Premier ministre britannique Harold Macmillan et le Premier ministre indien Jawaharlal Nehru discutent à Londres de l'avenir du Commonwealth.
«Vers de nouveaux rivages». En 1961, l'émancipation des pays du Commonwealth et la fin de l'Empire britannique conditionnent l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE). Le 28 octobre 1961, face au naufrage de l'Empire britannique, le caricaturiste allemand Manfred Oesterle souligne les efforts de Ludwig Erhard, ministre fédéral de l’Économie pour secourir en chaloupe le Premier ministre britannique Harold Macmillan afin de le ramener sur le navire «Europa», tandis que le président français de Gaulle observe avec nonchalance le sauvetage sans aider. En effet, le président français, opposé à la demande d'adhésion du Royaume-Uni, évoque l'incompatibilité entre les intérêts économiques continentaux et insulaires.
"Question de direction". Le 14 novembre 1961, le caricaturiste britannique David Low illustre le difficile choix qui s’offre au Royaume-Uni: demeurer fidèle aux liens du passé qui l'unissent aux pays du Commonwealth ou se lancer dans l'aventure d'une adhésion à la Communauté économique européenne.
En juin 1967, le mensuel français Le Monde diplomatique analyse les liens entre le Royaume-Uni et le Commonwealth un mois après le dépôt, le 11 mai, de la seconde demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
"Un mariage forcé me suffit, mais deux à la fois...." Le caricaturiste britannique Cummings illustre le dilemme qui s'offre au Royaume-Uni, demeurer fidèle au Commonwealth ou adhérer à la Communauté économique européenne.
Le 14 février 1957, à l'occasion d'une rencontre aux Bermudes entre le Président américain Dwight D. Eisenhower et le Premier ministre britannique Harold Macmillan, le quotidien conservateur La Libre Belgique dresse un tableau de la politique étrangère de la Grande-Bretagne.
Le 5 juin 1961, John F. Kennedy, président des États-Unis, et Harold Macmillan, Premier ministre britannique, discutent à Londres des relations entre les deux pays dans la perspective d'une candidature d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.