Le 20 juillet 1963, la Communauté économique européenne et les dix-huit États africains et malgache associés (EAMA) signent à Yaoundé (Cameroun) la première convention qui, valable pour cinq ans, confirme l'association Europe-Afrique sur la base d'une liberté des échanges commerciaux et d'une aide financière des Six.
Le 20 juillet 1963, Walter Hallstein, président de la Commission européenne, salue la signature à Yaoundé (Cameroun) de la première convention d'association entre la Communauté, ses six États membres et dix-huit États dits États africains et malgache associés (EAMA).
Au nom de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE), le président Walter Hallstein signe le 20 juillet 1963 la convention de Yaoundé entre la CEE et dix-huit États africains et malgache associés (EAMA).
Le 20 juillet 1963, Jean-Marie Koné, ministre d'État chargé du plan de la République du Mali (à g.), et Mohammed Sidi, ministre des Affaires étrangères de la République islamique de Mauritanie (à dr.), signent à Yaoundé (Cameroun) la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États africains et malgache associés (EAMA).
Le 20 juillet 1963, les Six et les dix-huit États africains et malgache associés (EAMA) signent à Yaoundé (Cameroun), une convention qui, valable pour cinq ans, confirme l'association Europe-Afrique sur la base d'une liberté des échanges commerciaux et d'une aide financière des Six.
Le 21 juillet 1963, au lendemain de la signature à Yaoundé (Cameroun) de la première convention d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et dix-huit États dits États africains et malgache associés (EAMA), le quotidien français Le Monde décrit les principales dispositions de l'accord.
Créé par le traité de Rome du 25 mars 1957, le Fonds européen de développement (FED) permet le financement d'infrastructures économiques et sociales. Sur la photo, l'exemple de la maternité de Ngozi au Burundi.
Dans ce rapport du 10 décembre 1964, fait au nom de la commission paritaire, le rapporteur Alioune Sissoko tire les conclusions de la première réunion de la Conférence parlementaire de l’Association, qui s’est tenue du 8 au 10 décembre 1964 à Dakar, en application de l’article 50 de la convention de Yaoundé entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États africains et malgache associés (EAMA).
Le 25 février 1965, la direction générale Acier de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) publie une note sur l’attitude de la Haute Autorité vis-à-vis des États africains et malgache associés (EAMA). Y sont notamment analysés les problèmes liés au domaine sidérurgique.
Résumé succinct des débats de la Conférence parlementaire de l’Association entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États africains et malgache associes (EAMA), qui a lieu du 10 au 14 décembre 1966 à Abidjan.
Lors de la Conférence parlementaire de l’Association entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États africains et malgache associes (EAMA), qui a lieu du 10 au 14 décembre 1966 à Abidjan, le rapporteur Alioune Sissoko expose, au nom de la commission paritaire, une proposition de résolution sur le deuxième rapport annuel d’activité du Conseil d’association.
Le 17 octobre 1967, le Conseil des Communautés européennes (CE) publie une communication de la Commission du 16 octobre sur le niveau moyen des préférences tarifaires dont bénéficient dans les États africains et malgache associés (EAMA) les produits importés originaires des États membres de la Communauté économique européenne (CEE).
Dans l’édition de mars 1968 de la revue mensuelle de la Chambre de commerce et d'industrie eurafricaine Eurafrica: Tribune du Tiers-Monde, l’ancien ministre belge des Affaires économiques et du Travail Léon-Éli Troclet revient sur l’évolution des échanges commerciaux entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États africains et malgache (EAMA) depuis la signature de la convention de Yaoundé en juillet 1963.
Le 3 avril 1968, la Commission des Communautés européennes (CE) adresse au Conseil une communication relative aux problèmes posés par le renouvellement de la convention de Yaoundé. Elle revient entre autre sur les questions économiques et commerciale, la coopération financière et technique ainsi que sur le droit d’établissement et de prestation de services.
Dans l’édition de mai 1968 de la revue mensuelle de la Chambre de commerce et d'industrie eurafricaine Eurafrica: Tribune du Tiers-Monde, le journaliste et écrivain belge Raoul Crabbé s’interroge sur les bases sur lesquelles la convention de Yaoundé entre la Communauté économique européenne (CEE) et les États africains et malgache (EAMA) sera renouvelée.
Dans ce rapport du 30 septembre 1968, fait au nom de la commission des relations avec les États africains et malgache associés (EAMA) du Parlement européen, le rapporteur Gaston Thorn examine les problèmes posés par le renouvellement de la convention de Yaoundé. Il revient notamment sur la structure institutionnelle prévue par la convention, analyse le développement des échanges commerciaux entre les EAMA et la Communauté économique européenne (CEE). Le rapport porte en outre sur la coopération financière et technique et, plus particulièrement, sur l’intervention du Fonds européen de développement (FED) et le rôle de la Banque européenne d’investissement (BEI) dans les EAMA.
Dans ce projet d’étude du 24 février 1969, fait au nom de la section spécialisée pour le développement de l’outre-mer du Comité économique et social (CES) des Communautés européennes, le rapporteur Monsieur Bodart expose les problèmes soulevés par le renouvellement de la convention de Yaoundé. Il revient notamment sur l’évolution des importations dans la Communauté économique européenne (CEE) des principaux produits originaires des États africains et malgache associés (EAMA), examine la mise en œuvre des dispositions de la convention et propose des modifications en vue de son renouvellement.
En avril 1969, Mario Pedini, sous-secrétaire italien aux Affaires étrangères, dresse un bilan des conventions de Yaoundé, détaillant l'emploi des subventions communautaires pour la période 1966-1968 et s'interroge sur les enjeux entourant la nouvelle convention à venir.