Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit l'importance de la guerre d'Algérie et de la crise de Suez sur le déroulement des négociations de Val Duchesse et l'engagement de la France en faveur de la construction européenne.
Signés les 20 et 21 juillet 1954 en présence du Premier ministre français Pierre Mendès France et du ministre des Affaires étrangères britannique Anthony Eden, les accords de Genève mettent fin à la guerre d'Indochine.
Vue aérienne de deux des vaisseaux sabordés par les Égyptiens à Port-Saïd, à l'entrée du canal de Suez, pour bloquer le trafic maritime. A droite, un navire britannique spécialisé dans les opérations de renflouement.
L'administration française face à la relance européenne
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit les réserves de la haute administration française face au projet de marché commun européen et rappelle la méthode appliquée par le gouvernement de Paris pour surmonter ces réserves et arrêter une position commune.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien ministre français des Affaires étrangères, aborde l'évolution des relations entre la France et la République démocratique allemande (RDA) à la fin des années soixante-dix dans la foulée de l'Ostpolitik de la République fédérale d'Allemagne (RFA).
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la présidence de la République française et ancien ministre des Affaires étrangères, décrit la nature des relations personnelles entre le président français Valéry Giscard d'Estaing et le chancelier allemand Helmut Schmidt et leur impact sur la politique européenne et internationale.
Le 16 juillet 1975, le président français Valéry Giscard d'Estaing et le chancelier allemand Helmut Schmidt s'entretiennent à Bruxelles des questions monétaires européennes.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la présidence de la République française et ancien ministre des Affaires étrangères, évoque la mise en œuvre en 1979 du Système monétaire européen (SME) sous l'impulsion conjointe du président français Valéry Giscard d'Estaing et du chancelier allemand Helmut Schmidt.
Le 5 décembre 1978, à l'issue du Conseil européen réuni à Bruxelles, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française, tient une conférence de presse au cours de laquelle il annonce la décision des Neuf d'instaurer, au 1er janvier 1979, le Système monétaire européen (SME).
Dans cette interview, Jacques F. Poos, ancien ministre luxembourgeois des Finances, rappelle les objectifs et les enjeux du Système monétaire européen (SME) en 1979 et évoque son influence sur la discipline monétaire en Europe avant et après l'adoption de l'euro.
L'élection du Parlement européen au suffrage universel
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien ministre français des Affaires étrangères, évoque les débats provoqués en France, au sein notamment d'une partie de la droite parlementaire, par l'élection en 1979 du Parlement européen au suffrage universel direct.
Affiche française - réalisée par l'artiste belge Jean-Michel Folon - pour la campagne des premières élections du Parlement européen au suffrage universel direct (10 juin 1979).
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien ministre français des Affaires étrangères et actuellement sénateur du Lot-et-Garonne, rappelle l'attitude du président français François Mitterrand au moment de la chute du Mur de Berlin en novembre 1989 et de la réunification allemande l'année suivante.
En 1996, François Mitterrand, président de la République française de 1981 à 1995, se souvient de l'attitude des pays européens à l'égard de la réunification de l'Allemagne à la veille du Conseil européen de Strasbourg des 8 et 9 décembre 1989.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien ministre français des Affaires étrangères et aujourd'hui vice-président de la délégation du Sénat pour l'Union européenne, se félicite des résultats des travaux de la Convention sur l'avenir de l'Europe chargée, de 2002 à 2003, de proposer une réforme des institutions de l'UE.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière session à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, son président Valéry Giscard d'Estaing dresse un bilan de l'expérience et des résultats engrangés à l'issue des travaux de la Convention.
La construction européenne après le refus de l'Irlande du traité de Lisbonne
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien ministre français des Affaires étrangères et aujourd'hui vice-président de la délégation du Sénat pour l'Union européenne, avance quelques pistes de solution pour sortir l'UE de la crise politique dans laquelle elle se trouve enlisée suite au résultat négatif du référendum organisé en Irlande le 12 juin 2008 sur la ratification du traité de Lisbonne.