Le 16 décembre 1945, le président américain Harry S. Truman publie une déclaration sur la politique des États-Unis à l'égard de la Chine et dénonce la montée des communistes.
En 1946, le maréchal Tchang Kaï-Chek, ancien président du gouvernement nationaliste chinois, s'adresse à la foule lors de son retour à Shanghai après l'occupation japonaise. A sa dr.: le lieutenant général A. C. Wedemeyer, commandant des forces américaines en Chine et à sa g.: son épouse Soong May-ling.
Le 22 janvier 1949, le journal allemand Süddeutsche Zeitung dresse un portrait du leader nationaliste chinois Tchang Kaï-Chek qui doit s'effacer après la prise de Pékin par les troupes communistes chinoises.
Leader du parti nationaliste chinois, Tchang Kaï-Chek (1886-1975) a lutté contre la mainmise japonaise puis contre le parti communiste mené par Mao Tsé-Tung. Défait en 1949, il s'exile à Formose.
Dans ses Mémoires, le président américain Harry S. Truman se souvient de la politique menée par les États-Unis face à la guerre civile en Chine au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Le 1er octobre 1949, lors de la proclamation de la République populaire de Chine, le quotidien soviétique Pravda salue les efforts du peuple chinois guidé par Mao Tsé-Tung pour parvenir à cette révolution.
Le 7 janvier 1950, le quotidien italien Corriere della Sera commente la reconnaissance de la Chine communiste de Mao Tsé-Tung par la Grande-Bretagne et évoque la position des États-Unis face à l'arrivée au pouvoir du leader communiste.
Fondateur du parti communiste chinois (PCC), Mao Tsé-Toung (1893-1976) fut président de la République populaire de Chine de 1954 à 1959 et l'instigateur du Grand bond en avant et de la révolution culturelle et prolétarienne (1965-1968).