Le 24 septembre 1952, Paul Ribeyre, ministre français de la Santé publique et de la Population, propose à ses collègues du Conseil des ministres la création d'une Communauté européenne de la Santé.
Répondant en octobre 1952 aux interrogations des milieux pharmaceutiques français, Paul Ribeyre, ministre de la Santé Publique et de la Population, définit les objectifs du projet de Communauté européenne de la Santé.
Le 28 octobre 1952, le ministre français de la Santé publique et de la Population, Paul Ribeyre, convoque un certain nombre de représentants des professions médicales pour faire le point sur la Communauté européenne de la santé.
Le 11 octobre 1952, la Légation de France à Luxembourg soumet au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères une note qui détaille les avantages d'une Communauté européenne de la Santé.
Le 28 novembre 1952, la Direction de la Santé publique du Luxembourg rend un avis favorable sur le projet français de Communauté européenne de la santé.
Le 12 décembre 1952, Robert Schuman, ministre français des Affaires étrangères, ouvre à Paris la conférence préparatoire sur la Communauté européenne de la santé en présence des représentants de la Belgique, de l'Italie, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la République fédérale d'Allemagne, du Royaume-Uni, de la Suisse et de la Turquie.
Le 12 décembre 1952, Paul Ribeyre, ministre français de la Santé Publique et de la Population, expose les enjeux du pool blanc aux délégations nationales réunies à Paris.
Du 12 au 13 décembre 1952, les représentants de pays membres de l'OECE (sauf l'Irlande et le Portugal) se réunissent à Paris pour discuter des enjeux d'une coopération européenne dans le domaine de la santé.
Le 13 décembre 1952, la conférence de Paris préparatoire à la Communauté européenne de la santé adopte une résolution qui encourage les États participants à désigner rapidement des experts pour définir les méthodes de coopération en Europe dans le domaine de la santé.
Le 13 décembre 1952, le quotidien français Combat analyse le projet de Paul Ribeyre, ancien ministre français de la Santé publique et de la Population, qui vise à créer une Communauté européenne de la santé aussitôt qualifiée de "Pool blanc".
Le 1er janvier 1953, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel analyse le plan européen proposé par Paul Ribeyre, ancien ministre français de la Santé publique et de la Population, qui, plus connu sous le nom de "Pool blanc", vise à créer une communauté européenne de la Santé et des industries pharmaceutiques.
Le 4 janvier 1954, François Seydoux, directeur des Affaires d'Europe au ministère français des Affaires étrangères, remet au secrétaire général du Conseil de l'Europe une note dans laquelle il suggère plusieurs pistes susceptibles de renforcer la coopération européenne dans le domaine de la santé publique.
Le 9 février 1954, la Direction de la Santé publique luxembourgeoise appuie la proposition française de mettre le problème d'une coopération européenne dans le domaine de la santé à l'étude au sein du Conseil de l'Europe.