Le 16 juin 1947, le caricaturiste britannique Leslie Gilbert Illingworth illustre la menace représentée par le leader soviétique Joseph Staline qui, de façon méthodique, essaie d’étendre sa zone d'influence des pays d'Europe centrale vers ceux de l'Europe occidentale.
In einem bei der Informationsberatung der kommunistischen Parteien in Szklarska Poreba, Polen, vorgetragenen Bericht am 22. September 1947 kritisiert Andrej Shdanov, dritter Sekretär der Kommunistischen Partei der Sowjetunion (KPdSU), heftig die amerikanische Politik. Bei dieser Informationsberatung treffen sich die Vertreter der kommunistischen Parteien aus der Sowjetunion, Bulgarien, Frankreich, Ungarn, Italien, Polen, Rumänien, Tschechoslowakei und Jugoslawien.
En septembre 1947 a lieu à Szklarska Poreba en Pologne une conférence d'information des partis communistes soviétique, bulgare, français, hongrois, italien, polonais, roumain, tchécoslovaque et yougoslave. A l'occasion de cette conférence, une déclaration critiquant l'impérialisme américain et occidentale est publiée.
Am 7. Oktober 1947 zählt die französische Tageszeitung Le Monde die politischen Ziele der neuen kommunistischen Internationale auf und unterstreicht die Vorherrschaft der Sowjetunion in dieser neuen Organisation.
Le 15 février 1948, le caricaturiste Gacq dénonce dans l'hebdomadaire bruxellois Le Phare Dimanche l'attitude faussement protectrice de l'Union soviétique à l'égard d'un continent européen exsangue.
"Qui sera le prochain à être libéré de la paix, camarade?" En mars 1948, le caricaturiste anglais David Low illustre la menace communiste qui pèse sur l'Europe toute entière et dénonce la mainmise effective de Moscou sur un certain nombre de pays tels que la Tchécoslovaquie, la Hongrie, la Bulgarie...De g. à dr., le leader soviétique Joseph Staline et son ministre des Affaires étrangères Viatcheslav Molotov.
Am 13. März 1948 hält der belgische Premierminister und Außenminister Paul-Henri Spaak in Luxemburg einen Vortrag, in dem er das Wesen und die Gefahren der sowjetischen Außenpolitik erläutert.
Vor den österreichischen Parlamentswahlen am 9. Oktober 1949 warnt die Österreichische Volkspartei (ÖVP) die Wähler des Landes vor der Bedrohung durch die „kommunistischen Tentakel“.
"Le beau-père: J'ai déjà assez d'enfants, mais tu me plais tellement, que je voudrais bien t'adopter." Le 1er avril 1950, le quotidien allemand Der Mittag illustre la volonté des Soviétiques de récupérer Berlin-ouest et d’étendre ainsi leur zone d’influence en Europe centrale.
Le 12 octobre 1951, le quotidien russe Izvestia souligne l'action positive du peuple soviétique et de son dirigeant Joseph Staline en faveur du maintien de la paix dans le monde et rappelle la volonté des États socialistes et de l'URSS de respecter les engagements de "l'appel de Stockholm".
"Joseph, l'insatiable". En juin 1952, le caricaturiste Simon illustre dans le quotidien socialiste luxembourgeois Tageblatt les travers de la politique de planification économique soviétique.
En décembre 1952, Paolo Emilio Taviani, sous-secrétaire d'État italien aux Affaires étrangères, dénonce les visées politiques des dirigeants de Moscou et présente l'unification de l'Europe comme un rempart contre la menace communiste.
Au début de la Guerre froide, le "Plan Molotov (ministre des Affaires étrangères d'Union soviétique de 1939 à 1949 et de 1953 à 1956) pour le règlement définitif de tous les problèmes mondiaux" prévoit que le monde évolue selon les principes communistes et soviétiques.
Le 17 septembre 1946, Alexander Werth, correspondant de l'hebdomadaire britannique The Sunday Times, interroge le général soviétique Joseph Staline sur la situation internationale et sur le danger d'une nouvelle guerre mondiale.
Am 29. August 1949 testet die Sowjetunion auf dem Atomwaffentestgelände von Semipalatinsk in Kasachstan ihre erste Atombombe mit einer Leistung von 22 Kilotonnen.
Am 25. September 1949 stellt die französische Tageszeitung Le Monde fest, was die Tatsache, dass die Sowjetunion über atomare Waffen verfügt, für den Westen bedeutet, und spricht die Kontrolle von Massenvernichtungswaffen an.
Le 4 octobre 1949, le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera décrit les conséquences pour l'Occident de l'acquisition par Moscou de l'arme atomique et brosse le scénario d'un éventuel conflit nucléaire entre les États-Unis et l'Union soviétique.
„He! he! holt doch die unnützen Stangen da weg und tragt sie nach vorn! Wir müssen eine gemeinsame Barrikade errichten …!“ Im April 1950 ruft der deutsche Karikaturist Stig die europäischen Länder zur Einheit gegen die sowjetische Bedrohung auf.
"L'ange de la paix cherche un nouveau champ de bataille: L'ange de la paix Joseph: A qui le tour d'être «libéré» ?" En septembre 1951, le caricaturiste Simon critique dans le quotidien socialiste luxembourgeois Tageblatt la politique internationale du leader soviétique Joseph Staline.
Le 6 octobre 1951, Joseph Staline accorde à la Pravda un entretien au cours duquel il répond aux attaques américaines contre la politique nucléaire de l'Union soviétique.
"Jo-Jo- La Colombe". En 1951, le mouvement anti-communiste français Paix et Liberté publie une affiche qui dénonce les véritables visées politico-militaires du leader soviétique Joseph Staline en insistant notamment sur le caractère belliqueux du personnage.
En pleine Guerre froide, l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) dresse un rapport sur l'évolution des forces armées soviétiques entre 1947 et 1954 et insiste sur la menace que celles-ci font peser sur l'Europe occidentale.
Am 26. Februar 1948 lässt die französische Tageszeitung Le Monde die Ereignisse Revue passieren, die am 25. Februar in Prag unter dem Druck von Klement Gottwald mit Unterstützung der Sowjetunion zur Demission von Präsident Benesch geführt haben.
Am 26. Februar 1948 berichtet die luxemburgische Tageszeitung Luxemburger Wort über die Ereignisse des „Prager Staatsstreichs“, der den tschechoslowakischen Kommunisten die Mehrheit in der Regierung Klement Gottwalds sichert, und zwar auf Kosten der Demokraten unter der Führung von Jan Masaryks.
Le 26 février 1948, tirant les leçons du "coup de Prague" qui assure aux communistes tchécoslovaques la prééminence au sein du gouvernement de Klement Gottwald au détriment des démocrates menés par Jan Masaryk, le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera dénonce la mainmise de Moscou sur le pays et rappelle les récents efforts de démocratisation et d’ouverture de la Tchécoslovaquie.
Am 27. Februar 1948 befasst sich die luxemburgische Tageszeitung Luxemburger Wort mit den von der neuen Regierung Klement Gottwalds zur Stabilisierung der kommunistischen Macht in der Tschechoslowakei durchgeführten Säuberungs-Aktionen.
Am 28. Februar 1948 analysiert die deutsche Tageszeitung Süddeutsche Zeitung die Folgen des „Prager Staatsstreichs“, der in der Tschechoslowakei in die Etablierung einer kommunistischen Regierung unter der Führung von Klement Gottwald mündet.
Dans ses Mémoires, Georges Bidault, ancien ministre français des Affaires étrangères, s'inquiète des conséquences du "coup de Prague" qui aboutit à la prise du pouvoir des communistes tchécoslovaques au détriment des démocrates menés par Jan Masaryk et insiste sur la menace que fait peser l'URSS sur l'Europe occidentale.
En février 1948, la foule manifeste dans les rues de Prague contre le coup d'État à l'issue duquel les communistes dirigés par Klement Gottwald ont écarté les autres partis politiques du gouvernement tchécoslovaque démocratiquement élu.
Le 11 mars 1948, le quotidien britannique Daily Mail titre en Une sur les conséquences du "coup de Prague" qui aboutit à l'instauration en Tchécoslovaquie d'un gouvernement communiste dirigé par Klement Gottwald et s'interroge sur la mort suspecte, la veille, du ministre des Affaires étrangères tchécoslovaque Jan Masaryk.
Am 6. Juni 1947 berichtet die luxemburgische Tageszeitung Luxemburger Wort über die Ereignisse, die in Ungarn zur Ablösung der demokratischen Regierung von Ministerpräsident Imre Nagy durch die kommunistische Regierung Rákosi geführt haben.
Le 9 février 1949, Dean Acheson, secrétaire d'État américain, prononce une déclaration dans laquelle il dénonce le procès en cours du cardinal hongrois Josef Mindszenty et condamne les agissements totalitaires et policiens des communistes en Hongrie.
"Derrière le rideau." Le 25 septembre 1945, le caricaturiste britannique David Low illustre l'inquiétude des puissances occidentales quant au sort réservé par l'Union soviétique aux pays d'Europe de l'Est et dénonce notamment la mise au pas de ces pays par Moscou. De g. à dr., James Byrnes, secrétaire d'Etat américain, Ernest Bevin, ministre britannique des Affaires étrangères et Molotov, ministre soviétique des Affaires étrangères.
En décembre 1950, Guy Mollet, ministre d'État français chargé du Conseil de l'Europe, publie un article dans la revue Notre Europe pour faire part de ses inquiétudes quant au sort réservé par l'Union soviétique aux pays européens situés derrière le rideau de fer.
"Elle tisse des nouveaux fils au-dessus de l'Europe". Le 10 octobre 1947, le quotidien Hannover Presse illustre la difficile position de l'Europe occidentale face à la menace d'expansion idéologique communiste.
Le 14 octobre 1947, le quotidien Luxemburger Wort s'interroge sur les objectifs du Kominform, organe de coordination idéologique du mouvement communiste installé à Belgrade et créé par les délégués des partis communistes d'Union soviétique, de Pologne, de Yougoslavie, de Bulgarie, de Roumanie, de Hongrie, de Tchécoslovaquie, d'Italie et de France.
En novembre 1949, le Bureau communiste d'information publie une série de résolutions qui dénoncent la politique impérialiste des États-Unis et de ses alliés occidentaux et appelle à l'union de l'ensemble des travailleurs pour lutter contre les dangers de l'impérialisme et du capitalisme.