Le 14 décembre 2001, en ouverture du Conseil européen de Laeken, Nicole Fontaine, présidente du Parlement européen, accueille favorablement la déclaration sur l'avenir de l'Union européenne et souligne l'importance de la méthode communautaire pour renforcer les institutions européennes.
Le Conseil européen de Laeken des 14 et 15 décembre 2001, porte principalement sur l'élargissement de l'Union européenne. C'est à l'issue de ce Conseil que les Quinze adoptent la Déclaration sur l'avenir de l'Union européenne et décident de la convocation d'une convention sur l'avenir de l'Union.
Le 14 décembre 2001, en marge du Conseil européen de Laeken, des manifestants défilent dans les rues de Bruxelles pour réclamer notamment la mise en oeuvre d'une Union européenne plus sociale.
Le 14 décembre 2001, en marge du Conseil européen de Laeken à Bruxelles, quelques 20 000 manifestants appellent à la mise en place d'une Europe sociale et de la solidarité. Sur la photo : des manifestants français de l'APEIS (Association pour l'Emploi, l'Information et la Solidarité engagée dans la lutte contre le non-respect des droits des chômeurs).
Le 14 décembre 2001, à l'occasion de Conseil européen de Laeken, le quotidien français Le Figaro se penche sur les enjeux des débats sur l'avenir de l'Europe et sur la réforme des institutions communautaires.
Un an après la Conférence intergouvernementale (CIG) de décembre 2000 qui lançait à Nice le débat sur l'avenir de l'Union européenne, la Déclaration de Laeken du 15 décembre 2001 réaménage et concrétise les questions soulevées à Nice sur la réforme des institutions : la répartition des compétences entre l'Union et les États membres, la simplification des instruments législatifs de l'Union, l'équilibre institutionnel et l'efficacité du processus décisionnel ou encore la constitutionnalisation des traités sont les points essentiels au menu de la Convention sur l'avenir de l'Europe qui tient sa séance inaugurale à Bruxelles le 28 février 2002.
Le 17 décembre 2001, Tony Blair, Premier ministre britannique, expose devant la Chambre des Communes les résultats du Conseil européen de Laeken et accueille favorablement la Déclaration sur l'avenir de l'Union européenne.
Le 17 décembre 2001, commentant les décisions du Conseil européen de Laeken, le quotidien français Le Monde expose les enjeux politiques et institutionnels de la future Convention sur l'avenir de l'Europe.
Le 17 décembre 2001, le quotidien Luxemburger Wort accueille favorablement la déclaration de Laeken et souligne la nécessité de rendre le fonctionnement de l'Union européenne plus transparent.
Le 17 décembre 2001, à l'issue du Conseil européen de Laeken, le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung détaille les missions de la future Convention européenne sur l'avenir de l'Europe.
Le 17 décembre 2001, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung estime que la Déclaration de Laeken sur l'avenir de l'Union européenne et la future Convention européenne ouvrent la voie pour définir l'avenir de l'Europe unie.
Le 17 décembre 2001, le quotidien allemand Die Welt souligne que les travaux de la Convention sur l'avenir de l'Europe offrent une occasion unique de conférer à l'Union européenne une véritable légitimité politique.
Dans son édition d'automne 2001, la revue fédéraliste L'Europe en formation commente les enjeux du Conseil européen de Laeken des 14 et 15 décembre 2001 et fixe les conditions à remplir pour pouvoir construire une Europe fédérale.
En 2002, l'Allemand Elmar Brok, représentant du Parlement européen à la Conférence intergouvernementale (CIG) de 2000, livre ses réflexions critiques sur les résultats du Conseil européen de Laeken des 14 et 15 décembre 2001 et souligne la nécessité d'une réussite des travaux de la future Convention sur l'avenir de l'Europe.
En avril 2002, Cesidio Guazzaroni, ambassadeur et ancien directeur général pour les affaires économiques au ministère italien des Affaires étrangères, analyse dans la revue italienne Affari esteri les résultats du Conseil européen de Laeken des 14 et 15 décembre 2001 et dresse la liste des défis qui se présentent à l'Union européenne.
En avril 2002, Pierro Calamia, ancien ambassadeur et ancien représentant permanent de l'Italie auprès des Communautés européennes, commente la Déclaration de Laeken et la convocation d'une Convention sur l'avenir de l'Europe.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, évoque la mise en place de la Convention qui fait suite à la déclaration de Laeken et revient sur les circonstances de sa désignation en tant que président de cette convention.
Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président entre 2002 et 2003 de la Convention sur l'avenir de l'Europe.
Le 28 février 2002, Pat Cox, président du Parlement européen, prononce à l'occasion de l'ouverture solennelle de la Convention sur l'avenir de l'Europe un discours dans lequel il souligne l'importance de cette journée pour la démocratie européenne et la méthode parlementaire.
Le 28 février 2002, la Convention sur l'avenir de l'Europe tient sa session inaugurale à Bruxelles. De g. à dr.: Giuliano Amato (vice-président), Valéry Giscard d'Estaing (président) et Jean-Luc Dehaene (vice-président).
"Consolidation interne". En février 2002, le caricaturiste allemand Mohr illustre les efforts de Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention sur l'avenir de l'Europe, en vue de l'élaboration d'un projet de traité constitutionnel européen.
Le 27 avril 2002, lors d'une conférence à Bruxelles, Jean-Luc Dehaene, ancien Premier ministre belge et vice-président de la Convention sur l'avenir de l'Europe, souligne les enjeux de la Convention et explique le choix de cette méthode pour définir l'avenir de l'Europe unie.
En 2002, la revue fédéraliste L'Europe en formation compare la Convention sur l'avenir de l'Europe avec la Convention de Philadelphie (Pennsylvanie) qui, en 1787, a préparé la Constitution des États-Unis d'Amérique.
Le 27 novembre 2002, Emilio Gabaglio, secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES) et observateur à la Convention sur l'avenir de l'Europe, adresse à Sir John Kerr, secrétaire général de la Convention, une contribution détaillée dans laquelle il plaide pour le renforcement d'une Europe sociale et des citoyens.
En automne 2002, le Français Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, analyse dans la revue Commentaire les arguments et les éléments neufs dans le débat entre fédéralistes et souverainistes au sein de la Convention.
Le 28 novembre 2002, Tony Blair, Premier ministre britannique, souligne l'importance des travaux de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe et expose son point de vue en ce qui concerne le rôle de la Grande-Bretagne dans une Europe plus forte et plus démocratique.
Le 4 décembre 2002, la Commission européenne rend public un avant-projet de Constitution de l'Union européenne, dit projet "Pénélope", qui, élaboré par un groupe d'experts à la demande du président Romano Prodi en accord avec les commissaires Michel Barnier et António Vitorino, fixe le fonctionnement des institutions communautaires et des politiques à conduire dans le cadre de l'Union.
Le 4 décembre 2002, Louis Michel, ministre belge des Affaires étrangères, Gijs de Vries, ministre néerlandais des Affaires étrangères, et Jacques Santer, membre luxembourgeois du Parlement européen - tous trois représentants des chefs d'État ou de gouvernement de leur pays au sein de la Convention européenne - adressent à Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention, un mémorandum dans lequel les pays du Benelux plaident pour une réforme des institutions communautaires.
Le 22 janvier 2003, Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention européenne, accorde au quotidien français Le Figaro une interview au cours de laquelle il décrit le rôle et le fonctionnement des institutions communautaires et les débats de la Convention au sujet de leur réforme.
Le 15 janvier 2003, Dominique de Villepin, ministre français des Affaires étrangères, et son homologue allemand Joschka Fischer, tous deux membres de la Convention européenne, transmettent au secrétariat de la Convention une contribution conjointe de Jacques Chirac, président de la République française, et de Gerhard Schroeder, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), qui plaident pour une réforme des institutions de l'Union européenne.
"Les piliers de l'Europe". Le 16 janvier 2003, dans le cadre des travaux de la Convention sur l'avenir de l'Europe, le caricaturiste allemand Sakurai illustre l’action commune de Jacques Chirac, président de la République française, et de Gerhard Schroeder, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), qui plaident pour une réforme des institutions de l'Union européenne.
En février 2003, Ana Palacio, ministre espagnole des Affaires étrangères, détaille les travaux de la Convention européenne et présente les multiples avancées résultant du projet de constitution européenne.
Le 19 février 2003, Göran Persson, Premier ministre de Suède, détaille devant le Parlement suédois la position de son gouvernement sur les travaux de la Convention européenne et sur l'avenir de l'Union européenne.
En avril 2003, Giuliano Amato, ancien président du Conseil des ministres italien et vice-président de la Convention européenne, dresse dans la revue Affari esteri la liste de ce que devraient être les objectifs de la diplomatie italienne dans le cadre des débats de la Convention européenne.
Le 13 juin 2003 à Bruxelles, lors de la dernière session de travail de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, son président Valéry Giscard d'Estaing demande aux conventionnels leur approbation du projet de traité constitutionnel européen.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière session à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, Ana Palacio Vallelersundi, ministre espagnole des Affaires étrangères, expose son analyse du projet de traité constitutionnel européen.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière session à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, Michel Barnier, commissaire européen en charge de la réforme des institutions et représentant de la Commission européenne au sein de la Convention, expose son analyse du projet de traité constitutionnel européen.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière séance à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, Dominique de Villepin, ministre français des Affaires étrangères, expose son analyse du projet de traité constitutionnel européen.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière session à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, Joschka Fischer, ministre allemand des Affaires étrangères, expose son analyse du projet de traité constitutionnel européen.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière session à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, son président Valéry Giscard d'Estaing dresse un bilan de l'expérience et des résultats engrangés à l'issue des travaux de la Convention.
Projet de traité établissant une Constitution pour l'Europe adopté par la Convention européenne les 13 juin et 10 juillet 2003 et remis au président du Conseil européen à Rome le 18 juillet 2003.
Dans un entretien publié le 15 juin 2003, Ana Palacio, ministre espagnole des Affaires étrangères, se montre satisfaite des résultats du projet de constitution européenne et souligne la solidité de la relation bilatérale franco-allemande qui s'est consolidée depuis le 40e anniversaire du traité de l’Élysée. Ana Palacio prône une intégration accrue en matière de politique extérieure et de défense et affirme que l’Espagne a été pionnière dans l'élaboration de la Convention européenne en demandant une politique étrangère commune élargie.
Le 15 juin 2003, le quotidien madrilène El País indique les enjeux européens futurs qui attendent l’Espagne dans la nouvelle Europe qui se construit. L’un des défis pour l’Espagne est de trouver un équilibre entre l’intérêt individuel espagnol et l’intérêt général européen. Le gouvernement devrait faire figurer au rang de ses priorités, entre autres, les relations euro-méditerranéennes et la promotion de nouvelles politiques vers le continent américain. Ces deux zones constituent des régions où l’Espagne peut jouer un rôle important dans le cadre de l’Union européenne.
Le 19 juin 2003, Pat Cox, président du Parlement européen, exprime devant le Conseil européen de Thessalonique sa satisfaction en ce qui concerne le projet de traité constitutionnel pour l'Union européenne.
Les 19 et 20 juin 2003, Valéry Giscard d'Estaing présente au Conseil européen de Thessalonique le projet de traité établissant une Constitution pour l'Europe élaboré par la Convention sur l'avenir de l'Union européenne qu'il préside.
Le 20 juin 2003, lors du Conseil européen de Thessalonique, Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention sur l'avenir de l'Europe, présente le projet de traité constitutionnel aux chefs d'État ou de gouvernement des Quinze. La version finale du projet sera adoptée le 10 juillet et remise au président du Conseil européen à Rome le 18 juillet 2003.
"Merci beaucoup, Maître, NOUS nous occupons du reste!" Le 20 juin 2003, à l'occasion du Conseil européen de Thessalonique, Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention sur l'avenir de l'Europe, présente le projet de traité constitutionnel aux chefs d'État ou de gouvernement des Quinze. A l'issue du Conseil européen, le caricaturiste allemand Sakurai prédit des difficiles négociations entre les différents gouvernements des États membres en vue de la mise en place d'une future Constitution européenne.
Le 3 octobre 2003, à la veille de l'ouverture à Rome de la Conférence intergouvernementale (CIG), Jean-Claude Juncker, Premier ministre luxembourgeois, explique dans l'hebdomadaire d'Lëtzebuerger Land les résultats de la Convention sur l'avenir de l'Europe et le déroulement des travaux futurs.
En novembre 2003, Elmar Brok, représentant du Parlement européen à la Convention européenne, se félicite des résultats obtenus par la Convention et appelle les chefs d'État ou de gouvernement à adopter dans son intégralité le projet de traité constitutionnel européen.
En mars 2003, Giovanni Castellaneta, conseiller du président du Conseil des ministres italien, retrace le chemin parcouru par la Convention européenne et dresse une liste en cinq points avec les réformes essentielles.
Le 18 juillet 2003, lors d'une cérémonie solennelle à Rome, Valéry Giscard d'Estaing (à gauche), président de la Convention européenne remet à Silvio Berlusconi (à droite), président du Conseil des ministres italien et président en exercice du Conseil européen, le rapport final du projet de traité instituant une constitution pour l'Europe.
En novembre 2003, l'Italien Tommaso Padoa-Schioppa, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), critique les carences du projet de Constitution européenne élaboré par la Convention européenne et remis le 18 juillet 2003 à Rome à Silvio Berlusconi, président en exercice du Conseil de l'Union européenne, en ouverture de la Conférence intergouvernementale (CIG).
En automne 2003, le Français Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, analyse dans la revue Commentaire le résultat des travaux de la Convention et se félicite de la méthode conventionnelle pour porter le débat sur l'avenir de l'Union européenne.
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien Premier ministre luxembourgeois et ancien président de la Commission européenne, évoque les raisons qui ont amené, en décembre 2001, les Douze à créer la Convention européenne dont il a fait partie, de février 2002 à juin 2003, en qualité de représentant personnel du Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker.
Dans cette interview, Jacques Santer, ancien membre de la Convention européenne en qualité de représentant personnel du Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, décrit le rôle de "go between" des trois pays du Benelux, notamment lors de désaccords entre Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention européenne, et certains petits États membres sur les enjeux institutionnels du futur traité établissant une Constitution pour l'Europe.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien ministre français des Affaires étrangères et aujourd'hui vice-président de la délégation du Sénat pour l'Union européenne, se félicite des résultats des travaux de la Convention sur l'avenir de l'Europe chargée, de 2002 à 2003, de proposer une réforme des institutions de l'UE.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, revient sur les origines et les objectifs de la Convention sur l'avenir de l'Europe qui débute ses travaux le 27 février 2002.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, évoque les raisons pour lesquelles Valéry Giscard d'Estaing est nommé président de cette Convention.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, explique la méthode de travail mise en place au sein de la Convention par son président Valéry Giscard d'Estaing pour parvenir à un consensus.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, décrit les différentes composantes politiques et institutionnelles représentées au sein de la Convention, le rôle du PPE, et finalement les principaux clivages au sein de la Convention.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, explique comment la Convention a adopté le concept d'une constitution, et comment elle a retenu l'option d'un texte unique qui intègre et remplace tous les traités antérieurs.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002, évoque les circonstances dans lesquelles les Quinze, à l'issue du Conseil européen de Laeken des 14 et 15 décembre 2001, adoptent la Déclaration sur l'avenir de l'Union européenne (UE) et décident de la convocation d'une Convention sur l'avenir de l'UE.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002 et représentant du gouvernement français à la Convention sur l'avenir de l'Europe en 2002, décrit les circonstances de la nomination de Valéry Giscard d'Estaing à la présidence de cette convention.
Dans cette interview, Pierre Moscovici, ministre français délégué auprès du ministre des Affaires étrangères chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002 et représentant du gouvernement français à la Convention sur l'avenir de l'Europe en 2002, exprime sa préférence pour cette méthode qu'il juge plus efficace en la comparant à celle de la Conférence intergouvernementale (CIG).
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, explique la composition de la convention et décrit le rôle des composantes institutionnelles à l'intérieur de cette convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, évoque l'attitude des représentants des États candidats à l'adhésion à l'Union européenne au cours de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, évoque les relations avec les présidences successives du Conseil de l'Union européenne, l'Espagne, le Danemark et la Grèce, durant les travaux de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, évoque le rôle de la société civile et des clivages politiques dans le débat au sein de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, insiste sur la méthode de travail basée sur la transparence et l'ouverture mise en place lors de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, décrit la méthode par consensus employée au cours de la convention ayant permis d'aboutir au projet de traité établissant une constitution pour l'Europe.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, évoque la composition et le fonctionnement du Praesidium de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, revient sur la composition et le rôle du Secrétariat général de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, relève le peu d'impact qu'a eu l'invasion américaine de l'Irak sur les travaux de la convention.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, rappelle pourquoi la question des frontières de l'Union européenne ne fut pas évoquée lors des débats de la Convention et signale les positions de la Turquie au cours de ces mêmes travaux.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, résume le débat qui a eu lieu lors des travaux de la convention quant à l'inclusion ou non d'une référence aux origines chrétiennes de l'Europe dans le texte final.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, fait part de son pessimisme sur l'avenir de la méthode conventionnelle pour réformer les traités européens.
Dans cet extrait d'interview, Jacques Delors, président de la Commission des Communautés européennes de 1985 à 1995, souligne la « fatigue » des Etats membres à l'égard du processus de révision des traités, et la nécessité, au-delà de la procédure de retrait admise par le traité de Lisbonne, de rendre plus flexible la procédure de révision des traités.
Dans cette interview, Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française de 1974 à 1981 et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe de décembre 2001 à juillet 2003, évoque ses regrets concernant la présentation de la troisième partie du projet de traité établissant une constitution pour l'Europe concernant les politiques et le fonctionnement de l'Union européenne.