Carte indiquant les lieux successifs de négociation des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom): Messine, Venise et Val Duchesse (Bruxelles).
Le 26 juin 1956, Maurice Faure, secrétaire d'État aux Affaires étrangères et chef de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, s'entretient à Bruxelles avec Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale, sur les enjeux de la relance européenne et des futures négociations diplomatiques.
En 1956, après la pause estivale, les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) inaugurent au château de Val Duchesse à Bruxelles les travaux de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom placée sous la présidence du Belge Paul-Henri Spaak.
Le 26 juillet 1956, Maurice Faure, secrétaire d'État français aux Affaires étrangères et chef de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, tient devant les chefs des autres délégations nationales réunis au château de Val Duchesse un discours dans lequel il explique la position de la France par rapport à la création d'une Communauté économique européenne et d'une Communauté atomique européenne.
En 1957, réagissant aux événements de Hongrie et de Suez, Alfred Müller-Armack, conseiller de Ludwig Erhard, ministre allemand des Affaires économiques, s'interroge sur la capacité des négociations intergouvernementales en cours sur le Marché commun de permettre à l'Europe d'assumer ses responsabilités politiques.
Le 26 juin 1956, les chefs de délégation des Six inaugurent officiellement à Bruxelles les travaux de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom. De g. à dr., dans le Grand Salon du ministère belge des Affaires étrangères: Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence, Lodovico Benvenuti (Italie), le baron Jean-Charles Snoy et d'Oppuers (Belgique), Karl Friedrich Ophüls (RFA), Maurice Faure (France), Johannes Linthorst Homan (Pays-Bas) et Lambert Schaus (Luxembourg).
Propriété de la Donation royale, c'est au château de Val Duchesse, à Auderghem près de Bruxelles, que se sont déroulés, de juillet 1956 à mars 1957, les travaux de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom puis ceux du comité intérimaire.
Le 19 septembre 1956, la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom soumet aux autres délégations ses positions sur les questions à soumettre aux ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 24 septembre 1956, Max Kohnstamm, secrétaire de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et secrétaire général du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe rédige une note dans laquelle il dresse un état des lieux des négociations en cours concernant la mise en œuvre d'Euratom et d'un marché commun et détaille les questions les plus importantes qui restent à négocier à Bruxelles.
Le 12 octobre 1956, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, remet au comité des chefs de délégation de la Conférence un mémorandum dans lequel il fait le point sur les notes françaises et allemandes en ce qui concerne la création d'une Communauté économique européenne (CEE) et d'une Communauté atomique européenne.
Le 7 janvier 1957, en marge des négociations diplomatiques à Val Duchesse, le groupe de travail de l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) établit un mémorandum sur les progrès de la relance européenne et commente les projets d'Euratom et du Marché commun.
Le 18 janvier 1957, Gaetano Martino, ministre italien des Affaires étrangères, explique devant les membres la Chambre des députés italienne les objectifs économiques et politiques des négociations menées à Val Duchesse par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) en vue d'instituer la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 18 janvier 1957, le Conseil des ministres néerlandais réuni en session extraordinaire procède à un examen détaillé des dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 19 janvier 1957, le quotidien néerlandais Het Parool examine l'avancée des négociations à Val Duchesse au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom en insistant particulièrement sur les exigences de la France en matière agricole.
Le 21 janvier 1957, deux mois avant leur signature à Rome, le Conseil des ministres néerlandais réuni en session extraordinaire procède à un examen final des dispositions des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Le 25 janvier 1957, l'hebdomadaire allemand Rheinischer Merkur rend compte des résultats des négociations de Val Duchesse et décrit les dernières difficultés à résoudre pour la réalisation d'un Marché commun.
Le 26 janvier 1957, le quotidien milanais Il nuovo Corriere della Sera rappelle les enjeux, notamment pour l'Italie, des négociations à Val Duchesse de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Le 27 janvier 1957, le quotidien conservateur La Libre Belgique s'interroge sur le déroulement des négociations à Val Duchesse au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom et pointe les priorités de la Belgique en matière européenne.
Les 28 et 29 janvier 1957, Raymond Bousquet, ambassadeur de France à Bruxelles, adresse à Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, deux télégrammes qui décrivent la position des délégations nationales lors de la conférence des ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), les 26, 27 et 28 janvier à Bruxelles.
Le 28 janvier 1957, le quotidien libéral néerlandais Nieuwe Rotterdamse Courant commente les enjeux de la conférence des ministres des Affaires étrangères des Six les 26, 27 et 28 janvier à Bruxelles et demande au Parlement néerlandais de manifester ses priorités.
Vue d'une partie de la délégation belge, le 28 janvier 1957 à Val Duchesse, pour les négociations de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom. De g. à dr.: Albert Hupperts, Joseph Van Der Meulen (assis derrière) et Paul-Henri Spaak.
Le 2 février 1957, Christian Pineau, ministre français des Affaires étrangères, adresse aux ambassades de France en Belgique, en République fédérale d'Allemagne (RFA), au Luxembourg, en Italie et aux Pays-Bas, un télégramme sur les décisions adoptées par les ministres des Affaires étrangères des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier réunis les 26, 27 et 28 janvier à Bruxelles pour régler les dernières questions laissées en suspens par la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Le 3 février 1957, commentant la préparation des traités de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), le quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera publie un entretien sur le sujet avec Jean Monnet, président du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe (CAEUE), et avec René Pléven, ancien président du Conseil des ministres français.
Le 6 février 1957, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel commente les résultats des négociations à Val Duchesse et dresse le tableau des difficultés qui restent à surmonter en vue de la création d'un marché commun entre les Six.
Le 9 février 1957, répondant aux questions du quotidien italien Il nuovo Corriere della Sera, Guy Mollet, président du Conseil des ministres français, souligne l'importance des futurs traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) pour l'avenir de l'unification européenne.
Le 13 février 1957, en consacrant ses débats au Marché commun et à l'Euratom, l'Assemblée commune de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) adopte une résolution dans laquelle elle rappelle l'importance qu'elle accorde notamment à la mise en place d'un Exécutif européen supranational et à la rationalisation des relations entre les institutions des différentes Communautés européennes.
"Un, deux, trois". Le 17 février 1957, évoquant les négociations à Val Duchesse des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) sur le Marché commun et sur l'Euratom, le caricaturiste Fritz Behrendt souligne le rôle joué par Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale, pour relancer l'intégration européenne et faire aboutir les négociations sous le regard curieux des observateurs américain et soviétique.
Le 29 mars 1957, le Bulletin de l'Office de presse et d'information du gouvernement de la République fédérale d'Allemagne (RFA) souligne les efforts poursuivis par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) lors des négociations de Val Duchesse pour la préparation des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), signés le 25 mars 1957 à Rome, et rappelle les attentes de l'opinion publique allemande vis-à-vis de l'Europe unie.
Le 22 février 1957, le quotidien La Libre Belgique dresse un portrait ironique des experts qui, au sein de chaque délégation nationale, ont préparé à Val Duchesse les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom) et qui joueront certainement un rôle important dans leur future mise en œuvre.
Le 24 février 1957, Fernand Baudhuin, professeur à l'Université catholique de Louvain, examine dans les colonnes du quotidien La Libre Belgique les enjeux historiques et économiques de la future Communauté économique européenne (CEE).
"Avant comme aujourd'hui - Vieux penchants contre nouveaux développements". Le 28 février 1957, le caricaturiste allemand Wolfgang Hicks illustre les craintes qui renaissent en Europe face aux perspectives de changements qu'impliquent la mise en œuvre de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
En mars 1967, dix ans après les négociations de Val Duchesse, Emanuele Gazzo, rédacteur en chef de l'Agence Europe, se souvient du déroulement des débats au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit l'importance pour les négociations de Val Duchesse des travaux préparatoires menés au sein du Comité intergouvernemental créé par la conférence de Messine sous la présidence de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères.
En janvier 1967, le diplomate français Jacques Donnedieu de Vabres, ancien secrétaire général du Comité interministériel pour les questions de coopération économique européenne (SGCICEE), rappelle les enjeux de la relance européenne et décrit le déroulement des négociations de Val Duchesse.
En 1956, l'Allemand Ernst Albrecht, attaché au Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), devient le secrétaire du groupe "Marché commun" au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom.
Dans ses Mémoires, Robert Marjolin, ancien vice-président de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit les positions défendues en 1956-1957 par la délégation française lors des négociations au château de Val Duchesse.
Dans ses Mémoires, Alfred Müller-Armack, ancien conseiller du ministre allemand des Affaires économiques Ludwig Erhard et membre de la délégation allemande à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle le déroulement des négociations entre les Six au château de Val Duchesse.
Dans ses Mémoires, Paul-Henri Spaak, ancien ministre belge des Affaires étrangères et ancien président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle le déroulement et les enjeux des négociations menées à Val Duchesse en 1955-1957 par les représentants des six pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
En 1981, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe de rédaction au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle le rôle et la nature des activités de ce comité chargé à Val Duchesse de l'élaboration des dispositions générales et de la mise en forme juridique des traités de la Communauté économique européenne (CEE) et de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour marquer le trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Pierre Uri, ancien directeur de la division "Économie générale" à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), évoque les circonstances de sa participation à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom et revient sur le déroulement des négociations de Val Duchesse.
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour la commémoration du trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Maurice Faure, ancien secrétaire d'État français aux Affaires étrangères et ancien chef de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit la nature des difficultés politiques de la France au moment de la relance européenne et salue l'ambiance qui régnait à Val Duchesse entre les six délégations nationales.
Dans une interview réalisée le 26 mars 1997 à Bruxelles à l'occasion du quarantième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Jean-François Deniau, ancien membre de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque l'organisation de la délégation française et décrit la situation politique et économique de la France à l'époque des négociations de Val Duchesse.
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe juridique au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, explique la nature des relations qui se sont nouées à Val Duchesse entre le groupe de rédaction et le comité des chefs de délégation.
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe de rédaction au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque la nature des relations qui se sont nouées au cours des discussions à Val Duchesse entre les membres du groupe du Marché commun, du groupe de l'Euratom et du groupe de rédaction.
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe juridique au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit la composition et le mode de fonctionnement du groupe de rédaction chargé à Val Duchesse de l'élaboration des dispositions générales et de la mise en forme juridique des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères et membre du groupe de rédaction au sein de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit la répartition des tâches au sein du comité chargé à Val Duchesse de l'élaboration des dispositions générales et de la mise en forme juridique des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère des Affaires étrangères du Luxembourg et membre de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, explique l'organisation de cette négociation chargée de préparer à Val Duchesse les traités de Rome instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère des Affaires étrangères du Luxembourg et membre de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit l'atmosphère de travail qui régnait à Val Duchesse au sein du "Groupe de rédaction" chargé de l'élaboration des dispositions générales et de la mise en forme juridique des traités de Rome instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère des Affaires étrangères du Luxembourg et membre de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque les personnalités marquantes des négociations à Val Duchesse des traités de Rome qui instituent la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère des Affaires étrangères du Luxembourg et membre de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit la composition d'une partie de la délégation diplomatique du Luxembourg.
Dans cette interview, Pierre Pescatore, ancien conseiller légal au ministère des Affaires étrangères du Luxembourg et membre de la délégation luxembourgeoise à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit le contexte international dans lequel se sont déroulées en 1956-1957 les négociations de Val Duchesse qui ont abouti aux traités de Rome sur la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien conseiller de Walter Hallstein et rapporteur des traités de Rome au Bundestag en 1957, évoque la personnalité et la méthode de travail de Walter Hallstein, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), et celle de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président du comité des chefs de délégation à Val Duchesse.
Dans cette interview, Hans-August Lücker, ancien conseiller de Walter Hallstein, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de la République fédérale d'Allemagne (RFA), et rapporteur au Bundestag des traités de Rome en 1957, évoque l'état d'esprit des participants aux négociations intergouvernementales de Val Duchesse qui ont élaboré les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque l'ambiance et l'état d'esprit des membres des différentes délégations nationales lors des négociations de Val Duchesse.
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, explique le rôle du groupe juridique lors des négociations de Val Duchesse.
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque le rôle et les méthodes de travail du secrétariat lors des négociations de Val Duchesse.
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque le rôle de Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, lors des négociations de Val Duchesse.
Dans cette interview, Hubert Ehring, ancien directeur au service juridique du secrétariat du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit l'influence du contexte international sur le déroulement des négociations de Val Duchesse qui ont préparé les traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Dans cette interview, Charles Rutten, ancien secrétaire de la délégation néerlandaise auprès de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque l'ambiance de travail au cours des négociations de Val Duchesse pour la relance européenne.
Dans cette interview, Charles Rutten, ancien secrétaire de la délégation néerlandaise auprès de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle les positions des Six à Val Duchesse en ce qui concerne l'éventuelle association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la future Communauté économique européenne (CEE).
Dans cette interview, Charles Rutten, ancien secrétaire de la délégation néerlandaise auprès de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit la manière dont était définie la position des Pays-Bas face aux enjeux de la construction européenne en évoquant notamment la nature des relations entre le Premier ministre Willem Drees et ses ministres des Affaires étrangères Johan Willem Beyen et Joseph Luns.
Dans cette interview, André Dubois, ancien membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit l'ambiance qui régnait entre les différentes délégations nationales au cours des négociations au château de Val Duchesse.
Dans cette interview, André Dubois, ancien membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle le rôle joué par Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président de la conférence, lors des négociations au château de Val Duchesse.
Dans cette interview, André Dubois, ancien membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, rappelle les positions des Six à Val Duchesse en ce qui concerne l'éventuelle association des pays et territoires d'outre-mer (PTOM) à la future Communauté économique européenne (CEE).
Dans cette interview, André Dubois, ancien membre du secrétariat de la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque la nature des travaux de Val Duchesse en ce qui concerne l'établissement d'un tarif douanier commun pour les six pays membres de la future Communauté économique européenne (CEE).
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit les réserves de la haute administration française face au projet de marché commun européen et rappelle la méthode appliquée par le gouvernement de Paris pour surmonter ces réserves et arrêter une position commune.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, décrit l'importance de la guerre d'Algérie et de la crise de Suez sur le déroulement des négociations de Val Duchesse et l'engagement de la France en faveur de la construction européenne.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque l'état d'esprit des membres de la délégation française et l'influence de la guerre d'Algérie sur le déroulement de la négociation de Val Duchesse.
Dans cette interview, Jean François-Poncet, ancien secrétaire général de la délégation française à la Conférence intergouvernementale pour le Marché commun et l'Euratom, évoque les enjeux, notamment pour la France, des négociations à Val Duchesse pour la création de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom).
Dans cette interview, Helmut von Verschuer se souvient des directives et du déroulement des négociations à Val Duchesse sur la politique agricole commune auxquelles il a participé dans un premier temps comme représentant du gouvernement de la RFA, puis, à partir de mars 1958, comme représentant de la Commission de la Communauté économique européenne.
Lors du colloque organisé du 25 au 28 mars 1987 à Rome pour marquer le trentième anniversaire de la signature des traités instituant la Communauté économique européenne (CEE) et la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA ou Euratom), Giulio Guazzugli-Marini, ancien membre du secrétariat général du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), évoque les enjeux institutionnels des négociations relatives aux traités de Rome, notamment en ce qui concerne la répartition des compétences respectives du Conseil des ministres et de la Commission.