Du 10 au 11 mai 1979, Margaret Thatcher, nouveau Premier ministre britannique, réçoit le chancelier fédéral Helmut Schmidt en visite officielle à Londres.
Dans ses Mémoires, Roy Jenkins, président de la Commission européenne de 1977 à 1981, évoque le refus de Margaret Thatcher d'accepter la proposition de ses partenaires européens sur la contribution britannique au budget communautaire lors du Conseil européen de Luxembourg tenu les 27 et 28 avril 1980.
Le 30 novembre 1979, commentant le déroulement des travaux du Conseil européen de Dublin, le quotidien belge Le Soir décrit l'attitude adoptée par le Premier ministre britannique Margaret Thatcher au sujet de la contribution de son pays au budget communautaire.
Le 29 novembre 1979, Gaston Thorn, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, évoque dans les colonnes du quotidien belge Le Soir l'ordre du jour du Conseil européen de Dublin et les débats agités entre les Neuf au sujet de la contribution britannique au budget communautaire.
En janvier-février 1980, la revue fédéraliste L'Europe en formation analyse le problème de la contribution britannique au budget communautaire qui risque d'entraîner la Communauté dans une crise profonde.
«La dame de fer: “Pas de compromis”». En 1980, le caricaturiste allemand Walter Hanel illustre les difficultés qu'éprouvent Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française, et le chancelier allemand Helmut Schmidt pour dégager un accord politique avec Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, pour régler le problème de la contribution du Royaume-Uni au budget communautaire.
"Un geste pour l'Europe." En 1980, le caricaturiste Behrendt fait part de l'exaspération des Britanniques quant à leur contribution financière au budget communautaire.
Le 15 mars 1980, trois mois après le Conseil européen de Dublin, l'hebdomadaire français L'Express examine la position de Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, au sujet du mode de répartition des contributions financières des États membres au budget communautaire.
Du 27 au 28 avril 1980, à l'occasion du Conseil européen de Luxembourg, les Neuf parviennent très difficilement à un premier accord sur la question de la contribution britannique au budget communautaire. Lord Carrington (à droite), ministre des Affaires étrangères du Royaume-Uni s’entretient avec Margaret Thatcher (au milieu), Premier ministre britannique lors de la réunion du Conseil européen. Margaret Thatcher surnommée La Dame de Fer exige un allègement de la contribution financière du Royaume-Uni au budget communautaire.
"Maggie était là..." Lors du Conseil européen de Luxembourg des 27-28 avril 1980, les Neuf parviennent péniblement à un premier accord sur le chèque britannique.
En 1980, face à la question de l'allègement de la contribution financière du Royaume-Uni au budget communautaire, que ce pays juge beaucoup trop lourde, des manifestants s'opposent à toute idée de restructuration des politiques communautaires, de dérogation ou de concession.
Le 2 juin 1980, le Cabinet se réunit à Londres afin de discuter des dernières avancées concernant les négociations à Bruxelles sur la contribution financière du Royaume-Uni au budget communautaire. De gauche à droite, Sir Ian Gilmore, Lord du Sceau privé, James Prior, ministre pour l’Emploi et Lord Carrington, ministre britannique des Affaires étrangères.
Le 27 mars 1982, l'hebdomadaire français Le Nouvel Observateur critique la politique européenne du Royaume-Uni depuis son entrée, en 1973, dans les Communautés européennes tout en pointant certaines ambiguïtés de ses partenaires européens.
Le 15 mai 1982, le quotidien catholique français La Croix critique la position de Margaret Thatcher, Premier ministre du Royaume-Uni, sur la contribution britannique au budget communautaire et pointe son isolement sur la scène européenne.
"Je crains, Gentlemen, que vous soyez obligés à l'avenir de faire cuire le gâteau-CE sans moi !" En août 1982, 25 ans après la création de la Communauté économique européenne, le caricaturiste Hans Geisen dresse un portait peu idyllique de l'Europe des Dix et pointe l'attitude intransigeante de Margaret Thatcher, Premier ministre du Royaume-Uni, sur la contribution britannique au budget communautaire.
Le 21 juin 1983, au lendemain du Conseil européen de Stuttgart des 17, 18 et 19 juin, le quotidien français Le Monde commente l'accord trouvé entre le Royaume-Uni et ses partenaires européens sur la compensation budgétaire à accorder aux Britanniques.
Le 23 mars 1984, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel se penche sur la crise provoquée par l'attitude intransigeante du Premier ministre britannique Margaret Thatcher lors du sommet européen de Bruxelles des 19 et 20 mars 1984.
«Règne Britannia dans une splendide isolation ». Le 30 mars 1984, suite à l’échec du Conseil européen de Bruxelles des 19 et 20 mars, le caricaturiste néerlandais d'origine berlinoise Fritz Behrendt ironise sur l'attitude intransigeante de Margaret Thatcher, Premier ministre du Royaume-Uni sur la question de la contribution britannique au budget de la Communauté européenne. De nombreux symboles allégoriques et patriotiques anglais renforcent la position de fermeté de la «Dame de fer». Margaret Thatcher est illustrée en «Britannia», la personnification féminine de la Grande-Bretagne et de l'Empire britannique, coiffée d'un casque et armée d'un trident et d'un bouclier, accompagnée par un lion rugissant et entourée par un John Bull défiant, une autre figure allégorique du Royaume-Uni. La phrase dans la bannière, dont une partie fait référence au titre d'une chant patriotique anglais, illustre la volonté de Margaret Thatcher de tenir le Royaume-Uni à l’écart des affaires européennes.
On 23 March 1984, in an interview granted to the German magazine Der Spiegel, Hans-Dietrich Genscher, Foreign Minister of the Federal Republic of Germany (FRG), sets out the priorities for Germany’s European policy after the failure of the European Summit held in Brussels on 19 and 20 March 1984. He also considers the thorny question of the British contribution to the Community budget.
Le 25 juin 1984, commentant l'ouverture du Conseil européen de Fontainebleau des 25 et 26 juin, le quotidien français Le Figaro décrit les efforts de la présidence française du Conseil des Communautés européennes pour trouver une solution au problème de la contribution britannique au budget communautaire.
Le 27 juin 1984, à l'occasion du Conseil européen de Fontainebleau, le quotidien français Libération décrit les difficiles négociations entre les Dix quant à la question de la contribution britannique au budget communautaire.
En juin 1984, le caricaturiste français Plantu ironise sur la différence d'appréciation des résultats du Conseil européen de Fontainebleau des 25 et 26 juin 1984. Margaret Thatcher, Premier ministre britannique se félicite de l'accord sur la contribution financière du Royaume-Uni au budget des Communautés européennes, tandis que François Mitterrand, président de la République française et président en exercice de la Communauté, célèbre le premier exemplaire du passeport européen.
A l'occasion du Conseil européen de Copenhague des 4 et 5 décembre 1987, le caricaturiste français Plantu insiste sur les désaccords entre Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, et ses homologues européens concernant les questions budgétaires (à droite, le président français François Mitterrand et son Premier ministre Jacques Chirac).
Le 30 avril 1988, s'inspirant du mythe du cheval de Troie (sous les traits d'Edward Heath, ancien Premier ministre britannique) pour illustrer la position du Royaume-Uni vis-à-vis des Communautés européennes, le caricaturiste anglais Cummings ironise sur le nouveau climat qu'entraîne la politique européenne du Premier ministre britannique, Margaret Thatcher.
Le 27 juillet 1988, Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, livre aux journalistes de la British Broadcasting Corporation (BBC) sa conception de l'intégration européenne.
Dans cette interview, Leo Tindemans, ancien Premier ministre et ministre des Relations extérieures de la Belgique, évoque longuement l'attitude de Margaret Thatcher, ancienne Premier ministre britannique, concernant la contribution britannique au budget communautaire.
Le 20 septembre 1988, lors de l'ouverture de la 39e année universitaire du Collège d'Europe à Bruges, Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, prononce un discours sur l'avenir de l'Europe et dénonce les dérives bureaucratiques et centralisatrices du système communautaire.
"Clash Euro, qui décidera de l'avenir du Royaume-Uni." Le 29 juillet 1988, illustrant les tensions entre le Royaume-Uni et les Communautés européennes, le caricaturiste anglais Cummings ironise sur les relations difficiles entre Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, et Jacques Delors, président de la Commission européenne.
Dans son éditorial de l'été 1988, la revue fédéraliste L'Europe en formation critique la politique européenne de Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, et invite les pays fondateurs des Communautés européennes à ne pas relâcher leurs efforts en faveur d'une Europe unie, notamment en matière politique et monétaire.
Dans son éditorial du 21 septembre 1988, Emanuele Gazzo, directeur général de l'Agence Europe, explique pourquoi, à ses yeux, le discours prononcé à Bruges par Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, n'apporte rien de nouveau quant aux objectifs que poursuit la politique européenne du gouvernement conservateur de Londres.
Le 21 septembre 1988, le quotidien belge Le Soir passe au crible le contenu du discours prononcé la veille au Collège d'Europe de Bruges par le Premier ministre britannique Margaret Thatcher.
Le 21 septembre 1988, le quotidien La Libre Belgique commente le discours prononcé la veille par Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, au Collège d'Europe à Bruges et dans lequel elle dénonce les dérives bureaucratiques et centralisatrices du système communautaire.
Le 22 septembre 1988, au lendemain du discours prononcé à Bruges par Margaret Thatcher, le quotidien français Le Monde commente les positions du Premier ministre britannique sur l'intégration européenne.
Le 22 septembre 1988, commentant le fameux discours de Margaret Thatcher à Bruges, le quotidien espagnol El País décrit la vision de l'Europe du Premier ministre britannique.
Le 22 septembre 1988, le quotidien français Le Monde commente le discours tenu la veille à Bruges par Margaret Thatcher, Premier ministre britannique, sur sa conception de l'Europe communautaire.
Le 28 septembre 1988, Wilfried Martens, Premier ministre belge, répond dans une conférence de presse à Bruxelles au discours tenu à Bruges une semaine plus tôt par Margaret Thatcher sur l'avenir de l'Europe.
Le 30 septembre 1988, l'hebdomadaire allemand Die Zeit analyse la vision de l'Europe du Premier ministre britannique conservateur Margaret Thatcher telle qu'exprimée dix jours auparavant lors de son discours au Collège de Bruges.
Le 31 octobre 1988, le quotidien britannique de gauche The Guardian examine les conséquences politiques de l'attitude critique du Premier ministre britannique conservateur Margaret Thatcher à l'égard de la Commission Delors et des dossiers européens.
Le 28 avril 1989, Neil Kinnock, président du Parti travailliste, critique la politique européenne de Margaret Thatcher, Premier ministre britannique conservateur qui ne ménage pas ses attaques contre Jacques Delors, président de la Commission européenne.