Le 11 juillet 1969, le quotidien anglais The Financial Times définit la stratégie à adopter par le gouvernement britannique en vue des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
En mars 1969, l'hebdomadaire soviétique Krokodil présente la demande d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen comme un mariage d'intérêt et un calcul politique de la République fédérale allemande (RFA) pour accéder à l'arsenal nucléaire britannique dans le cadre de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
"Un obstacle en moins, mais pas la fin des épreuves". Pour le caricaturiste Fritz Behrendt, de nombreuses difficultés attendent le Premier Ministre anglais, Harold Wilson, avant l'intégration du Royaume-Uni aux Communautés européennes malgré le retrait du général De Gaulle de la scène politique.
Dans son éditorial du 8 juillet 1969, Emanuele Gazzo, rédacteur en chef de l'Agence Europe, se félicite, malgré les difficultés techniques et politiques, de la perspective d'ouverture de négociations d'adhésion entre les Six et le Royaume-Uni.
Le 19 septembre 1969, Johannes Linthorst Homan, qui dirige le bureau londonien de la Représentation permanente de la Commission européenne, adresse à Jean Rey, président de la Commission européenne, un rapport confidentiel qui décrit l'attitude de la presse et des milieux politiques britanniques au sujet d'une éventuelle adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 1er octobre 1969, Michael Stewart, ministre britannique des Affaires étrangères, plaide en faveur de l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE) lors du Congrès annuel du Parti travailliste à Brighton.
Le 3 décembre 1969, le caricaturiste britannique Cummings retrace l'inflexibilité de la position de la France quant à la question de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes et ce malgré les efforts successifs des Premiers ministres Harold Macmillan et Harold Wilson pour satisfaire aux désidératas français.
Le 3 février 1970, l'ambassadeur luxembourgeois à Londres adresse à son ministre des Affaires étrangères Gaston Thorn un aperçu du rapport établi par la Confédération des industriels britanniques (CBI) sur les probables répercussions économiques d'une adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 10 février 1970, Harold Wilson, Premier ministre britannique présente aux députés anglais un Livre blanc qui examine point par point les conséquences probables de l'adhésion du pays à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 7 février 1970, les Six s'accordent à Bruxelles pour achever le Marché commun agricole. Cette décision permet d'envisager l'ouverture de négociations d'adhésion avec le Royaume-Uni.
Les 4-5 juillet 1970, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung examine les possibles avantages et désavantages pour le Royaume-Uni d'une adhésion du pays à la Communauté économique européenne (CEE).
Dans une lettre adressée à Alexander Douglas-Home, ministre britannique des Affaires étrangères, Christopher Soames, ambassadeur britannique en France, fait savoir qu'il est dans l'intérêt du gouvernement britannique de ne pas paraître trop enthousiaste dans les négociations d'adhésion du Royaume-Uni.
Le 28 octobre 1970, Georges Berthoin, chef de la délégation des Communautés européennes à Londres, dresse un bilan détaillé de l'état d'avancement des négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 9 novembre 1970, Georges Berthoin, chef de la délégation des Communautés européennes à Londres, rend compte de la rencontre à Paris entre Geoffrey Rippon, chancelier du duché de Lancastre et chef de la délégation britannique pour l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, et Maurice Schumann, ministre français des Affaires étrangères, et dresse un bilan détaillé de l'état d'avancement des négociations d'adhésion.
Le 10 décembre 1970, Geoffrey Rippon, chef de la délégation britannique pour l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE), commente devant la Chambre des Communes l'avancée des négociations d'adhésion avec les Six.
Le 13 janvier 1971, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung trace un portrait des opposants au Marché commun en Grande-Bretagne et examine les principaux griefs des "Anti-Marketeers" contre l'adhésion du Royaume-Uni à la CEE.
Le 2 février 1971, Geoffrey Rippon, chef de la délégation britannique pour les négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, se rend à Bruxelles pour rencontrer Maurice Schumann lors du Conseil des ministres des Affaires étrangères des Six.
En février 1971, le Royaume-Uni est en proie à plusieurs conflits sociaux. Le pays connaît des "Problèmes de départ" et se voit ralenti dans sa marche vers la Communauté économique européenne (CEE).
En février 1971, Georges Berthoin, chef de la délégation des Communautés européennes au Royaume-Uni, rédige une note à l'attention de Franco Maria Malfatti, président de la Commission européenne, dans laquelle il expose les enjeux de la prochaine visite du président de la Commission à Londres.
Au cours de l'été 1971, le gouvernement d'Edward Heath mène en Angleterre une intense campagne de propagande en faveur de l'adhésion au Marché commun. Celle-ci débute après les entretiens de l'Elysée entre le Premier ministre anglais et le Président français Georges Pompidou.
Le 5 juin 1971, dans le Central Hall à Westminster, Renee Short, membre conservateur du Parlement britannique, s'exprime contre le Marché commun européen.
Le 17 juin 1971, le Conseil de l'Union nationale des agriculteurs de Grande-Bretagne adopte une résolution appelant le gouvernement britannique à obtenir des garanties satisfaisantes en matière agricole lors des négociations d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun.
Dans une lettre adressée le 18 juin 1971 à James Prior, ministre anglais de l'Agriculture, Henry Plumb, président de l'Union nationale des agriculteurs britanniques, demande des éclaircissements en ce qui concerne le déroulement des négociations d'adhésion du pays au Marché commun européen.
Le 18 juin 1971, le quotidien conservateur français Le Figaro publie l'intervention du député travailliste anglais Maurice Edelman qui souligne le rôle des responsables politiques et de l'opinion publique dans le débat relatif à l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun.
Le 23 juin 1971, au terme de deux jours de discussions à Luxembourg, la délégation diplomatique britannique et les représentants des Six parviennent à un accord de principe en ce qui concerne les conditions d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 23 juin 1971, un accord de principe intervient entre les Six et les responsables du Royaume-Uni en ce qui concerne ses conditions d'adhésion aux Communautés européennes. Le Livre blanc que le gouvernement britannique présente le mois suivant devant la Chambre des Communes analyse le résultat de ces négociations.
En juillet 1971, l'Union nationale des agriculteurs de Grande-Bretagne analyse les avantages et les inconvénients pour l'ensemble du monde rural national qu'entraînerait l'adhésion du pays à la Communauté économique européenne (CEE).
En 1971, le groupe de pression britannique Common Market Safeguards Campaign publie une brochure dans laquelle il pointe les effets économiques et politiques négatifs de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 8 juillet 1971, le comité exécutif du Parti travailliste anglais réagit au Livre blanc publié par le gouvernement conservateur d'Edward Heath sur la politique européenne du Royaume-Uni et se déclare opposé à l'adhésion du pays aux Communautés européennes.
Le 24 juin 1971, le quotidien anglais The Guardian se montre critique quant aux résultats des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne.
Le 8 juillet 1971, James Prior, ministre anglais de l'Agriculture, adresse à Henry Plumb, président de l'Union nationale des agriculteurs britanniques, une lettre dans laquelle il insiste sur les efforts déployés par le gouvernement du Royaume-Uni pour obtenir un accord d'adhésion au Marché commun européen satisfaisant dans le domaine agricole.
Le 17 juillet 1971, à l'issue de la conférence du Parti travailliste à Londres, Harold Wilson, président du Labour, expose son point de vue sur la question de l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne.
Le 21 juillet 1971, Edward Heath, Premier ministre britannique, décrit devant la Chambre des Communes le déroulement et les enjeux des négociations en cours à Bruxelles pour l'adhésion du pays à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 26 juillet 1971, le quotidien britannique travailliste The Guardian s'interroge sur la compatibilité entre le maintien de la souveraineté nationale et l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
"L'acrobate Wilson". En 1971, le caricaturiste Geisen illustre le revirement d'Harold Wilson, président du Parti travailliste, qui après avoir été en 1967 l'un des principaux partisans de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, s'oppose ensuite à la participation du pays à la Communauté économique européenne (CEE) aux conditions négociées par le gouvernement conservateur de son successeur Edward Heath.
En octobre 1971, la question de l'adhésion de la Grande-Bretagne à la Communauté économique européenne (CEE) divise les leaders du Parti travailliste anglais "Wilson et son second Jenkins". La bonne voie à suivre pour le Royaume-Uni est différente selon l'avis du pro-européen Roy Jenkins et l'ancien chef du gouvernement Harold Wilson.
Le 17 mars 1972, dans un discours qu'il prononce à la réunion annuelle du mouvement chrétien socialiste à Londres, le député travailliste Tony Benn critique la position adoptée par le gouvernement du Royaume-Uni au sujet de l'adhésion du pays au Marché commun européen et réclame l'organisation d'un référendum national sur ce sujet.
Le départ du général de Gaulle de la présidence de la République française ouvre la voie à l'entrée du Royaume-Uni dans la Communauté européenne. Dans ses Mémoires, Edward Heath, Premier ministre britannique de 1970 à 1974, se souvient de ses voyages en France au début des années 1970 pour convaincre le Président Pompidou de la nécessité de l'adhésion de son pays au Marché commun européen.
En février 1973, l'hebdomadaire satirique moscovite Krokodil présente un Parti conservateur britannique instrumentalisant l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE) pour "faire du Marché commun, un appendice politique et militaire de l'OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord)".
Dans cette interview, Charles-Ferdinand Nothomb, ministre belge des Affaires étrangères de 1980 à 1981, évoque l'adhésion, en 1973, du Royaume-Uni aux Communautés européennes et insiste sur l'état d'esprit qui était le sien avant ce premier élargissement.
Dans cette interview, Georges Berthoin, chef de la délégation de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) puis de la Commission des Communautés européennes au Royaume-Uni jusqu'en 1973, décrit les enjeux et le déroulement des négociations, de 1970 à 1972, pour l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Dans cette interview, Edmund Wellenstein, qui fut entre 1970 et 1973 chef de la délégation de la Commission européenne pour les négociations sur l'élargissement des Communautés, décrit les circonstances de sa nomination à ce poste avant d'expliquer la position de la Commission dans les négociations d'adhésion avec le Danemark, l'Irlande, la Norvège et le Royaume-Uni.
Le 24 janvier 1970, de retour d'une visite à Londres, Maurice Schumann, ministre français des Affaires étrangères, est interrogé par des journalistes sur la question de l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté européenne.
Le 12 février 1970, le quotidien français Le Monde commente les principales remarques contenues dans le premier Livre blanc publié par le gouvernement britannique au sujet des possibles conséquences pour le Royaume-Uni d'une adhésion à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 5 mai 1971, le quotidien français Le Monde publie une tribune libre de Jean-Marcel Jeanneney, ancien ambassadeur et ministre du général de Gaulle et de Georges Pompidou, qui développe les trois raisons qui le poussent à s'opposer à l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 24 juin 1971, répondant aux questions des journalistes, le président français Georges Pompidou livre sa vision de l'Europe future et s'interroge sur les conséquences politiques d'une adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 24 juin 1971, le quotidien communiste français L'Humanité s'interroge sur les conséquences de l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Dans son édition des mois de septembre et octobre 1971, la revue fédéraliste L'Europe en formation analyse les répercussions de l'adhésion du Royaume-Uni, de l'Irlande, du Danemark et de la Norvège aux Communautés européennes sur le fonctionnement de la politique agricole commune (PAC).
Le 21 avril 1972, lors des débats sur l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, le président français Georges Pompidou défend publiquement la politique européenne de la France et réaffirme l'importance de l'adhésion britannique à la CEE.
Le 8 avril 1972, commentant le référendum français du 23 avril sur la ratification du traité d'adhésion du Royaume-Uni, de l'Irlande, du Danemark et de la Norvège aux Communautés européennes, la rédaction parisienne de RTL s'interroge sur les enjeux des projets de Sicco Mansholt, président de la Commission européenne, pour réformer en profondeur la politique agricole commune (PAC).
Le 18 juin 1971, Lord Donald Stokes, président de la British Leyland, principal constructeur automobile britannique, plaide dans le quotidien italien Corriere della Sera en faveur de l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 19 juillet 1971, le quotidien italien Corriere della Sera examine les conséquences économiques et politiques qu'entraînerait pour la Grande-Bretagne son adhésion à la Communauté économique européenne (CEE).
En juillet 1971, Francesco Gozzano, responsable de la politique internationale du journal Avanti ! passe en revue le chemin parcouru par le Royaume-Uni depuis sa première demande d'adhésion aux Communautés européennes et fait le point sur l'état des négociations en cours.
«Manœuvre d'amarrage». Le 7 avril 1971, face aux réticences de Georges Pompidou, président de la République française, le caricaturiste allemand Ernst Maria Lang illustre le rôle de médiateur du chancelier allemand Willy Brandt qui offre son aide à Edward Heath, Premier ministre britannique, pour ancrer le Royaume-Uni dans les Communautés européennes.
Le 23 juin 1971, Walter Scheel, ministre allemand des Affaires étrangères, se félicite de l'issue positive des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 24 juin 1971, au lendemain de l'accord de principe sur les conditions d'entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen, le chancelier allemand Willy Brandt salue devant le Bundestag la portée historique du premier élargissement de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 24 juin 1971, Walter Scheel, ministre ouest-allemand des Affaires étrangères, accorde au quotidien allemand Frankfurter Rundschau un entretien dans lequel il commente la conclusion des négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communauté européennes.
Le 26 juin 1971, l'hebdomadaire allemand Die Zeit commente l'issue positive des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Dans cette interview, Egon Bahr, ancien directeur du service analyse et prévision au ministère allemand des Affaires étrangères sous Willy Brandt, évoque le soutien du ministre allemand des Affaires étrangères à la candidature du Royaume-Uni à l’adhésion aux Communautés européennes.
Le 23 juin 1971, le quotidien La Libre Belgique analyse le succès des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 24 juin 1971, au lendemain du succès des négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, le quotidien économique belge L'Écho de la Bourse s'interroge sur les nouveaux défis de l'Europe élargie.
Le 24 juin 1971, après le succès des négociations d'adhésion britannique, le quotidien socialiste belge Le Peuple s'interroge sur le futur visage de l'Europe élargie.
Le 24 juin 1971, le quotidien La Libre Belgique commente l'ancrage du Royaume-Uni à l'Europe communautaire et évoque les enjeux du processus d'élargissement européen.
"Séparé du continent plus que par des questions sur le marché agricole....". En juillet 1970, le caricaturiste du quotidien allemand Süddeutsche Zeitung présente la question agricole comme le principal obstacle à l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 17 octobre 1970, le quotidien français Le Monde titre sur la difficulté pour la Communauté économique européenne (CEE) d'estimer avec précision le coût financier de l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 16 décembre 1970, la délégation du Royaume-Uni remet à la délégation des Six un ensemble de contrepropositions sur le financement du budget communautaire et sur le régime des ressources propres.
Le 16 décembre 1970, Geoffrey Rippon, chef de la délégation britannique pour les négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne, évoque devant la Chambre des Communes l'état d'avancement des pourparlers en ce qui concerne la contribution financière du Royaume-Uni au budget communautaire.
En mars 1971, dans le cadre des négociations sur l'élargissement de la Communauté européenne, le mensuel économique suisse Vision s'interroge sur les répercussions financières de l'adhésion du Royaume-Uni tant sur le budget communautaire que sur sa propre économie.
Dans cette interview, Edmund P. Wellenstein, ancien chef de la délégation de la Commission européenne pour les négociations sur l'élargissement des Communautés européennes, se souvient de la période où le Royaume-Uni négociait son adhésion aux Communautés et contestait le montant de sa contribution financière au financement du budget communautaire.
Le 10 mai 1971, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung souligne l'importance de la rencontre à Paris entre Edward Heath et Georges Pompidou pour l'avenir des négociations sur l'adhésion britannique à la Communauté économique européenne (CEE).
"Bonjour, Monsieur Heath, enfin nous nous rencontrons!" En mai 1971, la première rencontre entre le Premier ministre anglais Edward Heath et le président français Georges Pompidou sur la question de l'adhésion britannique au Marché commun européen semble marquer le début d'une entente nouvelle.
Interviewé le 17 mai 1971 par la BBC (British Broadcasting Corporation), le président français Georges Pompidou livre son point de vue sur la politique étrangère de la France et sur le déroulement des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 20 mai 1971, dans sa chronique radiodiffusée, le journaliste Jean Ferniot analyse la portée de la rencontre des 20 et 21 mai 1971 à Paris entre le Président français George Pompidou et le Premier ministre britannique Edward Heath au sujet de l'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun européen.
Rencontre des 20 et 21 mai 1971 à Paris entre le Président français George Pompidou et le Premier ministre britannique Edward Heath au sujet de l'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun européen.
Le 21 mai 1971, à l'occasion de la visite à Paris de Edward Heath, Premier ministre britannique, le président français Georges Pompidou souligne l'importance d'une future adhésion de la Grande-Bretagne à la Communauté économique européenne (CEE).
En visite à Paris le 21 mai 1971, Edward Heath, Premier ministre britannique, dresse le bilan de ses conversations avec le Président français Georges Pompidou et se félicite de la bonne entente qui règne entre les deux pays.
Publié à l'issue de la rencontre à Paris entre le Président français Georges Pompidou et le Premier ministre britannique Edward Heath, le communiqué final insiste sur l'accord de vues franco-anglais en ce qui concerne l'élargissement de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 22 mai 1971, le quotidien italien Corriere della Sera se félicite du succès de la rencontre de Paris entre Edward Heath et Georges Pompidou en ce qu'elle permet de résoudre de nombreux problèmes liés à la question de l'adhésion britannique au Marché commun européen.
Le 24 mai 1971, les députés anglais débattent du résultat de la rencontre, trois jours plus tôt à Paris, entre Edward Heath, Premier ministre britannique, et le président français Georges Pompidou et s'interrogent sur l'avenir des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE).
Les 23-24 mai 1971, le quotidien français Le Monde se félicite du succès qui a couronné la rencontre à Paris entre le Premier ministre britannique Edward Heath et le Président français Georges Pompidou.
Le 24 mai 1971, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung salue la bonne entente entre le Premier ministre anglais Edward Heath et le Président français Georges Pompidou qui permet de lever de nombreux blocages concernant l'adhésion de la Grande-Bretagne à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 26 mai 1971, Edward Heath, Premier ministre britannique, adresse une lettre à Pierre Werner, président du gouvernement luxembourgeois, dans laquelle il dresse un bilan positif de sa réunion avec le président français Georges Pompidou.
En juin 1971, l'hebdomadaire 30 jours d'Europe résume les principaux résultats de l'entrevue, un mois plus tôt à Paris, entre le Premier ministre britannique Edward Heath et le président français Georges Pompidou.
On 26 October 1967, at a dinner given by the Lord Mayor of London for the City’s bankers and businessmen, James Callaghan, Chancellor of the Exchequer, outlines the role of the pound sterling in international trade.
Le 27 octobre 1967, soit un mois avant le second véto français à l'ouverture de négociations pour l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, Georges Berthoin, haut-représentant adjoint de la Commission européenne à Londres, adresse à Jean Rey, président de la Commission, une note dans laquelle il détaille notamment la position du gouvernement travailliste en matière de politique monétaire.
Le 2 novembre 1967 à Londres, Lord George Brown, ministre britannique des Affaires étrangères, expose devant la Chambre des Communes les objections qu'avance le gouvernement français à l'encontre de l'entrée de la livre britannique dans l'économie communautaire.
Le 16 juillet 1969, le Belge Robert Triffin, spécialiste des questions monétaires auprès du Comité d'action pour les États-Unis d'Europe, publie un rapport sur les implications monétaires de l'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 16 juillet 1969, Guido Carli, gouverneur de la Banque d'Italie, présente un rapport dans lequel il analyse les problèmes de l'adhésion du Royaume-Uni au marché commun en ce qui concerne les questions monétaires.
En septembre 1969, une note secrète de la Commission européenne analyse la politique monétaire du Royaume-Uni et dresse une liste des questions financières à résoudre avant d'envisager toute adhésion britannique au Marché commun.
Le 1er avril 1971, alors que se déroulent à Bruxelles les négociations d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen, le quotidien italien Corriere della Sera examine le rôle futur de la livre sterling au sein de la Communauté économique européenne (CEE).
Le 10 mai 1971, le Groupe ad hoc mis en place cinq semaines plus tôt par le Conseil publie un rapport détaillé sur les conséquences de l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté européenne pour le statut de la Livre britannique.
Le 21 mai 1971, commentant le déroulement des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien français Le Monde analyse le rôle international de la livre sterling britannique.
En juin 1971, Geoffrey Rippon, chef de la délégation britannique pour les négociations d'adhésion à la Communauté économique européenne (CEE), adresse à Gaston Thorn, ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, une lettre dans laquelle il souligne les efforts réalisés par le gouvernement de Londres en matière monétaire pour satisfaire aux conditions d'adhésion.
Le 9 juin 1971, Geoffrey Rippon, chef de la délégation britannique pour les négociations d'adhésion à la Communauté économique européenne (CEE), se félicite devant la Chambre des Communes de l'avancement des pourparlers avec les instances communautaires.
"Port Mulberry, 1971". Le 9 juin 1971, s'inspirant de la mise en place du Port Mulberry (port artificiel construit pendant la Seconde Guerre mondiale pour permettre l'approvisionnement des armées alliées au lendemain du débarquement en Normandie), le caricaturiste néo-zélandais Leslie Gibbard ironise sur le rôle international de la livre sterling.
Le 10 juin 1971, Edward Heath, Premier ministre britannique, précise devant la Chambre des Communes la position du Royaume-Uni au sujet de l'avenir de la livre sterling au sein d'une Communauté européenne élargie.
Dans ses Mémoires, Edward Heath, ancien Premier ministre britannique, se souvient de l'importance, au cours des négociations d'adhésion, de la question du rôle de la livre britannique dans une Communauté européenne élargie.
Le 11 février 1970, dans le cadre des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté européenne, la Direction générale des relations extérieures de la Commission européenne rédige une note sur les problèmes posés par les relations commerciales privilégiées entre la Grande-Bretagne et le Commonwealth.
Adressée au diplomate anglais Robert Armstrong, cette note manuscrite et confidentielle prouve que le gouvernement britannique a recouru à un informateur secret au sein du gouvernement allemand pour lui fournir des informations quant à la position des Six au sujet de l'importation des produits du Commonwealth et de la contribution britannique au financement de la Politique agricole commune (PAC).
Le 13 mai 1970, le Conseil des Communautés européennes pointe les problèmes importants que pose l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun en ce qui concerne les relations de celui-ci avec les pays du Commonwealth.
En mai 1970, le West India Committee publie une brochure dans laquelle il décrit les possibles effets de l'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen sur le commerce des produits en provenance des Caraïbes.
Le 19 février 1971, dans le cadre des négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, l'hebdomadaire britannique The New Statesman and Nation s'interroge sur l'avenir du commerce du sucre en provenance du Commonwealth et égratigne au passage la politique agricole commune (PAC).
Le 14 mai 1971, le caricaturiste néo-zélandais Leslie Gibbard ironise sur les efforts déployés par Geoffrey Rippon (à g.), chef de la délégation britannique pour les négociations d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes, pour solutionner la question du commerce des produits alimentaires issus des pays du Commonwealth. (À droite, Georges Pompidou, président de la République française.)
Le 18 mai 1971, lors des négociations d'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne, le caricaturiste néo-zélandais Leslie Gibbard illustre le difficile règlement de la question du beurre provenant de Nouvelle-Zélande. (De gauche à droite, Edward Heath, Premier ministre britannique; Georges Pompidou, président de la République française et en arrière-plan, John Marshall, Premier ministre néo-zélandais.)
Le 3 juin 1971, le quotidien italien Corriere della Sera commente la solution apportée à la question du commerce du sucre en provenance du Commonwealth.
Le 23 juin 1971, une note interne de la Commission des Communautés européennes expose les résultats des dernières négociations avec le Royaume-Uni relatives à l'organisation du marché commun pour les produits laitiers en provenance de Nouvelle-Zélande.
Du 21 au 24 juin 1971, les députés anglais débattent à la Chambre des Communes de la question des relations du Royaume-Uni avec les États membres du Commonwealth en cas d'adhésion du pays à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 23 juin 1971, le quotidien français Le Figaro commente les âpres négociations entre la Grande-Bretagne et les Six sur la question des produits laitiers en provenance de Nouvelle-Zélande.
Le 23 juin 1971, le quotidien français Le Monde commente le résultat des longues négociations entre la Grande-Bretagne et les Six au sujet de l'importation des produits agricoles néo-zélandais dans le Marché commun européen.
Le 23 juin 1971, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung commente l'accord signé le même jour à Luxembourg par les représentants des Six et du Royaume-Uni permettant de régler la question des exportations de beurre néo-zélandais vers la Grande-Bretagne après son adhésion au Marché commun européen.
Le 7 juin 1971, commentant le déroulement des négociations d'adhésion du Royaume-Uni au Marché commun européen, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel examine la question des exportations de beurre néo-zélandais vers la Grande-Bretagne.
En juin 1974, commentant le déroulement des négociations pour l'adhésion du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE), le mensuel 30 jours d'Europe s'interroge sur le poids économique que représente le Commonwealth par rapport à la Grande-Bretagne.
Dans une lettre adressée en juin 1975 au rédacteur en chef du journal travailliste The Guardian, Fred Peart, ministre anglais de l'Agriculture, des Pêches et de l'Alimentation, défend les accords conclus entre les Six, le Royaume-Uni et les pays membres du Commonwealth en ce qui concerne le commerce du sucre au sein du Marché commun européen.
Le 19 juin 1978, l'hebdomadaire allemand Der Spiegel décrit les discussions en cours entre la Communauté économique européenne (CEE) et l'Australie en ce qui concerne l'importation de produits agricoles australiens dans le marché européen.