Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien chargé de mission puis Conseiller technique auprès de Jean-Pierre Fourcade au ministère français de l'Économie et des Finances puis au ministère de l'Aménagement du territoire de 1974 à 1978, ancien conseiller technique au secrétariat général de la Présidence de la République de 1978 à 1981, revient sur les origines de son engagement européen, la dimension européenne de ses premières fonctions, et notamment la constitution d'un 'Intergroupe' dénommé 'Pénélope' regroupant un certain nombre de députés.
Dans un article paru le 9 décembre 1999 dans le quotidien français Le Monde, Alain Lamassoure, membre du Parlement européen, plaide pour que le caractère "européen" d'un pays, en tant que condition d’adhésion à l'Union européenne, soit déterminé en fonction d’un critère géographique, indépendamment de considérations historiques, religieuses ou culturelles, et ce afin d'établir des limites objectives à l'élargissement de l'Union.
Le 16 juin 2001, dans le quotidien français Le Figaro, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes, enjoint les Quinze de tirer les enseignements du refus irlandais de ratifier le traité de Nice.
À l'été 2001, suite à la signature le 26 février du traité de Nice, Alain Lamassoure, député européen et ancien ministre français délégué aux Affaires européennes, fait le point dans la revue trimestrielle Commentaire sur l'état de l'Union européenne et montre en quoi le traité marque un recul dans l'évolution des institutions des Quinze.
À l'automne 2002, Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, analyse dans la revue trimestrielle Commentaire les arguments et les éléments neufs dans le débat entre fédéralistes et souverainistes au sein de la Convention.
À l'automne 2003, Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, analyse dans la revue trimestrielle Commentaire le résultat des travaux de la Convention et se félicite de la méthode conventionnelle pour porter le débat sur l'avenir de l'Union européenne.
Dans cet extrait de Histoire secrète de la Convention européenne, Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, explique pourquoi la Convention n'a pas osé aborder la question des frontières de l'Union, notamment en raison de la participation de la Turquie à ses travaux.
Dans cet extrait de Histoire secrète de la Convention européenne, Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, relate les débats autour de la question religieuse, et en particulier la référence chrétienne dans le projet de Constitution.
Dans cet extrait de Histoire secrète de la Convention européenne, Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, compare la présentation des premières propositions institutionnelles par le Président de la Convention à un « Gambit » au jeu d'échecs.
Dans l'épilogue de Histoire secrète de la Convention européenne, Alain Lamassoure, ancien ministre délégué aux Affaires européennes et membre de la Convention européenne en qualité de représentant du Parlement européen, s'adresse aux dirigeants européens suite au Conseil européen de Bruxelles de décembre 2003 qui n'a pu parvenir à un accord sur le projet de traité constitutionnel.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, ancien ministre délégué au Budget de 1995 à 1997, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, évoque les faiblesses du mode actuel de financement de l’Union et fait des propositions pour le réformer.
Suite au vote du Parlement européen sur le rapport d'Alain Lamassoure concernant l'avenir des ressources propres de l'Union européenne, le quotidien français Le Monde, dans un article du 31 mars 2007, revient sur la problématique du financement de l'Union et fait état des deux phases de réforme que propose le rapport.
Le 21 mars 2007, Eurinfo diffuse un reportage consacré au financement du budget de l'Union européenne. En prévision des débats sur la révision du budget 2007-2013, le député européen Alain Lamassoure tente de persuader ses homologues nationaux de doter le budget communautaire de recettes fiscales propres afin de rendre le budget communautaire totalement indépendant des contributions nationales directes.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999 et actuellement membre du bureau politique du Parti populaire européen (PPE), décrit l'évolution du PPE, son identité et son idéologie politique.
La position de la France face au quatrième élargissement de l’Union
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995 présente la position de la France au cours des négociations d'adhésion de l'Autriche, de la Suède, de la Finlande et de la Norvège à l'Union européenne.
Le 1er mars 1994, Alain Lamassoure, ministre français délégué aux Affaires européennes, tient à Bruxelles une conférence de presse au cours de laquelle il donne un aperçu de l'avancée des négociations d'adhésion à l'Union européenne menées avec l'Autriche, la Finlande, la Norvège et la Suède.
Le 2 mars 1994, Alain Lamassoure, ministre français délégué aux Affaires européennes, accorde aux journalistes de la radio France Inter une interview dans laquelle il s'exprime notamment sur les enjeux de l'élargissement de l'Union européenne à l'Autriche, à la Finlande, à la Norvège et à la Suède.
Le 15 mars 1994, Alain Lamassoure, ministre français délégué aux Affaires européennes, dresse un premier bilan des négociations d'adhésion de la Norvège à l'Union européenne.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, rappelle l'initiative du Premier ministre Édouard Balladur qui est à l'origine de la conférence sur la stabilité en Europe, laquelle s'est tenue à Paris les 20 et 21 mars 1995 dans le cadre de l'OSCE, à la demande de l'Union européenne. Cette conférence avait pour objectif d'inciter les pays ayant vocation à adhérer à l'Union à consolider leurs frontières et, le cas échéant, à assurer la protection des minorités.
La proposition du gouvernement français de lancer une initiative de l'Union européenne en faveur d'un pacte de stabilité en Europe est approuvée les 21 et 22 juin 1993 lors du Conseil européen de Copenhague.
Les 20 et 21 mars 1995, la Conférence finale sur le Pacte de stabilité en Europe, convoquée à l'initiative de l'Union européenne sur la base d'une proposition de la France, réunit à Paris les représentants des États membres de l'OSCE. Le Conseil de l'Europe y est représenté par son Secrétaire général. À l'issue de la conférence, les participants adoptent une déclaration politique et intègrent dans le Pacte de stabilité tous les accords et arrangements de coopération et de bon voisinage qu'ils ont conclus. Le Pacte de stabilité doit servir de modèle pour d'autres initiatives conjointes de diplomatie préventive.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué au Budget de 1995 à 1997, aborde les négociations liées au pacte de stabilité et à la mise en place de l'Euro durant cette période.
Les origines de la Convention européenne et sa mise en place
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, revient sur les origines et les objectifs de la Convention sur l'avenir de l'Europe qui débute ses travaux le 27 février 2002.
La composition et la méthode de travail de la Convention européenne
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, explique la méthode de travail mise en place au sein de la Convention par son président Valéry Giscard d'Estaing pour parvenir à un consensus.
Valéry Giscard d'Estaing, président de la Convention européenne, pose sur la table de la présidence sa tortue chinoise en porcelaine. Symbole de longévité, cette mascotte à tête de dragon représente pour le président la démarche prudente qui aboutit à son objectif. Comme la Convention, la tortue dragon avance de manière progressive pour saisir dans ses griffes, lorsqu'il le faudra, le texte final.
Le 13 juin 2003, lors de la dernière session à Bruxelles de la Convention européenne sur l'avenir de l'Europe, son président Valéry Giscard d'Estaing dresse un bilan de l'expérience et des résultats engrangés à l'issue des travaux de la Convention.
Dans cette interview, António Vitorino, représentant de la Commission à la Convention européenne de 2002 à 2003 et participant aux travaux de la CIG en tant que représentant de la Commission de 2003 à 2004, souligne l'originalité de la méthode de la Convention basée notamment sur la diversité de sa composition et l'ouverture et la transparence des débats.
Les principaux acteurs et clivages au sein de la Convention européenne
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, décrit les différentes composantes politiques et institutionnelles représentées au sein de la Convention, le rôle du PPE, et finalement les principaux clivages au sein de la Convention.
Adoption par la Convention d'une Constitution remplaçant les traités antérieurs
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, explique comment la Convention a adopté le concept d'une constitution, et comment elle a retenu l'option d'un texte unique qui intègre et remplace tous les traités antérieurs.
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, souligne les différences essentielles entre un traité et une constitution. Parce qu'il repose sur la confiance, le concept de constitution aurait contribué au « non » français.
La réforme du processus de ratification des traités
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, insiste sur la nécessité d'uniformiser le processus de ratification des traités européens dans tous les États membres de l'Union européenne, soit par l'intermédiaire des parlements nationaux, soit par le recours à un referendum dans tous les pays, au même moment, en fonction du degré d'importance de la révision.
Les suites du rejet du traité constitutionnel et l'avenir du traité de Lisbonne
Dans cette interview, Alain Lamassoure, ancien ministre français délégué aux Affaires européennes de 1993 à 1995, député au Parlement européen de 1989 à 1993 et depuis 1999, et membre de la Convention sur l'avenir de l'Europe de 2002 à 2003, évoque les suites politiques liées aux résultats des référendums organisés le 29 mai en France et le 1er juin aux Pays-Bas pour la ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe, ainsi que la crise actuelle liée au « non » irlandais sur traité de Lisbonne.