Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie, des Finances et du Budget, chargée de la consommation (1983-1984), explique pourquoi elle a représenté la France au Conseil « marché intérieur », prenant ainsi contact pour la première fois avec les questions européennes.
La prise de contact avec les milieux communautaires
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État auprès du ministre de l'Économie, des Finances et du Budget, chargée de la consommation, souligne la qualité des fonctionnaires européens avec lesquels elle a dû travailler, notamment Émile Noël, ancien secrétaire général de la Commission des Communautés européennes.
Le 20 novembre 1984, Émile Noël, secrétaire général de la Commission des Communautés européennes, donne à l'Institut royal des relations internationales (IRRI) de Bruxelles une conférence au cours de laquelle il insiste, malgré les difficultés économiques et politiques, sur la nécessité de donner une nouvelle impulsion au processus de construction européenne.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit les enjeux et les difficultés de la mise en œuvre de l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles à leurs frontières communes signé à Schengen (Luxembourg) le 14 juin 1985 par les représentants de la République fédérale d'Allemagne (RFA), de la Belgique, de la France, du Luxembourg et des Pays-Bas.
Le 14 juin 1985, la France, la République fédérale d'Allemagne (RFA) et les pays du Benelux signent à Schengen (Luxembourg) l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles à leurs frontières communes.
Le 14 juin 1985, Paul De Keersmaeker, secrétaire d'État belge aux Affaires européennes, Waldemar Schreckenberger, secrétaire d'État auprès du chancelier fédéral allemand, Catherine Lalumière, secrétaire d'État française aux Affaires européennes, Robert Goebbels, secrétaire d'État luxembourgeois aux Affaires étrangères, et Willem Frederik van Eekelen, secrétaire d'État néerlandais aux Affaires étrangères, signent à bord du bateau de plaisance "Princesse Marie-Astrid" accosté à Schengen (Luxembourg) l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles à leurs frontières communes.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit l'atmosphère et le déroulement du Conseil européen de Milan des 28 et 29 juin 1985, notamment en ce qui concerne, sous l'impulsion de la présidence italienne, la décision des Dix de convoquer une Conférence intergouvernementale (CIG) pour modifier et compléter le traité instituant la Communauté économique européenne (CEE).
Le 2 juillet 1985, au lendemain du Conseil européen de Milan, le quotidien français Le Monde commente les désaccords entre les Dix sur l'avenir institutionnel de la Communauté européenne en vue de son évolution vers une Union européenne.
Le 29 juin 1985, les conclusions du Conseil européen de Milan détaillent les défis économiques, politiques et institutionnels qui s'adressent à l'Europe pour les années à venir.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, précise le fonctionnement de la diplomatie française en matière de questions européennes pour la période 1984-1986.
La France lors des négociations d'adhésion de l'Espagne et du Portugal
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit la position de la France et les enjeux de la phase finale, en 1984-1985, de la négociation d'adhésion de l'Espagne et du Portugal aux Communautés européennes.
"Communautés européennes-Bienvenue dans l'Europe unie!" En 1985, le caricaturiste allemand Walter Hanel illustre l'entrée de l'Espagne et du Portugal dans des Communautés européennes divisées par des querelles internes.
Mário Soares, Premier ministre portugais, serre la main du président de la Commission européenne, Jacques Delors, pendant la signature du traité d'adhésion du Portugal aux Communautés européennes, le 12 juin 1985 à Lisbonne.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État auprès du ministre des Relations extérieures, chargée des Affaires européennes, explique pourquoi l'année 1985 a été qualifiée d'« année heureuse », évoquant la fin de la crise britannique, l'arrivée de Jacques Delors à la Commission, la fin des négociations d'adhésion de l'Espagne et du Portugal, l'adoption du principe de la reconnaissance mutuelle des normes et la convocation de la Conférence intergouvernementale (CIG), qui a conduit les Douze à conclure l'Acte unique européen (AUE) en 1985-1986.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes, décrit les enjeux et le déroulement du Conseil européen de Luxembourg des 2 et 3 décembre 1985, et notamment la manière avec laquelle les chefs d'État ou de gouvernement des Dix ont finalement débloqué les négociations de la Conférence intergouvernementale (CIG) qui, en 1985-1986, a conduit les Douze à conclure l'Acte unique européen (AUE).
Les 2 et 3 décembre 1985, les chefs d'État et de gouvernement des Dix se mettent d'accord sur une révision du traité instituant la Communauté économique européenne (CEE) et approuvent l'Acte unique européen.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire d'État française aux Affaires européennes et ancienne secrétaire générale du Conseil de l'Europe, revient sur l'engagement européen de François Mitterrand, président de la République française de 1981 à 1995.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire générale du Conseil de l'Europe, décrit le renouveau politique qu'a connu cette institution suite à la chute du mur de Berlin en novembre 1989 et de la démocratisation des anciens pays du bloc communiste.
Le 1er octobre 1992, Catherine Lalumière, secrétaire générale du Conseil de l'Europe, fait le point sur ses nouveaux enjeux paneuropéens et sur ses nouvelles activités.
Carte interactive montrant les 10 États fondateurs du Conseil de l'Europe en 1949, ainsi que les adhésions successives qui ont déterminé la composition actuelle de l'organisation.
Dans ce témoignage, Bronislaw Geremek, ministre polonais des Affaires étrangères de 1997 à 2000, explique l'évolution du rôle et de l'influence du Conseil de l'Europe.
La Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancien membre du Parlement européen et ancien membre suppléant de la Convention sur la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, explique la méthode de travail utilisée en 1999-2000 par les conventionnels et exprime sa satisfaction quant aux résultats obtenus.
La Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne
Le 1er mai 2001, Catherine Lalumière, membre suppléant de la délégation du Parlement européen à la Convention chargée de rédiger la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, explique pourquoi elle estime que la Charte ne doit pas rester à l'état de déclaration d'intention politique mais doit, au contraire, être intégrée dans les traités communautaires et obtenir ainsi une crédibilité juridique.
Tableau reprenant les membres de la Convention chargée, sous la présidence de Roman Herzog, ancien président de la République fédérale d'Allemagne (RFA), d'élaborer le projet de Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne.