Le 4 janvier 1953, le quotidien autrichien Die Presse analyse la nature des échanges commerciaux entre l'Autriche et les pays membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) en matière d'industrie charbonnière et sidérurgique.
Le 20 janvier 1953, Maurice Lagrange, avocat général à la Cour de justice de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), analyse la question de l'admission d'observateurs autrichiens dans les institutions communautaires.
Le 22 avril 1953, Karl Gruber, ministre autrichien des Affaires étrangères, informe officiellement Jean Monnet, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), de la décision du gouvernement de Vienne de nommer à Luxembourg une délégation permanente autrichienne, dirigée par Carl Bobleter, auprès de la Haute Autorité.
Le 19 mai 1953, Jean Monnet, président de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), accueille à Luxembourg les membres de la délégation autrichienne auprès de la Haute Autorité et se félicite du rapprochement entre Vienne et les États membres de la CECA.
Le 19 mai 1953, Carl Bobleter, conseiller d'ambassade et chef de la délégation autrichienne auprès de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), évoque à Luxembourg la nature des liens économiques entre l'Autriche et les Six.
Le 30 décembre 1955, L. Giretti, haut fonctionnaire à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), dresse un état des lieux des négociations économiques et tarifaires entre la CECA et l'Autriche.
Le 4 avril 1957, le quotidien socialiste autrichien Arbeiter-Zeitung détaille les raisons pour lesquelles l'Autriche ne peut pas adhérer à la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 5 juin 1959, de retour d'un déplacement en Autriche, Tony Rollman, directeur de la division Acier de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), expose dans une note interne la position de l'industrie sidérurgique autrichienne dans la perspective de la conclusion d'un accord d'association entre l'Autriche et la CECA.
Le 16 juin 1959, les services de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) détaillent la position de l'industrie sidérurgique autrichienne dans la perspective de la conclusion d'un accord d'association entre l'Autriche et la CECA.
Le 1er juin 1966, en marge des négociations à Bruxelles d'association entre la Communauté économique européenne (CEE) et l'Autriche, le secrétariat général de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) analyse les problèmes spécifiques d'une éventuelle association de l'Autriche à la CECA.
Le 15 décembre 1966, Fritz Bock, vice-chancelier autrichien, adresse au président en exercice du Conseil spécial de ministres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) une lettre dans laquelle il fait part de son désir de parvenir à un arrangement global pour l'association de l'Autriche à la CECA et à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 15 décembre 1966, l'ambassade d'Autriche au Luxembourg adresse au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères une note dans laquelle elle évoque la volonté du ministère autrichien des Affaires étrangères de régler les relations mutuelles entre l'Autriche et la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 19 janvier 1956, Wilfried Platzer, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire d'Autriche, évoque la position et le rôle de l'Autriche lors de la Conférence tarifaire qui a lieu à Genève dans le cadre des négociations de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT).
Le 24 février 1956, à l'occasion de la conférence tarifaire du General Agreement on Tariffs and Trade (GATT) à Genève, une note interne de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) détaille les offres réciproques de l'Autriche et de la Haute Autorité au sujet de la réduction des droits de douane sur les aciers spéciaux.
Le 8 mai 1956, à l'issue de la Conférence tarifaire de Genève, l'Autriche et la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent deux accords : un protocole sur une clause antidumping sur les échanges d'acier en dehors du cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), ainsi qu'un accord tarifaire sur l'abaissement des droits de douane dans le cadre du GATT.
Le 8 mai 1956, à l'issue de la Conférence tarifaire de Genève, l'Autriche et la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent deux accords : un protocole sur une clause antidumping sur les échanges d'acier en dehors du cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), ainsi qu'un accord tarifaire sur l'abaissement des droits de douane dans le cadre du GATT.
Le 8 mai 1956, à l'issue de la Conférence tarifaire de Genève, l'Autriche et la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent deux accords : un protocole sur une clause antidumping sur les échanges d'acier en dehors du cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), ainsi qu'un accord tarifaire sur l'abaissement des droits de douane dans le cadre du GATT.
Le 8 mai 1956, à l'issue de la Conférence tarifaire de Genève, l'Autriche et la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) signent deux accords : un protocole sur une clause antidumping sur les échanges d'acier en dehors du cadre de l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), ainsi qu'un accord tarifaire sur l'abaissement des droits de douane dans le cadre du GATT.
Le 8 mai 1956, suite à l'accord entre l'Autriche et la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) conclu lors de la Conférence tarifaire de Genève, un échange de lettres entre Heinz Standenat, chef de la délégation autrichienne, et Jean Poincaré, représentant de la Haute Autorité, fait état des préoccupations du gouvernement autrichien quant à certaines dispositions de l'accord tarifaire.
Le 17 mai 1956, dans le cadre des négociations tarifaires de Genève, L. Giretti, haut fonctionnaire à la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) détaille les principales dispositions de l'accord conclu entre l'Autriche et la Haute Autorité.
Le 11 mars 1960, le ministère autrichien des Affaires étrangères adresse à Étienne Hirsch, président de la Commission de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA), une lettre dans laquelle il lui fait part de sa décision d'établir à Bruxelles une mission diplomatique auprès de l'Euratom et de nommer Ernst Lemberger à sa tête.
Le 8 avril 1960, la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) informe la presse de l'établissement à Bruxelles d'une mission diplomatique autrichienne, dirigée par Ernst Lemberger, auprès de l'Euratom.
Le 11 octobre 1965, une note d'information de la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA) et de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) détaille la situation énergétique de l'Autriche.
La demande d'association à la CEE (12 décembre 1961)
"Faites disparaître le Krampus !...Je n'ai pas peur de toi, lalalalala !" En décembre 1961, face aux critiques de Moscou à l'égard des tentatives de rapprochement entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien viennois Arbeiter-Zeitung s'inspire de la légende de Saint-Nicolas et du « Krampus » - personnage hideux vêtu d'une peau de bête et armé d'un fouet et de clochettes pour terroriser les enfants - pour illustrer l'attitude de l'Autriche par rapport à Moscou.
Le 12 décembre 1961, Bruno Kreisky, ministre autrichien des Affaires étrangères, adresse à Ludwig Erhard, vice-chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), ministre allemand de l'Économie et président en exercice du Conseil de la Communauté économique européenne (CEE), une lettre dans laquelle il demande formellement l'ouverture des négociations en vue d'un accord d'association avec la CEE dans le respect du principe de la neutralité autrichienne.
La demande d'association à la CEE (12 décembre 1961)
Le 21 décembre 1961, Ludwig Erhard, vice-chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), ministre allemand de l'Économie et président en exercice du Conseil de la Communauté économique européenne (CEE), accuse réception de la demande formelle de l'Autriche pour l'ouverture de négociations en vue de la conclusion d’un accord commercial avec les Six.
Le 1er mars 1962, le quotidien français Le Monde analyse la demande d'association de l'Autriche à la Communauté économique européenne (CEE) et évoque la position politique et juridique du pays au sein de l'Europe.
Le 4 mai 1962, avant la déclaration de Bruno Kreisky devant le Conseil des ministres de la CEE le 28 juillet, le ministère des Affaires étrangères des États-Unis se prononce dans une circulaire contre une association de l'Autriche à la Communauté économique européenne.
"Doucement nos chants supplient". En 1962, le caricaturiste autrichien Ironimus illustre le lent rapprochement de certains pays (Autriche, Suède et Suisse) membres de l'Association européenne de libre-échange (AELE) vers la Communauté économique européenne (CEE).
Le 28 juillet 1962, Bruno Kreisky, ministre autrichien des Affaires étrangères, présente devant le Conseil de la Communauté économique européenne (CEE) un portrait de l'industrie autrichienne et pointe les aspects à prendre en compte dans la perspective d'un futur accord d'association entre l'Autriche et la CEE.
"Dans le labyrinthe bruxellois - Faisons attention maintenant de ne pas nous perdre et de nous rappeler la sortie !" Le 29 juillet 1962, au lendemain du discours de Bruno Kreisky, ministre autrichien des Affaires étrangères, devant le Conseil de la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien viennois Arbeiter-Zeitung illustre les difficultés qui parsèment le chemin qui conduit au futur accord d'association entre l'Autriche, la Suède et la Suisse et la CEE.
Les conversations exploratoires (4 juillet-6 novembre 1963)
"Bagarre à Bruxelles". Le 19 janvier 1963, le caricaturiste autrichien Ironimus s'interroge sur l'opportunité d'une association de l'Autriche à la Communauté économique européenne (CEE) compte tenu des difficultés auxquelles elle se trouve confrontée.
Le 23 janvier 1963, le périodique allemand Der Spiegel publie un entretien avec le vice-chancelier autrichien Bruno Pittermann sur la question des liens entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
En mai 1963, Bruno Kreisky, ministre autrichien des Affaires étrangères, défend avec force sa politique en matière d'intégration européenne et retrace les efforts diplomatiques de l'Autriche pour parvenir à une formule d'association avec la Communauté économique européenne (CEE).
Le 12 juillet 1963, suite aux conversations exploratoires entre les représentants du gouvernement autrichien et ceux de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE), Jacques Boullier, fonctionnaire au secrétariat général de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), détaille l'attitude des uns et des autres par rapport à l'éventuelle association de l'Autriche au Marché commun européen.
Le 25 septembre 1963, suite aux conversations exploratoires entre les représentants du gouvernement autrichien et de la Commission de la Communauté économique européenne (CEE), Jacques Boullier, fonctionnaire à la direction des Relations extérieures au sein du secrétariat général de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), adresse à Charles Reichling, directeur des Relations extérieures au secrétariat général, une note interne dans laquelle il décrit la position prudente de l'Autriche par rapport à une éventuelle association au Marché commun.
En 1964, le Parti communiste autrichien (KPÖ) édite cette affiche qui illustre les dangers qui menacent le monde rural autrichien en cas d'association de l'Autriche aux Communautés européennes.
L'Autriche en solitaire: la 1ère phase des négociations (19.3.1965-4.2.1966)
Le 2 mars 1965, en prévision de l'ouverture prochaine des négociations entre la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) et l'Autriche, Bruno Kreisky, ministre autrichien des Affaires étrangères, et Fritz Bock, ministre autrichien du Commerce, insistent sur le respect de la neutralité du pays.
Le 19 mars 1965, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations sur l'avenir des relations économiques entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE), Fritz Bock, ministre autrichien du Commerce, détaille la position du gouvernement de Vienne.
Le 19 mars 1965, lors de l'ouverture à Bruxelles des négociations sur l'avenir des relations économiques entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE), Jean Rey, président de la Commission européenne, fait le point sur la nature des pourparlers.
Le 17 mai 1965, lors des négociations à Bruxelles entre la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) et l'Autriche sur l'élimination des obstacles aux échanges commerciaux et sur les efforts d'harmonisation pour éviter les distorsions de concurrence, Karl Schleinzer, ministre autrichien de l'Agriculture, détaille la situation du monde agricole autrichien face aux enjeux européens.
En avril 1965, la Revue du Marché commun décrit les enjeux des négociations qui se sont ouvertes à Bruxelles le 19 mars 1965 entre la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) et l'Autriche afin de trouver un accord sur l'élimination des obstacles aux échanges commerciaux et sur la réalisation des harmonisations de politiques nécessaires pour éviter les distorsions de concurrence.
Le 24 mars 1966, Charles Reichling, directeur des Relations extérieures de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA), et Edmund Wellenstein, secrétaire général de la Haute Autorité, résume les six sessions de négociations sur l'association de l'Autriche à la Communauté économique européenne (CEE) et sur les problèmes que pose son éventuelle extension à la CECA.
Le 7 avril 1966, l'ambassade d'Autriche à Luxembourg adresse au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères une note dans laquelle elle insiste sur l'importance du rapprochement entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
"Attendre la bonne correspondance". En 1966, le caricaturiste allemand Behrendt illustre l'opposition de Moscou à toute forme de rapprochement entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
L'Autriche en solitaire: la 2e phase des négociations (13.12.1966-2.2.1967)
Le 16 décembre 1966, la Commission européenne et la délégation autrichienne diffusent un communiqué conjoint suite à la première session à Bruxelles d'une nouvelle phase des négociations commerciales et tarifaires entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
Le 18 janvier 1967, le socialiste Bruno Kreisky, ancien ministre autrichien des Affaires étrangères, critique la politique européenne du nouveau gouvernement dirigé par Josef Klaus, membre du Parti populaire autrichien (ÖVP).
Le 18 janvier 1967, Fritz Bock, ministre autrichien du Commerce et de l'Industrie, défend devant le Conseil national la politique européenne du gouvernement dirigé par Josef Klaus, du Parti populaire autrichien (ÖVP), que critique le social-démocrate Bruno Kreisky.
List of the members of the Austrian Delegation to the round of negotiations held with the European Economic Community from 30 January to 3 February 1967.
L'Autriche en solitaire: la 2e phase des négociations (13.12.1966-2.2.1967)
En février 1967, à l'occasion des négociations entre la Commission de la Communauté économique européenne (CEE) et l'Autriche, la délégation autrichienne à Bruxelles évoque la manière dont elle conçoit l'harmonisation des politiques agricoles.
"Je te le répète-nouvel habit pas bien pour toi !" En 1967, le caricaturiste suisse Hans Geisen illustre l'opposition de Moscou à une éventuelle adhésion de l'Autriche à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 13 mars 1967, le quotidien bruxellois La Libre Belgique examine les enjeux des négociations relatives à l'association de l'Autriche à la Communauté économique européenne (CEE) en pointant particulièrement les difficultés politiques nées du traité d'État de 1955 et les conséquences industrielles et agricoles d'un accord.
Vers les accords de libre-échange du 22 juillet 1972
Le 21 décembre 1969, commentant les réunions entre les délégations autrichiennes et des représentants des Communautés européennes, le quotidien socialiste autrichien Arbeiter-Zeitung se penche sur les enjeux d'un rapprochement entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
"Le musicien des rues". Le 2 juillet 1970, dans le cadre du premier élargissement des Communautés européennes, le caricaturiste autrichien Ironimus souligne les efforts vains de l'Autriche pour se faire accepter à la table des négociations à Bruxelles.
La signature des accords de libre-échange du 22 juillet 1972
En février 1972, Fritz Bock, ancien vice-chancelier autrichien, décrit dans la revue Berichte und Informationen la position particulière de l'Autriche entre sa participation à l'AELE et ses efforts en vue d'une adhésion aux Communautés européennes. Il déplore notamment que l'Autriche n'ait pas accepté l'accord intérimaire bilatéral avec la Communauté économique européenne (CEE) et se voit maintenant contrainte à trouver un accord global entre la CEE et les trois pays neutres que sont l'Autriche, la Suède et la Suisse.
"Entends-tu mon appel secret ?" Le 26 février 1972, le caricaturiste Ironimus illustre les efforts du chancelier autrichien Bruno Kreisky pour mettre en place un accord commercial entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
Le 22 juillet 1972, les représentants des États membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et ceux de la République d'Autriche signent à Bruxelles un accord qui prévoit notamment une démobilisation tarifaire pour les produits relevant du charbon et de l'acier identique à celle prévue pour les produits industriels dans les traités d'adhésion du Danemark, de l'Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 22 juillet 1972, la Communauté économique européenne (CEE) et l'Autriche signent à Bruxelles un accord qui porte notamment sur le développement de leurs relations économiques par l'élimination progressive des obstacles de leurs échanges commerciaux.
Le 22 juillet 1972, les actualités cinématographiques autrichiennes rendent compte de la signature, le jour-même au palais d'Egmont à Bruxelles, des accords de libre-échange entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE) par Bruno Kreisky, chancelier fédéral autrichien, et par Josef Staribacher, ministre autrichien du Commerce.
Le 23 juillet 1972, le quotidien socialiste viennois Arbeiter-Zeitung titre en une sur la signature, la veille à Bruxelles, de l'accord de libre-échange entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
Le 23 juillet 1972, commentant avec satisfaction la signature, la veille à Bruxelles, de l'accord commercial entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien viennois Arbeiter-Zeitung déplore cependant que la réalité économique se soit progressivement substituée aux idéaux pacifistes de l'unité de l'Europe.
Le 25 juillet 1972, trois jours après la signature à Bruxelles des accords tarifaires entre l'Autriche et les pays membres des Communautés européennes, le chancelier autrichien Bruno Kreisky retrace devant le Conseil national le chemin parcouru par le pays sur la voie de l'intégration européenne.
Le 25 juillet 1972, trois jours après la signature à Bruxelles des accords tarifaires entre l'Autriche et les pays membres des Communautés européennes, Josef Staribacher, ministre autrichien du Commerce et de l'Industrie, souligne devant le Conseil national les avantages économiques que procurent ces accords pour l'Autriche.
Le 28 juillet 1972, commentant la signature, le 22 juillet à Bruxelles, de l'accord d'association de l'Autriche avec la Communauté économique européenne (CEE), Fritz Bock, ancien ministre autrichien du Commerce, dresse un bilan des résultats diplomatiques obtenus par son pays au cours des seize années qui se sont écoulées depuis la signature, en mai 1955, du traité d'État autrichien.
Le 23 juillet 1972, après la signature des accords de libre-échange entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE), le quotidien socialiste autrichien Arbeiter-Zeitung illustre le long chemin parcouru par le pays en vue d'une éventuelle adhésion aux Communautés européennes.
Le 3 septembre 1972, deux mois après la signature des accords de libre-échange entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE), le chancelier autrichien Bruno Kreisky retrace la position particulière de l'Autriche dans la construction européenne et livre ses impressions sur le rôle et sur les responsabilités de l'Europe communautaire dans le monde.
Affiche éditée en septembre 1972 par le Parti socialiste autrichien (SPÖ) pour vanter les bienfaits des accords de libre-échange signés le 22 juillet 1972 à Bruxelles entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
L'Autriche et les CE après la signature des accords de libre-échange
En juin 1978, Paul Steiger, chef de division au ministère autrichien du Commerce et de l'Industrie, examine dans le mensuel EFTA Bulletin la nature des relations économiques et commerciales, bilatérales ou à travers l'Association européenne de libre-échange (AELE), entre l'Autriche et la Communauté économique européenne (CEE).
En novembre 1979, Gerhard Pschor, membre de la Fédération des industriels autrichiens (IV), dresse dans le périodique EFTA Bulletin un bilan chiffré des relations commerciales entre l'Autriche et les neuf États membres de la Communauté économique européenne (CEE) depuis la signature, en juillet 1972, des accords de libre-échange.
En 1982, Peter Pobinger et Wolfgang Vanovsek, respectivement responsable et collaborateur du département de coordination et de planification économiques du consortium sidérurgique autrichien Voestalpine, décrivent dans la revue EFTA Bulletin la nature de l'intégration de plus en plus forte de la sidérurgie autrichienne dans l'économie européenne.
En 1973, à l'occasion des élections communales organisées dans le pays, le Parti fédéraliste européen (EFP) en Autriche édite cette affiche illustrant son engagement en faveur de la création des États-Unis d'Europe.
En 1980, Aloïs Mock, président du Parti populaire autrichien (ÖVP), décrit les missions de l'Union démocratique européenne (EDU) en matière de politique européenne.