Le 27 mars 1996, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung examine le coût financier de l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 12 décembre 1996, le Parlement européen adopte une résolution relative au financement de l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Le 8 décembre 1997, lors du Conseil "Affaires générales" à Bruxelles, Hubert Védrine, ministre français des Affaires étrangères, et Pierre Moscovici, ministre français délégué chargé des Affaires européennes, évoquent ensemble le volet financier de l'élargissement de l'Union européenne.
Le 30 mars 1998, le quotidien catholique français La Croix se veut rassurant en ce qui concerne les coûts de financement du prochain élargissement de l'Union européenne.
Le 11 décembre 1998, Günter Verheugen, secrétaire d'État allemand aux Affaires étrangères, prononce à l'Académie évangélique de Tutzing un discours dans lequel il décrit les enjeux du futur élargissement de l'Union européenne.
Le 8 juin 1999, Ludger Volmer, secrétaire d'État allemand aux Affaires étrangères, prononce à la tribune du Bundestag à Berlin un discours dans lequel il évoque notamment la question du financement de l'élargissement de l'Union européenne.
Le 24 février 2000, le quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung s'interroge sur l'impact de l'élargissement de l'Union européenne et de la réforme de la Politique agricole commune (PAC) sur les prévisions budgétaires de l'Agenda 2000.
Le 30 janvier 2002, la Commission européenne diffuse un communiqué de presse dans lequel elle détaille les différentes étapes du financement de l'élargissement de l'Union européenne.
En avril 2002, le périodique Revue du Marché commun et de l'Union européenne publie un article de Jean-Pierre Baché, directeur à la direction générale du Budget au sein de la Commission européenne, qui détaille les aspects financiers de l'élargissement de l'Union européenne aux pays d'Europe centrale et orientale (PECO).
Réunis à Bruxelles les 24 et 25 octobre 2002, les Quinze adoptent une série de décisions importantes en ce qui concerne les questions budgétaires, financières et institutionnelles rendues nécessaires par le prochain élargissement de l'Union européenne.
Le 25 octobre 2002, le quotidien La Libre Belgique analyse le compromis dégagé par le Conseil européen de Bruxelles sur le financement du cinquième élargissement de l'Union européenne.
Le 4 décembre 2002, évoquant le Conseil européen de Copenhague des 12 et 13 décembre, le quotidien français Le Monde examine la nature des revendications de la Pologne en matière de financements agricoles européens.
Le 8 juillet 2003, dans le cadre du futur élargissement de l'Union européenne, la Confédération des syndicats allemands (DGB) commente la réforme des fonds structurels européens pour la période 2007-2013.
Le 19 octobre 2004, Claudie Haigneré, ministre française déléguée aux Affaires européennes, décrit devant la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale à Paris les conséquences de l'élargissement de l'Union européenne sur le budget communautaire.
L'impact sur les institutions de l'Union européenne
Le 25 mars 1999, Manfred Scheich, ambassadeur d'Autriche auprès de l'Union européenne, s'interroge dans le quotidien viennois Die Presse sur le fonctionnement des institutions communautaires dans la perspective du futur élargissement de l'UE.
Le 14 février 2000, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung examine les conséquences de l'élargissement de l'Union européenne sur le fonctionnement des institutions communautaires.
Le 7 mai 2003, commentant l'adhésion future à l'Union européenne de dix nouveaux États membres, le quotidien français Le Monde décrit la manière dont le Parlement européen et le Conseil accueillent les observateurs envoyés par ces pays afin de préparer leur personnel politique et administratif à la mécanique communautaire.
Le 19 février 2003, Neil Kinnock, vice-président de la Commission européenne et commissaire chargé de la réforme administrative, tient à Bruxelles une conférence de presse dans laquelle il insiste sur le besoin pour la Commission de ressources humaines supplémentaires en vue du cinquième élargissement de l'Union européenne et explique les procédures et les objectifs des recrutements.
Le 21 février 2003, le quotidien français Le Monde décrit les difficultés que pose le recrutement de fonctionnaires européens ressortissants des dix futurs nouveaux États membres de l'Union européenne.
Le 13 avril 2004, commentant l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres, le quotidien français Le Figaro s'interroge sur le fonctionnement des institutions communautaires confrontées à la multiplication des langues officielles.
En février 2004, l'Archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, président de l'Union paneuropéenne internationale et ancien député européen, exprime son enthousiasme à l'égard de l'élargissement de l'Union européenne aux États d'Europe centrale et orientale (PECO), à Malte et à Chypre.
Le 26 février 2004, soit deux mois avant le cinquième élargissement des Communautés européennes, Jean-Claude Juncker, Premier ministre et ministre luxembourgeois des Finances, prononce à l'Institut français des relations internationales (IFRI) à Paris un discours dans lequel il retrace le chemin parcouru par les pays européens dans la voie de la construction européenne.
Dans cet entretien, Jacques F. Poos, député européen et ancien ministre luxembourgeois des Affaires étrangères, commente les enjeux du cinquième élargissement de l'Union européenne prévu le 1er mai 2004 et se penche sur la question de la candidature turque.
Le 22 avril 2004, à la veille de l’adhésion à l’Union européenne de dix nouveaux États, Michaele Schreyer, commissaire européenne en charge du Budget, du Contrôle financier et de la Lutte antifraude et Jos Chabert, ministre du gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, participent à l'inauguration d'un fragment du mur de Berlin, symbole de la fin de la division entre l'Est et l'Ouest, dans le parc Léopold de Bruxelles au pied du bâtiment du Parlement européen.
Le 26 avril 2004, Eneko Landaburu, directeur général de l'élargissement à la Commission européenne, explique au quotidien La Libre Belgique les enjeux de l'adhésion de dix nouveaux États membres à l'Union européenne.
Le 29 avril 2004, le président français Jacques Chirac prononce un discours sur l'Europe et répond aux questions des journalistes sur les enjeux de l'élargissement de l'Union européenne.
Le 29 avril 2004, commentant l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres et dans la perspective des élections européennes et des référendums nationaux sur la Constitution européenne, l'hebdomadaire allemand Die Zeit souligne le rôle central du citoyen européen dans la nouvelle Europe.
Le 30 avril 2004, Romano Prodi, président de la Commission européenne, prononce à Trieste un discours dans lequel il décrit l'élargissement de l'Union européenne et les perspectives de croissance et évoque les nouvelles opportunités économiques pour l'Europe centrale.
Héritier de la couronne d'Autriche-Hongrie, l'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine, membre du Parlement européen de 1979 à 1999, plaide très activement pour l'adhésion des pays d'Europe centrale et orientale (PECO) à l'Union européenne.
"Hourah, nous sommes 25 !" Le 30 avril 2004, le caricaturiste Horst Haitzinger ironise sur le poids que représente pour l'Union européenne son élargissement à dix nouveaux États membres.
En 2004, le caricaturiste tchèque Pavel Matuska ironise sur la capacité de l'Union européenne à bien gérer l'adhésion de dix nouveaux pays portant à vingt-cinq le nombre de ses États membres.
Le 1er mai 2004, Bertie Ahern, Premier ministre irlandais et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, prononce à Dublin un discours dans lequel il salue la portée historique de l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres et pointe notamment les défis qu'auront désormais à relever ensemble les Vingt-cinq.
Le 1er mai 2004, Romano Prodi, président de la Commission européenne, prononce à Dublin un discours dans lequel il salue la portée historique de l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres et pointe notamment les enjeux internationaux de la construction européenne.
Le 1er mai 2004, Pat Cox, président du Parlement européen, prononce à Dublin un discours dans lequel il salue la portée historique de l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres et exprime notamment son admiration vis-à-vis du chemin parcouru par les pays d'Europe centrale et orientale depuis la chute, en 1989, du mur de Berlin.
Le 1er mai 2004, jour de l'élargissement de l'Union européenne à dix nouveaux États membres, Gerhard Schröder, chancelier de la République fédérale d'Allemagne (RFA), Leszek Miller, Premier ministre polonais, et Vladimir Spidla, Premier ministre tchèque, se réunissent à Zittau - ville allemande située à l'intersection des frontières allemande, polonaise et tchèque - pour marquer symboliquement cet élargissement.
"Un pont vers l'avenir". Le 1er mai 2004, le caricaturiste allemand Sakurai illustre l'importance historique du nouvel élargissement de l'Union européenne et insiste notamment sur les retrouvailles entre les pays d'Europe occidentale et les pays d'Europe centrale et orientale.