La première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe se tient le 10 août 1949 dans l'aula de l'Université de Strasbourg sous la présidence provisoire d'Edouard Herriot.
Le 10 août 1949, Edouard Herriot, président provisoire de la réunion inaugurale de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, ouvre solennellement à Strasbourg la première séance de l'Assemblée.
Le 10 août 1949, après avoir présidé la première séance de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, Edouard Herriot, doyen d'âge et président d'honneur, transmet la présidence au Belge Paul-Henri Spaak fraîchement élu.
Le 12 août 1949, le correspondant de l'hebdomadaire anglais The New Statesman and Nation retrace les nombreux débats autour de la nomination du premier vice-président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe et s’interroge sur l’action future de cette Assemblée parlementaire.
Le 16 août 1949, les membres de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe débattent des futurs changements de la structure politique de l'Europe.
„Europarat … Keine Prognose. Hiermit eröffne ich die erste Sitzung … Hiermit schließe ich die letzte Sitzung.“ Im August 1949 fragt die deutsche Satirezeitschrift Der Tintenfisch nach der tatsächlichen Wirkung der neuen europäischen Organisation
Le 28 août 1949, le périodique bruxellois Le Phare Dimanche insiste sur le rôle que peut jouer l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe en faveur de l'intégration de l'Allemagne au sein de l'Europe occidentale.
Le 5 septembre 1949, l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe adopte, par 88 voix contre 2, une recommandation favorable à l'unité économique de l'Europe.
Le 5 septembre 1949, évoquant les nombreuses critiques émises à l'encontre du Conseil de l'Europe, La Gazette de Lausanne insiste sur le rôle et l'action de cette toute jeune organisation européenne et s'interroge sur l'avenir de l'O.E.C.E.
En octobre 1949, l'essayiste et militant fédéraliste suisse Denis de Rougemont commente la réunion inaugurale de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe à Strasbourg et évoque les débats entre fédéralistes et unionistes sur l'avenir du continent européen.
Le 11 août 1950, Sean MacBride, vice-président de l'Organisation européenne de coopération économique (OECE) et membre du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, décrit devant les délégués de l'Assemblée consultative le rôle respectif des parlementaires et des gouvernements nationaux dans la construction d'une Europe unie.
Le 24 février 1950, Jacques-Camille Paris, secrétaire général du Conseil de l'Europe, prononce à Rome une allocution sur le rôle du Conseil de l'Europe dans la politique d'unification européenne.
Le 7 août 1950, le quotidien néerlandais Het Parool relate les premiers travaux du Conseil de l'Europe et évoque les discussions sur la place de l'Allemagne au sein de l'Assemblée parlementaire européenne.
En août 1950, Paul-Henri Spaak, président de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, Paul Reynaud, Winston Churchill et Robert Schuman participent à Strasbourg à la deuxième session de l'Assemblée.
Le 3 décembre 1950, l'hebdomadaire bruxellois Le Phare Dimanche examine les travaux de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe sur les questions relatives au fédéralisme européen, au plan Schuman et à la création éventuelle d'une armée européenne.
Le 10 janvier 1951, la revue néerlandaise Internationale Spectator commente les activités du Conseil de l'Europe et se demande si l'organisation possède les moyens pour créer des structures fédéralistes en Europe.
"Europe à Strasbourg: Des messieurs très ordonnés, ils ne laissent aucune trace de leurs travaux !" En 1951, le caricaturiste allemand Köhler pose la question du rôle et de l'action du Conseil de l'Europe.
En 1952, Robert Boothby, membre conservateur de la Chambres des Communes et délégué britannique à l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, publie dans la revue française Notre Europe un article sur la politique européenne du Royaume-Uni.
Le 30 septembre 1953, face à la menace communiste en Europe, le quotidien néerlandais Het Parool s'interroge sur la réelle capacité des pays européens à s'unir.
Le 1er avril 1953, la revue néerlandaise Internationale Spectator dresse un bilan du développement politique et des résultats du Conseil de l'Europe depuis sa création en 1949.
"CECA dépasse le CONSEIL DE L'EUROPE - Ouuui, - - ce n'est pas étonnant, lorsqu'on emploie la force !!!" En mai 1953, le caricaturiste allemand Stig oppose le manque d'action du Conseil de l'Europe aux réalisations concrètes et au dynamisme de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le 5 mai 1959, pour les dix ans du Conseil de l'Europe, le quotidien néerlandais Nieuwe Rotterdamse Courant analyse l'action de cette organisation européenne.
En décembre 1960, Polys Modinos, directeur des droits de l'homme au Conseil de l'Europe et greffier de la Cour européenne des droits de l'homme, décrit dans les colonnes du Monde diplomatique la portée juridique et politique de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales, signée à Rome le 4 novembre 1950.
Liste des Conventions et Accords, faisant partie de la Série des traités européens (STE), ouverts aux États membres du Conseil de l'Europe et, le cas échéant, aux États européens non membres, aux États non européens non membres et à la Communauté européenne.
In diesem Interview beschreibt Paul Collowald, ehemaliger Journalist bei der Tageszeitung Le Nouvel Alsacien und ehemaliger Korrespondent für Europafragen der Tageszeitung Le Monde im Elsass, die Arbeiten des Presse- und Informationsdienstes des Europarates ab 1949 unter Leitung des belgischen Journalisten Paul M.G. Lévy.
Le 19 mars 1952, le Royaume-Uni soumet au Conseil de l'Europe un aide-mémoire qui propose de conférer au Conseil de l'Europe une autorité politique sur la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et sur la Communauté européenne de défense (CED).
Le 19 mars 1952, Anthony Eden, secrétaire d'État aux Affaires étrangères du Royaume-Uni, présente au Comité des ministres du Conseil de l'Europe un plan préconisant l'octroi d'une autorité politique du Conseil de l'Europe sur la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et la Communauté européenne de défense (CED).
Le 21 mars 1952, la commission des Affaires générales de l'Assemble consultative du Conseil de l'Europe accueille favorablement la proposition du Royaume-Uni de faire fonctionner dans le cadre du Conseil de l'Europe la Communautés européenne du charbon et de l'acier (CECA), la future Communauté européenne de défense (CED) et les autres institutions européennes spécialisées qui pourraient être créées.
Le 17 avril 1952, le gouvernement du Royaume-Uni présente au Comité des ministres du Conseil de l'Europe un mémorandum sur les moyens de faire fonctionner dans le cadre du Conseil de l'Europe la Communautés européenne du charbon et de l'acier (CECA), la future Communauté européenne de défense (CED) et les autres institutions européennes spécialisées qui pourraient être créées.
Les 16 et 17 mai 1952, l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe débat des propositions britanniques de faire fonctionner dans le cadre du Conseil de l'Europe la Communautés européenne du charbon et de l'acier (CECA), la future Communauté européenne de défense (CED) et les autres institutions européennes spécialisées qui pourraient être créées (Plan Eden).
Le 30 mai 1952, l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe adopte une résolution sur les propositions britanniques d'instaurer un lien organique entre le Conseil de l'Europe et les Communautés des Six.
En 1952, Julian Amery, membre conservateur de la Chambre des Communes et délégué britannique à l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, retrace les origines et les objectifs du plan Eden censé conférer au Conseil de l'Europe une autorité politique sur la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et sur la Communauté européenne de défense (CED).
En 1952, Guy Mollet, président de l'intergroupe socialiste à l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, se félicite des propositions contenues dans le Plan Eden qu'il perçoit comme une évolution positive du Royaume-Uni sur les questions européennes.
En 1952, Patrick Gordon-Walker, membre travailliste de la Chambre des Communes et délégué britannique à l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, décrit dans la revue française Notre Europe la position du parti Labour sur les questions européennes.
Le 15 septembre 1952, Anthony Eden, ministre britannique des Affaires étrangères, détaille devant l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe son plan pour la création d'une autorité politique du Conseil de l'Europe sur la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et sur la Communauté européenne de défense (CED).
Le 17 septembre 1952, le quotidien français Le Monde examine les propositions d'Anthony Eden, ministre britannique des Affaires étrangères, d'associer les Six aux autres États membres du Conseil de l'Europe.
Le 30 septembre 1952, dans son discours de clôture de la quatrième session de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe, le Français François de Menthon, Président de l'Assemblée, fait la synthèse des travaux menés par les députés européens.
Ouverte à la signature des États membres du Conseil de l'Europe à Rome le 4 novembre 1950, la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales est entrée en vigueur le 3 septembre 1953.
Ouvert à la signature des États membres du Conseil de l'Europe signataires de la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des libertés fondamentales à Paris le 20 mars 1952, le Protocole additionnel est entré en vigueur le 18 mai 1954.
Signature à Rome, le 4 novembre 1950, de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales du Conseil de l'Europe, premier instrument juridique international garantissant la protection des droits de l'homme.
Le 4 novembre 1950, les représentants des États membres du Conseil de l'Europe signent à Rome la convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales inspirée notamment des travaux des mouvements pro-européens ayant participé en mai 1948 au congrès de l'Europe à La Haye.
Reproduction de certaines pages du protocole additionnel à la Convention européenne des droits de l'homme signé le 20 mars 1952 à Paris par les représentants des États membres du Conseil de l'Europe.