Schéma présentant les présidences tournantes du Conseil de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) et du Conseil de l'Union européenne (UE) de 1999 à 2012. Conformément au protocole sur l'article 17 du traité sur l'UE, annexé au traité sur l'UE par le traité d'Amsterdam de 1997, le Conseil de l'UEO d'Erfurt, du 18 novembre 1997, approuve l'harmonisation de l'ordre de succession des présidences des Conseils de l'UEO et de l'UE. Depuis le 1er janvier 1999, lorsque la présidence du Conseil de l'UE revient à un État membre de plein droit de l'UEO, ce dernier exerce également la présidence du Conseil de l'UEO.
Le 11 mars 1948, le secrétaire général du ministère luxembourgeois des Affaires étrangères adresse à son ministre une note sur la constitution du Conseil consultatif, prévu par le projet de traité créant l’Union occidentale.
On 7 and 11 May 1955, the first session of the Council of Western European Union (WEU) is held in Paris, attended by the delegations of Belgium, the Federal Republic of Germany, France, Italy, Luxembourg, the Netherlands and the United Kingdom.
Le 7 mai 1955, le Conseil de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) se réunit pour la première fois à Paris en présence, notamment, de la délégation belge menée par Paul-Henri Spaak, ministre des Affaires étrangères (deuxième à partir de la dr.), et celle du Royaume-Uni, menée par son homologue Harold Macmillan (à g., levant les bras) qui préside la réunion.
Les 7 et 11 mai 1955, se tient à Paris le premier Conseil des ministres des Affaires étrangères des États membres de l'Union de l'Europe occidentale (UEO). Au même moment, le Conseil de l'Atlantique Nord se réunit en session ministérielle à Paris, au palais de Chaillot, afin de marquer officiellement l'entrée de la République fédérale d'Allemagne dans l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Le 22 octobre 1955, le Conseil de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) présente à l’Assemblée de l’UEO le premier rapport annuel sur ses activités du 1er juin au 15 octobre 1955.
Le Conseil de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) transmet à l’Assemblée de l’UEO un supplément au premier rapport annuel sur ses activités, pour la période du 15 octobre 1955 au 1er février 1956.
Le Conseil des ministres de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) se réunit au Quai d'Orsay, le 10 décembre 1956, à la veille de la réunion au palais de Chaillot du Conseil de l'Atlantique Nord. De gauche à droite, pendant la réunion au salon de l'Horloge: MM. Christian Pineau (France), Paul-Henri Spaak (Belgique), Walter Hallstein (secrétaire d'État allemand aux Affaires étrangères), Heinrich von Brentano (République fédérale d'Allemagne) et, au fauteuil présidentiel, Joseph Luns (Pays-Bas).
Dans cette interview, Willem van Eekelen, diplomate néerlandais en poste à Londres de 1960 à 1964, relate l'expérience qu'il retient des réunions du Conseil permanent de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) auxquelles il a pu participer dans la capitale britannique.
Le 12 mars 1965, le quotidien français Le Monde revient sur les nombreux points abordés à Rome lors de la réunion du Conseil de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) et souligne l'esprit constructif dans lequel se sont déroulés les débats.
Le 29 avril 1988, à l'occasion de la réunion des ministres des Affaires étrangères et de la Défense de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) à Venise, le quotidien Luxemburger Wort s'interroge sur les progrès réalisés par l'UEO, depuis la session d'octobre 1984 à Rome, dans la relance de l'Organisation.
L'Espagne assumant au second semestre 1995 la présidence du Conseil de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) en même temps que celle du Conseil de l'Union européenne (UE), Javier Solana, ministre espagnol des Affaires étrangères de 1992 à 1995, explique, dans cet article paru le 31 octobre 1995 dans le quotidien "El País", les priorités de son pays concernant le rôle de l'UEO comme composante de défense de l'UE.
Le 18 novembre 1997 à Erfurt, au lendemain de la signature du traité d'Amsterdam, le Conseil des ministres de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) souligne l'importance du resserrement des liens institutionnels entre l'Union européenne (UE) et l'UEO, impliquant un renforcement de la coopération concrète entre les deux organisations. Les ministres des Affaires étrangères et de la Défense approuvent, en outre, l'harmonisation de l'ordre de succession des présidences des Conseils de l'UEO et de l'UE.
Le 18 novembre 1997, au lendemain de la signature du traité d’Amsterdam, le Conseil de l'Union de l’Europe occidentale (UEO), rassemblant à Erfurt les ministres des Affaires étrangères et de la Défense, souligne l'importance du resserrement des liens institutionnels entre l'Union européenne (UE) et l'UEO, ce qui impose un renforcement de la coopération concrète entre les deux organisations.
Vue générale d'une réunion du Conseil des ministres de l'Union de l'Europe occidentale (Brême, mai 1999). Depuis 1984, le Conseil des ministres de l'UEO (ministres des Affaires étrangères et de la Défense) se réunit deux fois par an en session ordinaire.
Vue de la salle de réunion du Conseil permanent de l'Union de l’Europe occidentale (UEO) à Bruxelles. Présidé par le secrétaire général de l’UEO, le Conseil permanent se réunit tous les mardis, la veille de la réunion du Conseil de l'Atlantique Nord.
Dans cette interview, Charles Goerens, ministre luxembourgeois de la Défense de 1999 à 2004 et ancien membre de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) qu’il a présidée de 1987 à 1990, décrit les contacts entre l’Assemblée et le Conseil de l’UEO, notamment depuis que ce dernier ne se réunit plus au niveau ministériel après le transfert de compétences vers l’Union européenne décidé en 2000.
Le 19 janvier 1955, Louis Goffin, secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), publie une note sur l'organisation de l'Assemblée, notamment sur ses compétences, ses dispositions budgétaires, ses liaisons avec les autres assemblées parlementaires européennes ainsi que sur la date de sa première session.
Note de la Commission intérimaire de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), du 15 avril 1955, sur les questions liées à la création et à l'organisation de l'Assemblée de l’UEO.
Les 5 et 8 juillet 1955, a lieu, à Strasbourg dans l’hémicycle de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, la première session de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) rassemblant les délégations de la France, du Royaume-Uni, de la Belgique, des Pays-Bas, du Luxembourg, de l'Italie et de la République fédérale de l'Allemagne.
Les 5 et 8 juillet 1955, a lieu, à Strasbourg dans l'hémicycle de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, la première session de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) rassemblant les délégations de la France, du Royaume-Uni, de la Belgique, des Pays-Bas, du Luxembourg, de l'Italie et de la République fédérale de l'Allemagne.
Le 5 juillet 1955, Paul-Henri Spaak, ministre belge des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), prononce une allocution à l'occasion de la première session de l'Assemblée de l'UEO.
Le 21 septembre 1956, lors d’un déjeuner offert par l’Association française de la presse diplomatique, John Maclay, président de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), expose le rôle et le fonctionnement de son institution.
Le 26 décembre 1958, la revue fédéraliste Le XXe siècle dresse un tableau mitigé des travaux de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) et s'inquiète de la profusion d'organisations internationales en Europe.
Le 12 mars 1965, le quotidien français Le Monde évoque le climat désenchanté dans lequel se sont déroulés les débats sur les questions de défense européenne au sein de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO).
Le 17 décembre 1965, le quotidien belge Le Soir publie une interview de Francis Humblet, greffier de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) et du Sénat belge, dans laquelle il décrit les leçons qu'il retire de l'action de l'Assemblée de l'UEO.
Le 4 décembre 1985, le quotidien français Le Figaro décrit l'inquiétude de Jean-Marie Caro, président de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), face à l'immobilisme des gouvernements occidentaux sur les questions de défense.
Le 6 juin 1986, à l'occasion de la réélection de Jean-Marie Caro à la présidence de l'Assemblée parlementaire de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), le quotidien français Le Figaro insiste sur la volonté des parlementaires de l'UEO de sortir l'Europe de son inaction et fait état des propos assez musclés de Jean-Marie Caro à l'encontre des gouvernants européens qui, à ses yeux, s'opposent à toute décision collective dans le cadre de l'UEO.
Dans cette interview, Charles Goerens, ancien membre de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) qu’il a présidée de 1987 à 1990, rappelle le rôle de l’Assemblée sur la question du désarmement en Europe dans le contexte de la question des euromissiles dans les années 1980.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), traite particulièrement des attributions de l'UEO avant la chute du communisme, en soulignant la bipolarité du monde d'alors et la complexification des conflits suite à la chute du mur de Berlin en 1989.
Dans cette interview, Willem van Eekelen, ministre néerlandais de la Défense de 1986 à 1988 et secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) de 1989 à 1994, évoque les motivations et le rôle de l'Assemblée de l'UEO, spécialement après la chute du mur de Berlin en 1989.
Le 11 juillet 1990, Robert Pontillon, président de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), décrit dans le quotidien français Le Monde le rôle que peut jouer l'UEO dans la mise en place d'une future Europe de la défense.
Voyage d'étude de la commission de Défense de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), venue observer en juillet 1991 les manœuvres effectuées par les forces armées finlandaises.
Le 22 octobre 1999, le quotidien suisse "Neue Züricher Zeitung" relate les critiques de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) à l'encontre du projet de défense commune élaboré par les chefs d'États ou de gouvernements de l’Union européenne.
Le 20 octobre 1999, à l'issue d'une session spéciale de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) tenue à Luxembourg sur le thème «Sécurité et défense: le défi pour l'Europe après Cologne», le quotidien luxembourgeois Tageblatt publie un entretien avec Lluís Maria de Puig, président de l'Assemblée de UEO.
Le 26 janvier 2000, le quotidien Luxemburger Wort publie une interview de Klaus Bühler, président de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), dans laquelle celui-ci est interrogé sur les futures missions de l'UEO et sur l'avenir de son Assemblée parlementaire.
Le 21 mars 2000, l'Assemblée de l'Union de l’Europe occidentale (UEO) décide de se transformer en une "Assemblée européenne intérimaire de la sécurité et de la défense" chargée de suivre l’élaboration de la politique européenne commune en matière de sécurité et de défense (PECSD) au sein de l’Union européenne
Le 7 juin 2000, dans le cadre du transfert des activités opérationnelles de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) à l'Union européenne (UE), le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung s'interroge sur l'avenir de l'Assemblée de l'UEO.
Le 27 juillet 2000, face à la question de l'avenir de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), le quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung souligne les efforts de Klaus Bühler, président de l'Assemblée de l'UEO, pour le maintien de l'Assemblée en tant qu'organe de contrôle démocratique des décisions prises en matière de défense.
Le 14 décembre 2001, la revue allemande Das Parlament, éditée par le Bundestag, dresse le portrait de Klaus Bühler, président de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), et évoque son combat pour la sauvegarde des prérogatives de "son" assemblée.
Le 2 juin 2003 à Strasbourg, au palais de l’Europe, dans son discours de bienvenue aux membres de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), Peter Schieder, président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, rappelle les liens existants entre les deux institutions.
L'Assemblée de l'Union de l’Europe occidentale (UEO), agissant également en tant qu'"Assemblée européenne intérimaire de la sécurité et de la défense" depuis le transfert des activités opérationnelles de l'UEO à l'Union européenne en 2000, adopte en juin 2003 l'appellation d'"Assemblée interparlementaire européenne de sécurité et de défense", suite à l'entrée en vigueur du traité de Nice le 1er février 2003.
Le quotidien luxembourgeois "Lëtzebuerger Journal" publie un article à l'occasion de la visite le 15 septembre 2003 à Luxembourg de Marcel Glesener, président de l'Assemblée parlementaire de l'Union de l’Europe occidentale (UEO). L'article rappelle les origines et les buts de l'UEO ainsi que la composition et les tâches de son Assemblée, avant d’aborder les arguments de Marcel Glesener pour le renforcement du rôle de l’institution qu’il préside.
Le quotidien luxembourgeois La Voix du Luxembourg publie un article à l'occasion de la visite à Luxembourg de Marcel Glesener, président de l'Assemblée parlementaire de l'UEO, le 15 septembre 2003. À l'heure où l'Union européenne prétend assumer sa propre politique de défense, Marcel Glesener se bat pour la survie de l'institution qu'il préside.
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l’Assemblée du Conseil de l’Europe dont elle a partagé l’hémicycle de 1955 à 1959. Stef Goris, président de l’Assemblée de l’UEO, présente à cette occasion l’ouvrage édité par son institution et intitulé Le débat sur la défense européenne 1955-2005.
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l’Assemblée du Conseil de l’Europe dont elle a partagé l’hémicycle de 1955 à 1959. Dans son discours, Stef Goris, président de l’Assemblée de l’UEO, rappelle l’importance de Paul-Henri Spaak et de l’Assemblée du Conseil de l’Europe dans la création de l’UEO, ainsi que la complémentarité des deux Assemblées dans la construction et la consolidation de la démocratie en Europe.
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l’Assemblée du Conseil de l’Europe dont elle a partagé l’hémicycle de 1955 à 1959. Dans son discours, Jaap de Hoop Scheffer, secrétaire général de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), rappelle les liens entre l’UEO et l’OTAN ainsi que les objectifs communs guidant les deux organisations, notamment la promotion de la démocratie. Le secrétaire général souligne par ailleurs l’importance, pour l’atteinte de ces objectifs, de la sensibilisation du public aux questions de sécurité et de défense.
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l'Assemblée du Conseil de l'Europe dont elle a partagé l'hémicycle de 1955 à 1959. Dans ce cadre, sept anciens présidents de l'Assemblée de l'UEO apportent leur témoignage et leur regard sur l'évolution de la sécurité et de la paix dans le monde: Jean-Marie Caro (1984-1987), Charles Goerens (1987-1990), Hartmut Soell (1992-1993), Sir Dudley Smith (1993-1996), Lluís Maria de Puig (1997-1999), Klaus Bühler (2000-2002) et Jan Dirk Blaauw (2003).
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l'Assemblée du Conseil de l'Europe dont elle a partagé l'hémicycle de 1955 à 1959. Dans son discours, Terry Davis, secrétaire général du Conseil de l’Europe, évoque les tâches et les statuts très différents des deux institutions parlementaires tout en soulignant l’objectif commun de pérennisation de la démocratie.
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l'Assemblée du Conseil de l'Europe dont elle a partagé l'hémicycle de 1955 à 1959. Dans son discours, Marcel Glesener, chef du groupe fédéré des démocrates-chrétiens et des démocrates européens de l’Assemblée de l’UEO, rappelle la conviction de son groupe sur le rôle indispensable de l’Assemblée pour la légitimité démocratique des décisions prises par l’Union européenne (UE) en matière de sécurité et de défense. Il dénonce d’ailleurs, dans ces domaines hérités de l’UEO, la tenue à l’écart de l’Assemblée des processus de consultation, d’information et de dialogue avec l’exécutif de l’UE.
Le 23 juin 2005, l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) célèbre son cinquantième anniversaire à Strasbourg, à l'Assemblée du Conseil de l'Europe dont elle a partagé l'hémicycle de 1955 à 1959. Dans son discours, Jean-Pierre Masseret, président du groupe socialiste de l’Assemblée de l’UEO, définit la défense comme un «pilier» de la construction européenne et définit la paix et la sécurité comme des vecteurs de progrès économiques, sociaux et culturels. Il souligne également, sur ce thème, le rôle essentiel de l’Assemblée comme institution démocratique de représentation des citoyens.
Dans cette interview, Gaston Thorn, ancien membre de l'Assemblée consultative du Conseil de l'Europe et de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), évoque le rôle de ces assemblées délibératives dans la formation d'un esprit européen et d'une prise de conscience des enjeux politiques, économiques et militaires de l'Europe unie.
Tous les six mois, les membres des commissions de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) rencontrent les ambassadeurs du Conseil permanent de l'UEO, qui sont également membres du Comité politique et de sécurité de l'Union européenne (UE). Ces réunions conjointes permettent d'établir un mécanisme d'information et de consultation entre les parlementaires de l'UEO et les diplomates de l'UE dans le domaine des affaires étrangères, de la sécurité et de la défense.
Dans cette interview, Charles Goerens, ancien membre de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) qu’il a présidée de 1987 à 1990, décrit le rôle de cette institution ainsi que ses principales compétences.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), relate le transfert, décidé en 2000, d’un certain nombre d’organes et de compétences de l’UEO au profit de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD) de l’Union européenne (UE) et regrette l’absence d’une Défense européenne globale.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), met en évidence le rôle joué de facto par l’Assemblée de l’UEO dans la politique européenne de sécurité et de défense (PESD) conduite par l’Union européenne.
Dans cette interview, Charles Goerens, président de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO) de 1987 à 1990 , décrit le rôle du président, d’une part, au sein de l’Assemblée, d’autre part, vis-à-vis du Conseil et du secrétaire général de l’UEO.
Dans cette interview, Charles Goerens, ministre luxembourgeois de la Défense de 1999 à 2004 et ancien membre de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) qu'il a présidée de 1987 à 1990, explique les relations entre l'Assemblée et le Conseil de l'UEO après la revitalisation de 1984, en prenant pour exemple les contacts établis à l'époque avec les autorités soviétiques.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), regrette que la question des relations entre l'Assemblée et le Conseil ne fut pas abordée lors de la dernière réunion du Conseil des ministres de l’UEO, tenue à Marseille le 13 novembre 2000.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), explique comment l’Assemblée tente de s’adapter aux restrictions budgétaires imposées par le Conseil.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), se réfère à l'Assemblée de l'UEO comme une émanation des parlements nationaux et attire l'attention sur son rôle distinct et complémentaire à celui du Parlement européen et de l'Assemblée de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), précise que la fonction de forum interparlementaire de l’Assemblée dépend des ambitions respectives de chaque membre de l’Assemblée.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), mentionne les tâches principales du secrétaire général adjoint et du secrétaire général de l’Assemblée de l’UEO, notamment vis-à-vis du président de l’Assemblée, en mettant l’accent sur la gestion budgétaire.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l'Assemblée de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), confie les avantages procurés par la polémologie dans la prise de mesures concrètes, par exemple lors du conflit Iran-Irak, de la guerre du Golfe ainsi que durant les événements de Tienan men.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), rappelle les motifs du changement d’appellation en 2008 de l’Assemblée de l’UEO en Assemblée européenne de sécurité et de défense.
Charte et règlement de l’Assemblée européenne de sécurité et de défense/Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), adoptés par la commission permanente de l’Assemblée le 6 mai 2008 et révisés le 1er décembre 2009.
Dans cet extrait d'interview, Álvaro de Vasconcelos, cofondateur et directeur de l’ l’Institut des études stratégiques et internationales (IEEI) à Lisbonne de 1981 à 2007 et directeur de l’Institut d’études de sécurité (IES) de l’Union européenne de 2007 à 2012, revient sur le rôle joué par l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale dans le débat européen sur la défense.
Réunion en 1949 du Secrétariat général de l'Organisation du traité de Bruxelles (Union occidentale). De g. à dr.: Adolphe de Baerdemaker (affaires militaires), Janet Howe (affaires culturelles), Emmanuel d'Harcourt, secrétaire général adjoint, et Eduard Star Busmann, secrétaire général d'avril 1948 à juin 1953.
Friedrich-Karl von Plehwe, secrétaire général délégué de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) du 5 novembre 1967 au 30 novembre 1977, secrétaire général faisant fonction du 2 octobre 1974 au 24 février 1977.
Javier Solana, secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) du 24 novembre 1999 au 24 novembre 2009. Sa désignation s'inscrit dans le cadre du transfert à l'Union européenne (UE) d'un certain nombre d'organes et de compétences de l'UEO. Du 18 octobre 1999 au 30 novembre 2009, il assure également la fonction de secrétaire général du Conseil de l'UE/haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC).
Le 16 décembre 1987, Alfred Cahen, secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), adresse à Charles Goerens, président de l'Assemblée de l’UEO, une lettre dans laquelle il expose les activités du Secrétariat général en matière de relations publiques. Il souhaite notamment accorder une plus grande importance aux tâches liées à la presse et à l'information du public.
Le 22 novembre 1999, le quotidien allemand Die Welt dresse le portrait de Javier Solana, futur secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale (UEO), et décrit les missions qu'il effectue au titre de secrétaire général du Conseil de l'Union européenne/haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC).
Dans cette interview, Willem van Eekelen, ministre néerlandais de la Défense de 1986 à 1988 et secrétaire général de l'Union de l'Europe occidentale (UEO) de 1989 à 1994, s'exprime sur les compétences du secrétaire général de l'UEO ainsi que sur ses relations avec l’État assurant la présidence du Conseil, d’une part, et le président et le secrétaire général de l'Assemblée, d’autre part.
Dans cette interview, Colin Cameron, secrétaire général de l’Assemblée de l’Union de l’Europe occidentale (UEO), évoque la baisse d’assiduité, due à différents motifs, du secrétaire général de l’UEO Javier Solana à l’Assemblée de l’UEO.