Par cette décision du 9 octobre 1961, le Conseil de la Communauté économique européenne (CEE) fixe la durée des accords commerciaux des États membres avec les pays tiers afin qu'ils ne fassent pas obstacle à l'instauration de la politique commerciale commune à la fin de la période transitoire prévue par le traité.
Par cette décision, applicable après l’expiration de la période de transition à partir du 1er janvier 1970, le Conseil prévoit une coordination sur le plan communautaire des relations commerciales des États membres avec les pays tiers en cas de reconduction provisoire des accords bilatéraux en vigueur, à condition que la reconduction de ces actes ne constitue pas une entrave à la mise en œuvre de la politique commerciale commune.
Échange de documents entre Javier Solana, ministre des Affaires étrangères de l'Espagne et président en exercice du Conseil de l'Union européenne, et Moi Avei, ministre du Plan de la Papouasie-Nouvelle Guinée et président du Conseil des ministres ACP, lors de la cérémonie de signature de la Quatrième Convention de Lomé révisée (Maurice, le 4 novembre 1995).
Le 6 décembre 2006, la Commission demande au Conseil de l’Union européenne un mandat de négociation en vue de la conclusion d’accords d’association avec l’Amérique centrale et la Communauté andine.
Dans cette interview, André Dubois, ancien directeur de la politique commerciale au Conseil des Communautés européennes, évoque les attributions du Conseil et de la Commission dans les négociations d'accords commerciaux ou d'accords d'association entre la Communauté européenne et des pays tiers.
Déclaration n°6 annexée à l'acte final du traité d'Amsterdam relative à la création d'une unité de planification de la politique et d'alerte rapide (UPPAR).
Extrait du Rapport annuel PESC pour 1999, concernant la région des Balkans occidentaux, comme exemple de l'action menée par le Conseil dans le cadre du deuxième pilier. En 1999 l'OTAN autorise le lancement de bombardements aériens contre la Yougoslavie en raison de la politique serbe de répression au Kosovo. L'Union européenne appuie sans réserve l'action de l'OTAN et intègre son approche à l'égard des pays de la région dans le cadre d'un processus de stabilisation et d'association.
Du 22 au 28 mai 2002, l’Union européenne mène son tout premier exercice de gestion de crise, le CME 02, dans le cadre de la politique européenne en matière de sécurité et de défense (PESD), qui consiste à tester le cadre dans lequel des instruments civils et militaires seront coordonnés, ainsi que l’interaction entre les institutions de l’UE et les États membres.
En juin 2003, le Conseil européen de Thessalonique charge le secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) de soumettre au Conseil "Affaires générales et relations extérieures" une stratégie de l'Union européenne en matière de sécurité. Ce document, intitulé Une Europe sûre dans un monde meilleur, est adopté par le Conseil européen à Bruxelles, le 12 décembre 2003. Le texte insiste sur la nécessité d'une approche multilatérale et globale dans le domaine de la sécurité en Europe et dans le monde.
À l'occasion de la réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne à Lappeenranta en Finlande, le quotidien français Le Figaro, dans son édition du 1er septembre 2006, relate les efforts diplomatiques et militaires déployés par l'Union à travers le monde: notamment en Iran, au Liban et en République démocratique du Congo.
La cohérence de l'action extérieure de l'Union européenne exige la coordination entre les fonctions de membre de la Commission chargé des relations extérieures et de secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC. Sur la photo, le commissaire Christopher Patten et le haut représentant Javier Solana lors d'une réunion du Conseil Affaires générales et relations extérieures, le 17 mai 2004 à Bruxelles.
Le 21 juillet 2003, le Conseil Affaires générales et relations extérieures rencontre les ministres israélien et palestinien des Affaires étrangères. De g. à dr.: Nabel Shaath, ministre des Relations extérieures de l’Autorité palestinienne, Franco Frattini, ministre des Affaires étrangères de l’Italie et président en exercice du Conseil, Silvan Shalom, ministre des Affaires étrangères d’Israël, Javier Solana, secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC et Romano Prodi, président de la Commission européenne.
Le 12 juillet, 2004, le Conseil Affaires générales et relations extérieures rencontre le ministre iraquien des Affaires étrangères pour débattre de la reconstruction politique, économique et sociale de l’Iraq. Sur la photo, de g. à dr.: Javier Solana, secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC, Hoshiar Mahmood Mhd. Zebari, ministre des Affaires étrangères de l’Iraq, Bernard Bot, ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas, et Chris Patten, membre de la Commission chargé des relations extérieures, lors de la conférence de presse intermédiaire.
Fiche d'information, publiée en juin 2005 par le secrétariat général du Conseil, sur le rôle et les responsabilités particulières des représentants spéciaux de l'Union européenne dans le cadre de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC).
Le 25 mars 1996, le Conseil adopte une action commune désignant un envoyé spécial pour la région des Grands Lacs africains. Sur la base de cette action commune, Aldo Ajello devient le premier Représentant spécial de l'Union européenne.
Le 25 novembre 1996, le Conseil adopte une action commune désignant un envoyé spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient. Sur la base de cette action commune, Miguel Ángel Moratinos devient le deuxième Représentant spécial de l'Union européenne nommé par le Conseil.
Le 29 juin 2005, dans son discours d’introduction au premier séminaire réunissant à Bruxelles les représentants spéciaux de l'Union européenne (RSUE), Javier Solana, secrétaire général du Conseil et haut représentant pour la PESC, présente le rôle clé des RSUE dans la politique étrangère et de sécurité commune et lance le débat sur la cohérence entre les différents instruments de gestion des crises.
Le 29 juin 2005, Javier Solana rencontre les représentants spéciaux de l'Union européenne (RSUE) à Bruxelles dans le cadre de leur premier séminaire. Au premier rang de g. à dr.: Heikki Talvitie (Finlande), RSUE pour le Caucase du Sud, Francesc Vendrell (Espagne), RSUE en Afghanistan, Javier Solana, secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC (SG/HR), Aldo Ajello (Italie), RSUE pour la région des Grands Lacs africains, Paddy Ashdown (Royaume-Uni), RSUE en Bosnie-et-Herzégovine. Au second rang, de g. à dr.: Adriaan Jacobovits de Szeged (Pays-Bas), RSUE pour la Moldavie, Michael Sahlin (Suède), RSUE dans l'ancienne République yougoslave de Macédoine, Marc Otte (Belgique), RSUE pour le processus de paix au Moyen-Orient, Alexis Brouhns (Belgique), ancien RSUE dans l'ancienne République yougoslave de Macédoine et Annalisa Giannella (Italie), représentant personnel du SG/HR pour la non-prolifération des armes de destruction massive.
Dans ses conclusions sur la politique européenne de défense et de sécurité (PESD), adoptées le 15 mai 2006, le Conseil "Affaires générales" analyse les progrès accomplis dans différents domaines afin de mieux définir à long terme les besoins futurs de la PESD. Le Conseil examine notamment le développement des capacités militaires de l'Union européenne, la capacité pour entreprendre des opérations de réaction rapide, la réalisation du programme de recherche et technologie et l’amélioration de la coordination civilo-militaire sur le terrain. Il souligne également l’importance d’une approche globale de l’UE concernant la réforme du secteur de sécurité dans les Balkans occidentaux.
En novembre 2006, le secrétariat général du Conseil présente la "toile de fond" sur le développement des capacités militaires européennes. Au fil de plusieurs sommets, les États membres décident de doter l'Union européenne des moyens et des capacités nécessaires pour la gestion de crises. Sur la base d'un cadre de planification stratégique, les types d'unités, de ressources et de moyens sont recensés dans un catalogue des besoins, permettant aux États membres de présenter leurs offres de contributions. Un catalogue des forces et un recensement des lacunes peuvent ensuite être élaborés afin d'améliorer les capacités de l'Union à l'horizon 2010.
En novembre 2006, le secrétariat général du Conseil publie une fiche d'information sur les groupements tactiques (GT), définis comme forme spécifique des éléments de réaction rapide de l’Union européenne, énumérant leurs caractéristiques et indiquant les conditions exigées aux États membres pour leur mise à disposition.
Conférence de presse de Javier Solana, secrétaire général du Conseil de l’Union européenne (UE) et haut représentant pour la PESC, et Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, le 2 mars 2005 à Bruxelles. Lors de cette conférence, ils se félicitent du soutien fourni par l'UE au processus de paix au Moyen-Orient ainsi qu’à l’édification d’un État palestinien viable et démocratique.
Persconferentie van Javier Solana, secretaris-generaal van de Raad van de Europese Unie (EU) en hoge vertegenwoordiger voor het GBVB, en Jusuf Kalla, vice-president van de Republiek Indonesië, op 19 januari in Brussel. Bij deze conferentie drukken zij hun tevredenheid uit over de waarnemingsmissie van de Europese Unie in Atjeh (WMA) en bekrachtigen hun wens naar een nauwere samenwerking tussen de EU en Indonesië.
Conférence de presse de Javier Solana, secrétaire général du Conseil de l'Union européenne (UE) et haut représentant pour la PESC, et Fouad Siniora, Premier ministre libanais, le 20 mars 2006 à Bruxelles. Lors de cette conférence, ils annoncent leur volonté de renforcer le dialogue national et le programme de réforme entamés dans ce pays méditerranéen.
Conférence de presse de Javier Solana, secrétaire général du Conseil de l'Union européenne (UE) et haut représentant pour la PESC, et Milo Djukanovic, Premier ministre de la République du Monténégro, en mai 2006 à Bruxelles. Lors de cette conférence, ils commentent les résultats du référendum sur l'indépendance du Monténégro du 21 mai 2006 et ses conséquences pour la région des Balkans occidentaux.
Conférence de presse de Javier Solana, secrétaire général du Conseil de l'Union européenne (UE) et haut représentant pour la PESC, et Zurab Nogaideli, Premier ministre de la République de Géorgie, le 15 juin 2006 à Bruxelles. Lors de cette conférence, ils se félicitent en particulier de l'aide fournie par l’UE à la république caucasienne pour la réalisation des réformes nécessaires à l’édification d’un État de droit viable.
Lors de cette conférence donnée le 30 novembre 2006 à l’Université du Luxembourg, Jim Cloos, directeur des questions politiques générales au secrétariat général du Conseil de l'Union européenne, relate le processus historique qui a mené à la mise en place de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) de l'Union européenne.
Lors de cette conférence donnée le 30 novembre 2006 à l’Université du Luxembourg, Jim Cloos, directeur des questions politiques générales au secrétariat général du Conseil de l'Union européenne, insiste sur l'importance de la mise en place d'une stratégie pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) de l'Union européenne.
Lors de cette conférence donnée le 30 novembre 2006 à l’Université du Luxembourg, Jim Cloos, directeur des questions politiques générales au secrétariat général du Conseil de l'Union européenne, présente les moyens d'action de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC). Il rappelle en particulier les différentes opérations menées dans ce cadre par l'Union ainsi que leurs objectifs.
Dans cette interview, Étienne Davignon, ancien directeur général de la Politique au ministère belge des Affaires étrangères, explique l'influence du "rapport Davignon", étant dans les années 1970 à l’origine de la coopération politique européenne (CPE), sur la mise en place dans les années 1990 de la politique étrangère et de sécurité commune (PESC) de l'Union européenne.
Réalisé en juin 2006, ce film montre que l'Union européenne s'est dotée de structures et de moyens pour devenir un acteur mondial de la sécurité. Dans le cadre de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD), l'Union déploie ses moyens militaires, diplomatiques, économiques et civils dans différentes missions à travers le globe, seule ou en coopération avec d'autres acteurs internationaux, comme en Bosnie-et-Herzégovine, en Indonésie ou en République démocratique du Congo.
Carte des opérations civiles, policières et militaires déployées dans le cadre de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD) depuis 2003 (situation en mai 2006).
Ce mémo sur les missions et opérations de l’Union européenne, publié en 2006 dans la première newsletter de l’État-major de l’UE, identifie les quatre types de missions déployées depuis 2003 en Europe, en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie dans le cadre de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD).
Le 27 janvier 2003, le Conseil adopte une Action commune visant à lancer la première opération militaire de l'Union européenne. Le but est d'assurer la relève de l'opération de l'OTAN "Allied Harmony" dans l'ancienne République yougoslave de Macédoine.
Le 15 décembre 2003 à Skopje, une cérémonie marque la fin de l'opération "Concordia" -première opération de gestion des crises de l'Union européenne, et première utilisant les moyens de l'OTAN- et le lancement d'une mission de police "Eupol Proxima" dans l'ancienne République yougoslave de Macédoine (ARYM). De g. à dr.: Boris Trajkovski, président de l'ARYM, Javier Solana, secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC, Branko Crvenkovski, premier ministre macédonien, et Ilinka Mitreva, ministre des Affaires étrangères.
Par action commune du Conseil, du 11 mars 2002, l'Union européenne crée, à compter du 1er janvier 2003, une Mission de police de l'Union européenne (MPUE) en vue d'assurer la relève du groupe international de police des Nations unies (GIP) en Bosnie et Herzégovine.
Javier Solana, Secrétaire général/Haut Représentant (SG/HR) pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC), prononce le 15 janvier 2003 à Sarajevo un discours à l'occasion de la cérémonie inaugurale de la Mission de police de l'Union européenne (MPUE) en Bosnie-et-Herzégovine.
Photo de l'arrivée de la délégation de l'UE au quartier général de la mission de police de l'Union européenne (MPUE) à l'occasion de son inauguration officielle le 15 janvier 2003 à Sarajevo. De gauche à droite: Sven Christian Frederiksen, Chef/Commissaire de police de la Mission, Javier Solana, Secrétaire général/Haut Représentant (SG/HR) pour la politique étrangère et de sécurité commune (PESC), et Paddy Ashdown, Représentant spécial de l'UE pour la Bosnie et Herzégovine.
Le 2 décembre 2004 à Sarajevo, Javier Solana, secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC prononce un discours à l'occasion du transfert d'autorité de la Force de stabilisation de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (SFOR/OTAN) à l'EUFOR le jour du lancement de l'opération militaire "Althea" de l'Union européenne en Bosnie-et-Herzégovine.
Le 15 septembre 2005, à la demande du gouvernement indonésien et du mouvement pour l’Aceh libre (GAM), l'Union européenne met en place une "mission de surveillance à Aceh" (MSA), en Indonésie, chargée de veiller au bon déroulement de la mise en œuvre du mémorandum d’entente conclu entre ces deux parties le 15 août 2005 à Helsinki.
Le 15 septembre 2005 à Banda Aceh (Indonésie), la mission de surveillance de l'Union européenne à Aceh (MSA), procède au premier désarmement du mouvement pour l’Aceh libre (GAM).
Le 25 novembre 2005, la mission de l'Union européenne d'assistance à la frontière au point de passage de Rafah (EU BAM Rafah) commence à la frontière entre Gaza et l’Égypte. Cette mission avait été établie en vertu d'accords négociés entre le gouvernement israélien et l’Autorité palestinienne. Sur la photo on peut voir l’arrivée du premier bus au point de passage après son ouverture.
La photo illustre le travail quotidien de la mission de l'Union européenne d'assistance à la frontière au point de passage de Rafah (EU BAM Rafah) entre la bande de Gaza et l'Egypte (Territoires palestiniens).
La photo, prise le 8 février 2006, illustre le travail quotidien de la mission de police de l'Union européenne pour les territoires palestiniens, dénommée "le Bureau de coordination de l’Union européenne pour le soutien de la police palestinienne" (EUPOL COPPS). Cette mission de police a pour objectif de contribuer à la mise en place de dispositifs de police durables et efficaces sous gestion palestinienne, conformément aux meilleures normes internationales.
Le 15 février 2006, Jonathan McIvor, chef de mission/commissaire de police de la mission de police de l'Union européenne pour les territoires palestiniens (EUPOL COPPS), prononce un discours à l'occasion de la cérémonie d’ouverture du centre de formation de Jéricho (Cisjordanie), suite à sa rénovation.
Pendant le processus électoral en République démocratique du Congo (RDC), l'Union européenne mène une opération militaire d'appui à la mission de l'Organisation des Nations unies en RDC (MONUC), dénommée opération EUFOR RD Congo. Le 7 juin 2006, Javier Solana, secrétaire général du Conseil/haut représentant pour la PESC, tient une conférence de presse à l'occasion de sa première visite au quartier général de l’opération à Potsdam (Allemagne). De g. à dr.: le général Karlheinz Viereck, commandant de l'opération EUFOR RD Congo, Javier Solana et Friedbert Pfluger, secrétaire d'État allemand à la Défense.
Durant l'été 2006, l'opération militaire de l'Union européenne d'appui à la mission de l'ONU en République démocratique du Congo (EUFOR RDC) est déployée pendant toute la période électorale. Sur la photo, des soldats belges en train de monter des tentes dans le camp de NDolo, où est installé le quartier général de l'EUFOR RDC.
Ce film, réalisé en 2006, illustre le rôle international de l'Union européenne par l’exemple du déploiement de troupes en République démocratique du Congo et dans le Sud du Liban.
Ce film, réalisé en 2007, montre l’action civile et militaire (EUFOR, EUPOL et EUSEC) déployée en République démocratique du Congo (RDC) dans le cadre de la politique européenne de sécurité et de défense (PESD). L’Union européenne est appelée en soutien à la mission des Nations Unies dans le contexte de la première élection présidentielle au suffrage universel que connait le pays.
Les relations extérieures dans le domaine de la JAI
Le 6 octobre 1999, la présidence du Conseil de l'Union européenne adresse une note au Conseil "Affaires générales" sur l'action extérieure de l'Union dans le domaine de la justice et des affaires intérieures.
Le 24 mai 2000, la présidence du Conseil de l’Union européenne adresse une note au Coreper sur les priorités et les objectifs de l’Union européenne pour les relations extérieures dans le domaine de la justice et des affaires intérieures.