Le 8 décembre 1988, Marcelino Oreja, secrétaire général du Conseil de l'Europe, décrit les nouvelles missions du Conseil à la veille de son quarantième anniversaire.
Le 1er mars 1989, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe examine un rapport sur le rôle de l'organisation dans les développements futurs de la construction européenne.
Le 26 septembre 1989, Jacques Delors, président de la Commission européenne, prononce devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe un discours dans lequel il décrit notamment la manière dont les Communautés européennes et le Conseil de l'Europe pourraient conjuguer leurs efforts pour réaliser des objectifs communs en faveur de l'unification d'une grande Europe prospère et démocratique.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire générale du Conseil de l'Europe, décrit les enjeux du projet de Confédération européenne que François Mitterrand, président de la République française, dévoile le 31 décembre 1989 dans l'espoir de rétablir, en marge du Conseil de l'Europe, la continuité de l'espace européen au sein d'une institution de dialogue et de coopération de toutes les nations démocratiques du continent.
Le 26 novembre 1991, Catherine Lalumière, secrétaire générale du Conseil de l'Europe, accorde au quotidien français Le Monde un entretien dans lequel elle expose ses vues sur l'avenir du continent européen et décrit le nouveau rôle politique du Conseil de l'Europe.
Dans cette interview, Catherine Lalumière, ancienne secrétaire générale du Conseil de l'Europe, décrit le renouveau politique que connaît cette organisation suite à la chute du mur de Berlin en novembre 1989, en particulier par son action d'aide à la démocratisation des anciens pays du bloc communiste.
Le 16 juin 1992, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe examine un rapport d'information sur les conditions de l'élargissement de l'organisation de Strasbourg et son incidence institutionnelle et géopolitique.
Le 1er octobre 1992, Catherine Lalumière, secrétaire générale du Conseil de l'Europe, fait le point sur ses nouveaux enjeux paneuropéens et sur ses nouvelles activités.
Le 3 février 1993, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe exprime son souhait d'associer étroitement les pays d'Europe centrale et orientale (PECO) convertis à la démocratie aux travaux du Conseil de l'Europe en prévision de leur adhésion.
Le 30 juin 1993, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe adresse au Comité des ministres une recommandation relative à l'adaptation du rôle et des responsabilités de l'organisation à la nouvelle situation internationale en Europe.
Le 29 septembre 1993, Catherine Lalumière, secrétaire générale du Conseil de l'Europe, souligne devant l'Assemblée parlementaire l'importance du sommet de Vienne du 9 octobre et insiste sur la place du Conseil de l'Europe sur la scène internationale.
Le 9 octobre 1993, les chefs d'État ou de gouvernement des États membres du Conseil de l'Europe réunis à Vienne adoptent une déclaration qui confirme la vocation paneuropéenne de l'organisation et définit de nouvelles priorités politiques, notamment la protection des minorités nationales et la lutte contre toutes les formes de racisme, de xénophobie et d'intolérance.
Le 26 janvier 1994, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe commente les décisions adoptées le 9 octobre 1993 à Vienne par les chefs d'État ou de gouvernement des États membres de l'organisation.
Le 11 mai 1994, Catherine Lalumière, secrétaire générale du Conseil de l'Europe, analyse les répercussions institutionnelles et politiques de l'élargissement progressif de l'organisation aux pays d'Europe de l'Est récemment dotés d'un régime démocratique.
Le 2 février 1996, Daniel Tarschys, secrétaire général du Conseil de l'Europe, dresse un bilan des négociations d'adhésion de la Fédération de Russie à l'organisation de Strasbourg et fixe les conditions et les incidences financières d'un tel élargissement.
Le 28 février 1996, la Fédération de Russie devient membre à part entière du Conseil de l'Europe. De g. à dr., Daniel Tarschys, secrétaire général du Conseil de l'Europe, congratule Evgueni Primakov, Premier ministre russe.
Le 27 septembre 1996, le Conseil et la Commission européenne adoptent un texte commun sur la coopération entre l'Union européenne et le Conseil de l'Europe dans tous les domaines couverts par les traités communautaires et par le traité de Maastricht.
Le 28 janvier 1997, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe examine un rapport qui dénonce la poursuite des exécutions capitales en Russie malgré son adhésion au Conseil de l'Europe.
Bronislaw Geremek, ancien ministre polonais des Affaires étrangères, explique comment le Conseil de l'Europe, en tant que défenseur des droits de l'homme et de l'État de droit, a contribué considérablement à nourrir les aspirations de la société civile des pays du bloc de l'Est à accéder à ces mêmes prérogatives.
Dans cette interview, Jacques F. Poos, ancien ministre luxembourgeois des Affaires étrangères et ancien président du Comité des ministres du Conseil de l'Europe, évoque le rôle politique passé et présent du Conseil de l'Europe élargi à la Russie.
Carte interactive montrant les 10 États fondateurs du Conseil de l'Europe en 1949, ainsi que les adhésions successives qui ont déterminé la composition actuelle de l'organisation.
Dans ce témoignage, Bronislaw Geremek, ministre polonais des Affaires étrangères de 1997 à 2000, explique l'évolution du rôle et de l'influence du Conseil de l'Europe.