Le 28 janvier 1986 à Bruxelles, Jacques Santer, chef du gouvernement luxembourgeois, souligne devant l'Institut royal des relations internationales l'importance et la portée de l'Acte unique européen.
Le 21 novembre 1986, à l'occasion du dixième anniversaire de l'Institut universitaire européen(IUE) de Florence, Jacques Delors, président de la Commission européenne, trace les enjeux pour l'Europe de la mise en oeuvre de l'Acte unique européen (AUE).
Le 7 décembre 1988 a eu lieu au Luxembourg une conférence placée sous le thème "Marché unique", au cours de laquelle Pierre Werner, président du gouvernement honoraire, commente les enjeux de l'Acte unique européen.
Le 18 décembre 1986, le jour de la ratification de l'Acte unique à l'Assemblée nationale portugaise, Pedro Pires de Miranda, ministre portugais des Affaires étrangères, souligne l'importance de ce texte pour le Portugal.
Dans cette interview, Jean-Jacques Kasel, directeur des Affaires politiques et culturelles au ministère luxembourgeois des Affaires étrangères de 1986 à 1992, présente les principales évolutions pour le processus d’intégration européenne apportées par l’Acte unique européen (AUE).
En avril 1987, Pietro Calamia, représentant permanent de l'Italie auprès de la CEE, analyse les éléments principaux de l'Acte unique européen signé en février à Luxembourg et en avril à La Haye.
Vue aérienne des bâtiments de la Cour de justice et du Tribunal de première instance des Communautés européennes situés sur le plateau du Kirchberg à Luxembourg.
Le Tribunal de première instance des Communautés européennes est entré en fonction le 1er septembre 1989 pour alléger la charge de travail dévolue à la Cour de justice et améliorer ainsi la protection juridictionnelle des citoyens européens.
Le 19 juin 1984, le Conseil des Communautés européennes adopte une résolution qui propose des mesures pour faciliter le franchissement des frontières intérieures par les ressortissants des Dix.
Le 14 juin 1985, la France, la République fédérale d'Allemagne (RFA) et les pays du Benelux signent à Schengen (Luxembourg) l'accord relatif à la suppression graduelle des contrôles à leurs frontières communes.
Le 17 février 1986, à l'occasion de la signature de l'Acte unique européen à Luxembourg, les ministres des Affaires étrangères, réunis au sein de la coopération politique européenne, adoptent des dispositions concernant l'application pratique de certains aspects du titre III de l'Acte.
Le 7 octobre 1987, Emanuele Gazzo, directeur général de l'Agence Europe, déplore la faiblesse des structures à l'œuvre dans la coopération politique européenne (CPE) et plaide pour la transformation de celle-ci en un élément clé de la Communauté européenne.
Le 22 septembre 1987, à l'occasion d'une séance académique en honneur d'Emile Noël à Bruxelles, Leo Tindemans, ministre belge des Affaires étrangères de 1981 à 1989, fait un discours sur la coopération politique européenne.
Le 22 décembre 1986, le Conseil des Communautés européennes adopte une résolution en vertu de laquelle les Dix s'engagent à favoriser la croissance économique et à réduire le niveau de chômage dans les États membres.
Le 19 novembre 1987, à l'occasion de sa 250e session plénière, le Comité économique et social adopte un avis sur la réalisation et la consolidation d'un espace social européen.
Le 28 février 1984, sur l'initiative du commissaire européen Étienne Davignon, le Conseil des Communautés européennes décide la mise en place d'un "Programme stratégique européen de recherche et de développement relatif aux technologies de l'information" (Esprit).
En février 1981, le mensuel 30 jours d'Europe dresse un portrait détaillé des programmes communautaires de recherche scientifique et de développement technologique.
En novembre 1983, le mensuel 30 jours d'Europe analyse les enjeux du programme ESPRIT (European Strategic Programme for Research and Development in Information Technology) élaboré par les Dix dans le but déclaré de combler le fossé technologique qui sépare l'Europe du Japon et des États-Unis.
Inauguré le 9 avril 1984 à Abingdon (Grande-Bretagne) dans le cadre du quatrième programme communautaire de recherche et de développement technologique, le Joint European Torus (JET) est un réacteur scientifique dont les recherches sont orientées vers l'utilisation de l'énergie thermonucléaire pour la production d'électricité.
Le 26 avril 1985, l'hebdomadaire français L'Express analyse les efforts poursuivis par la France pour coordonner les recherches en matière de science et de technologies au niveau communautaire.
En avril 1985, le caricaturiste français Plantu ironise sur les efforts du président français François Mitterrand pour coordonner les recherches en matière de science et de technologies au niveau communautaire, notamment le projet Eureka (European Research Coordination Agency) (à droite : le chancelier allemand Helmut Kohl).
Le 27 juin 1985, à la veille de la réunion des Dix à Milan, le quotidien français Le Monde donne un aperçu des dossiers qui seront à l'ordre du jour lors de la réunion des chefs d'États et de gouvernements.
Le 17 juillet 1985, Hans-Dietrich Genscher, ministre allemand des Affaires étrangères, s'exprime lors de la première conférence des ministres Eureka (European Research Coordination Agency) à Paris.
En août 1985, le mensuel français Le Monde diplomatique décrit les enjeux du programme Eureka lancé en 1985 à l'initiative de la France pour accroître la productivité et la compétitivité des entreprises européennes et pour combler le retard technologique entre l'Europe et les États-Unis.
Le 5 novembre 1985, le chancelier allemand Helmut Kohl inaugure à Hanovre la deuxième conférence des ministres Eureka (European Research Coordination Agency).
Le 5 novembre 1985, lors de l'ouverture de la Conférence intergouvernementale Eureka, le secrétaire d'État luxembourgeois aux Affaires étrangères Robert Goebbels détaille l'importance de l'initiative Eureka quant à la maîtrise et à l'exploitation des technologies de pointe en Europe.
Le 5 novembre 1985, à l'occasion de l'ouverture de la Conférence intergouvernementale Eureka, le ministre luxembourgeois de l'Éducation nationale et de la Jeunesse Fernand Boden détaille les enjeux de l'inititiave Eureka en matière de coopération scientifique et technologique en Europe.
Le 5 novembre 1985, lors de la Conférence intergouvernementale Eureka à Hanovre, Fernand Boden, ministre luxembourgeois de l'Éducation nationale et de la Jeunesse souligne l'intérêt du pays à participer au projet EUREKA et évoque la nécessité d'une concertation entre les multiples projets de recherches européens.
En 1985, sous l'impulsion de Hans-Dietrich Genscher, ministre allemand des Affaires étrangères, et de son homologue français, Roland Dumas, est créé le projet EUREKA de coopération technologique.
En 1985, le caricaturiste allemand Hanel ironise sur les difficultés que rencontrent les Dix pour mettre en place le projet Eureka d'Agence européenne pour la coordination de la recherche par rapport à la puissance du programme américain de Strategic Defence Initiative plus connu sous le nom de "guerre des étoiles".
Le 2 décembre 1985, le caricaturiste allemand Mayk s'inquiète de la compatibilité du projet européen Eureka (European Research Coordination Agency) avec le programme américain SDI (Strategic Defence Initiative) plus connu sous le nom de "guerre des étoiles".