Dans cet extrait d'interview, Mark Eyskens, ministre belge des Finances de 1980 à 1981, Premier ministre en 1981, ministre des Affaires économiques de 1981 à 1985 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, souligne le rôle d'intermédiaire que les petits États membres de l'Union européenne peuvent jouer lors des grandes négociations communautaires et revient sur quelques initiatives prises par la Belgique, notamment la proposition belge faite dans le cadre des négociations menant à la signature du traité de Maastricht sur l'Union européenne.
Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, ministre belge des Finances de 1980 à 1981, Premier ministre en 1981, ministre des Affaires économiques de 1981 à 1985 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, dresse un bilan contrasté de l'activité du Benelux en tant que laboratoire pour l'Europe et en tant que modèle pour d'autres régions du monde. Mark Eyskens souligne également les raisons qui font que la coopération Benelux finit par perdre en importance au fil des années.
Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, Premier ministre de la Belgique en 1981 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, souligne la symbolique liée au siège du Parlement européen à Strasbourg et le compromis négocié à ce sujet lors du Conseil européen de Dublin de 1990. Mark Eyskens évoque également la localisation d’agences européennes en Europe centrale ou orientale.
Dans cet extrait d’interview, Mark Eyskens, ministre belge des Finances de 1980 à 1981, Premier ministre en 1981, ministre des Affaires économiques de 1981 à 1985 et ministre des Relations extérieures de 1989 à 1992, souligne le rôle d’intermédiaire que les petits États membres de l’Union européenne peuvent jouer lors des grandes négociations communautaires et revient sur quelques initiatives prises par la Belgique, notamment la proposition belge faite dans le cadre des négociations menant à la signature du traité de Maastricht sur l’Union européenne.